Lesuire

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Collection : Théâtre

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Mélodrame en trois actes

COMMENTAIRES : Le per
sonnage de Mme Honesta ainsi que le fond de l’intrigue reposant sur les inconvénients d’un mariageavec une mégère sont tirés de la fable « Belphégor », fable 27 livre XII des Fables de La Fontaine.

INTRIGUE : Colombel, homme doux, se croit veuf de sa première épouse Eugénie, qui a disparu et lui a laissé un jeune garçon. Il a épousé en secondes noces Mme Honesta, femme irascible, intrigante auprès du roi François II qui cherche à s’en débarrasser. Mais Eugénie revient, Mme Honesta est démasquée et meurt du poison qu’elle destinait à son époux et à la jeune femme.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en cinq actes et en vers.

DATATION : La pièce fournit un indice de datation dans la scène 4 de l’acte V où un garde vient arrêter un personnage avec l’annonce : « De par l’empereur ».

INTRIGUE : Trois avares – deux frères et le valet de l’un d’eux – tiennent leurs enfants dans la misère. La découverte des intentions de vol du valet, le dévouement de la fille d’un des avares envers son père, le discours du prêtre vont contribuer à leur repentance et aux mariages des enfants.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Drame héroïque

La date de rédaction peut être précisée grâce au verso de l'un des feuillets qui est un mandat de censure pour la suite de L'Aventurier français établi par Lemercier et daté du 13 novembre 1787 (voir notice #465).

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Mélodrame en trois actes.

INTRIGUE : Sur fond de libération d’Orléans par Jeanne d’Arc et d’indifférence du futur Charles VII envers les combats de défense de son royaume et envers sa maîtresse Agnès Sorel, la pièce relate les doubles retrouvailles de la Trémouille et de sa maîtresse italienne Dorothée, libérés par Dunois, ainsi que celles de Tirconel avec son amante italienne qui se révèlent être les parents de Dorothée.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en trois actes mêlée d'ariettes.

DATATION : La date de rédaction de cette pièce n’est pas connue, mais Lesuire fournit des indices de datation
en indiquant sur la première page de titre de la pièce : « Cette pièce fut composée il y a long-temps sous l’ancien régime. Dezède devait en faire la musique. Il mourut et l’auteur n’y pensa plus. » (folio 302) Plus bas, il ajoute : « Comme on a donné il n’y a pas long tems aux Italiens Le Vieux Garçon, on pourrait rétablir à cette pièce le nom de Célibataire. » Ce texte présente en effet deux états, que les ratures permettent d’identifier facilement puisqu’elles concernent, d’une encre plus noire, le changement de nom du personnage principal qui passe de Crapulet à M. de Vieux-Corps. Si l’on suit les propos de Lesuire, la première version date donc de l’ancien régime ; la seconde est nécessairement post-révolutionnaire. Mais ni l’une ni l’autre ne peuvent être datées précisément. Nicolas Dezède, compositeur notamment d’opéras comiques représentés à la Comédie-Italienne, est décédé le 11 septembre 1792. Des représentations d’une comédie en vers de Pierre-Ulric Dubuisson intitulée Le Vieux Garçon sont attestées à l’Odéon le 16 décembre 1782 puis au Théâtre des amis de la Patrie 6, rue de Louvois à Paris les 17, 19 et 22 avril 1792 , mais elles ne sont mentionnées ni à la Comédie-Italienne ni au Théâtre Italien (salle Favart) ni aux Italiens (Théâtre des vrais Fantoccini italiens (au Palais-Royal)) [Source : base CESAR consultée le 15 février 2023]. La seconde version ne peut donc que se situer entre 1793 et 1815, date établie pour le décès de Lesuire.

INTRIGUE : Lesuire résume sa pièce de la manière suivante : « C’est une comédie qui a pour but moral de prêcher le mariage comme un devoir, et de décrier le célibat comme un abus. » Un vieux célibataire nommé M. de Vieux-Corps refuse obstinément le mariage, préférant sa vie libre de garçon. Son neveu Blandin souhaite épouser Rose, dont il est également aimé, et qui vit chez M. de Vieux-Corps avec sa mère, la riche banquière Mme Bontems. Celle-ci, pressée de marier sa fille, imagine lui donner pour époux le vieux barbon rentier et se garder le jeune homme dépourvu de ressources. Un héritage inespéré d’un oncle américain redonne fortune à Blandin qui peut alors librement épouser Rose. Vieux-Corps quant à lui cède aux instances de sa gouvernante et l’épouse.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Bambochinet ou chacun sa malice, folio 89_B
INTRIGUE :
Réputé à la halle pour ses infidélités, Bambochinet délaisse Citronnette pour Javotte, nouvelle conquête aux revenus plus prometteurs. Le père de Citronnette, Labreloque, veut contraindre le volage à tenir ses engagements et se fait aider par son neveu Cadet. Celui-ci compte bien être récompensé de son zèle par un mariage avec Javotte. Le stratagème est alors le suivant : faire croire à Bambochinet que la mère de Javotte ne donnera sa fille qu’à un aveugle au motif qu’un tel handicap rend fidèle et soumis ; le faire passer pour tel ; en réalité, provoquer ainsi le refus de la mère qui donnera sa fille à Cadet ; contraindre de la sorte Bambochinet à épouser Citronnette. Bambochinet feint d’accepter mais sent le piège. Il enrôle à son tour son ami La Scie et lui fait prendre son rôle de faux aveugle tandis que lui-même jouera un clerc de notaire. La ruse cette fois fonctionne en une scène de reconnaissance finale. Les déguisements sont levés et les mariages scellés : dans le faux infirme rejeté par Javotte, Citronnette reconnaît La Scie qu’elle aime et dont elle est aimée ; Bambochinet se découvre et est agréé par la mère de Javotte.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en trois actes

DATATION : La pièce se passe en 1798 comme l'indique la première scène où l'on rappelle que Jean-Jacques Rousseau est mort "il y a vingt ans".

INTRIGUE : Après avoir été secrètement enfermé pendant vingt ans dans un cachot pour l’empêcher de prendre la succession de Voltaire à la tête des « Incrédules », Jean-Jacques Rousseau est libéré. Il découvre une France désormais républicaine et démocratique, traversée par des opinions divergentes. Il fait également la connaissance de ses deux petits-enfants, fils et fille respectifs de Mme de Warens et de Thérèse Levasseur, qui ont le projet de se marier. Une forte somme obtenue par la vente de diamants offerts par le roi de Prusse lui permet de les doter et de conclure l’union.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Plus de peur que de mal, folio 34_B
INTRIGUE :
Deux amants, Cécile et Fernand, voient leur projet de mariage contrecarré par Mme Franville la tante de la jeune fille. Celle-ci lui destine en effet son voisin, M. de Corval, homme tout à fait de son goût. Fernand, garde national muni d’un billet de logement, passe la nuit chez les Franville. Les deux jeunes gens, témoins du souper intime que se préparent la tante et le voisin, utilisent leur peur d’être surpris par le mari, M. Franville, pour leur faire abandonner le projet de mariage. Ainsi est décidée leur propre union.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Les deux malades, folio 75_B
INTRIGUE :
Lindor espère épouser Rose. Mais l’oncle de la jeune fille, Grimaud, vieillard éternellement malade, a d’autres projets et compte la marier à son meilleur ami Douillet, tout aussi vieux et mal en point. Le jeune homme se fait passer pour un jardinier de Grimaud afin de mieux approcher celle qu’il aime et entraîne dans sa supercherie le neveu maladroit de Douillet, amoureux également de la jeune fille. En garçon jardinier malhabile, celui-ci se disqualifie immédiatement et se fait vite reconnaître ; Lindor, au contraire, muni de la protection de la mère de Rose, convainc le vieil oncle grincheux de les accompagner à Paris dont la gaieté le guérira.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
[Scène première. Arlequin entre en scène...], folio 24_B
INTRIGUE :
Arlequin doit se convertir à la sobriété pour séduire Colombine, méfiante. Un incident va aider Arlequin : Gilles, son rival, entraîne Cassandre, le père de Colombine, dans une noyade dont va le sauver Arlequin.

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Arlequin, commandant de place, folio 17_A
INTRIGUE :
Arlequin est un commandant sans armée tenant discours bravache contre d’invisibles Cosaques menaçant la contrée. Entre deux chansons à boire, il déguste un pâté, songe à Colombine et provoque l’ennemi anglais. La sommation écrite d’un colonel cosaque le ramène à son devoir de commandant, mais il refuse de se rendre et les Cosaques plient devant la fermeté de la réponse d’Arlequin.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Bavardage, charade en action, folio 9_B
INTRIGUE :
En un long monologue qui occupe la première scène, un bavard et vantard rapporte à une société de province les nouvelles de Paris et de la cour. Il finit sur une anecdote relatant les mésaventures d’un couple berné par un escroc. Dans la deuxième scène intervient la mère du bavard, qui, lassée de l’ingratitude de son fils, lui joue un tour et devant tous, pour le faire renoncer à toute arrogance. La troisième scène se tient au sein d’un couple. Le mari cherche à apaiser sa femme piquée des racontars de sa servante.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en quatre actes.

COMMENTAIRES : Le
 personnage de Cataudin est issu de la suite romanesque à succès de Lesuire, L’Aventurier français (Seconde suite parue en 1785-1786), à laquelle il est explicitement fait référence dans la première scène de la pièce.

INTRIGUE : Cataudin, jeune libertin, et Crispin, son valet, se font passer pour saint Bruno et saint Crêpin descendus du ciel grâce à un aérostat. Ils séduisent deux jeunes femmes, Laure et Barbe, crédules et ignorantes enfermées dans un couvent.


Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Drame héroïque du Grand Corneille restauré

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Mélodrame en trois actes.

INTRIGUE : Le tyran de Samos, Polycrate, vit dans le cynisme de ses crimes et refuse d’écouter les conseils avisés des prêtres et philosophes qui l’entourent pour préférer les avis nocifs de son âme damnée. Il vient de refuser de payer un billet promis à Nauclerus, qu’il ignore être le fils de son ami Oreste, et de faire prisonniers Zénéide, fille du même Oreste, et son amant, Alcime. Oreste arrive pour lui livrer selon sa promesse la ville de Tarente, mais, en apprenant ses méfaits, le fait exécuter et donne les deux villes de Samos et Tarente à son souverain, Cyrus. Il marie sa fille et fait de son gendre et de son fils les gouverneurs de chacune des deux villes.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en trois actes

INTRIGUE : Cideville, en voyage scientifique depuis la cour de Suède où il est en relation avec Carl von Linné, rencontre un ermite reclus dans une grotte, passionné de plantes et auteur de plusieurs herbiers. Voyant sa tristesse, il devient le confident de son désespoir amoureux.
Le manuscrit s'achève ici.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Drame héroïque

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie du Grand Corneille retouchée

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie héroïque en vers libres

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Pantomime dialoguée mêlée d'ariettes, en trois actes.

INTRIGUE : Sur fond de libération d’Orléans par Jeanne d’Arc et d’indifférence du futur Charles VII envers les combats de défense de son royaume et envers sa maîtresse Agnès Sorel, la pièce relate les doubles retrouvailles de la Trémouille et de sa maîtresse italienne Dorothée, libérés par Dunois, ainsi que celles de Tirconel avec son amante italienne qui se révèlent être les parents de Dorothée.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Drame héroïque

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
[Messieurs et Mesdames, C'est avec la permission...], folio 7_B
SUJET :
Discours d’un charlatan sur la place d’une ville, vantant les médicaments miraculeux qu’il a rapportés de toutes les parties du monde.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Drame tragique

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en un acte et dix-huit scènes, en vers.

DATATION : La pièce fournit des indices de datation. À la scène 3 sont mentionnés « six napoléons », monnaie créée le 28 mars 1803, et l’avant-dernière scène mentionne le mois de « prairial » dans le calendrier républicain qui a été abrogé le 1
er janvier 1806.

INTRIGUE : La jeune Annette, très bien dotée par sa famille, est courtisée par un avare, un prodigue et le jeune secrétaire de son père, prometteur mais à la fortune encore trop modeste pour ne pas créer une mésalliance. Une succession de scènes symétriques visant à opposer les caractères conduit au mariage entre les deux jeunes gens grâce au deus ex machina d’un héritage opportun.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en quatre actes, tirée de la Seconde suite de L’Aventurier français, Tome IV, 4e partie, Liv. 2e (1785-1786).

INTRIGUE : Cataudin, jeune libertin, et Crispin, son valet, se font passer pour saint Bruno et saint Crêpin descendus du ciel grâce à un aérostat. Ils séduisent deux jeunes femmes, Laure et Barbe, crédules et ignorantes enfermées dans un couvent.

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Drame en cinq actes.

INTRIGUE : Un peintre talentueux se croit en mauvaise grâce auprès du cardinal de Richelieu et menacé par une lettre de cachet. Il tente de se suicider mais ses amis, son écolière et amante Julie, ainsi que l’amour de ses deux filles jumelles, l’une aveugle et l’autre sourde et muette, qu’il vient de retrouver auprès de l’abbé de L’Epée, lui redonnent le goût de vivre.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie

Une note de Lesuire indique que le sujet de cette pièce est "tiré de l'histoire d'Angleterre".

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie proverbe en un acte et dix scènes.

DATATION : Les mentions du calendrier républicain et du terme "Révolution" indiquent une rédaction postérieure à 1789.

INTRIGUE : G
illes Têtu, un chapelier songeant à se reconvertir en marchand de perruques, souhaite épouser Rose qu’il vient de rencontrer. Mais la jeune fille doit choisir entre lui et un rival, un maître danseur. Après un tirage au sort infructueux, c’est le duel au pistolet qui fera fuir le rival au profit de Gilles.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en trois actes.

INTRIGUE : Suite du récit entamé dans la première partie du manuscrit. Les deux amants, désespérés d’être séparés par le choix du père qui s’est finalement porté sur un autre homme, se donnent l’un à l’autre et conçoivent un enfant. Cresqui, pris au piège alors qu’il tentait de faire évader Zélia à sa demande, tue son rival et blesse le frère de Zélia. Forcé de se cacher dans un ermitage, il perd la trace de Zélia qui a disparu. Dans l’acte II, Cideville ramène à une pauvre femme son fils qui a été sauvé par l’ermite. On comprend que la femme est Zélia. La pièce est inachevée.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en un acte et treize scènes.

DATATION : Le texte de la pièce fournit quelques indices de datation : dans la première scène La Bévue est décrit comme un
« bon et franc républicain » et Boneuil dénonce les « cagots de l’ancien régime » ; la dernière scène évoque un « Incroyable » et une « Merveilleuse », « dénominations » dont on dit qu’elles sont « un peu vieilles » ; la victoire est celle de Bonaparte ; l’ensemble de la pièce enfin est un encouragement patriotique au mariage dans l’esprit de régénération post-révolutionnaire.

INTRIGUE : Le Sauvage et Nicette, deux jeunes gens élevés dans le rejet du mariage et de l’autre sexe, sont poussés dans les bras l’un de l’autre par le tuteur de la jeune fille. Ce mariage doit venir célébrer la victoire imminente de Bonaparte.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en un acte [deux, en réalité] mêlée d'ariettes et de vaudevilles.

INTRIGUE : Colinette et Colas se désolent chacun de son côté de l’infidélité de l’autre. Mais les deux se trompent, victimes des fausses rumeurs lancées par Simon, rival de Colas. Lorsque Simon propose à Colinette de l’épouser, celle-ci comprend cependant le coup monté et se réconcilie avec Colas. Suzette vient alors les aider à piéger
Simon à leur tour.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en trois actes, en vers, mêlée d'ariettes.

INTRIGUE : Dom Carlos aime une jeune femme parée de toutes les qualités mais ne connaît pas son visage qu’elle garde masqué. Lors d’un rendez-vous, il est fait prisonnier et emmené dans le château de la princesse Doreia. Il s’agit en réalité de sa maîtresse qui veut éprouver son amour. Malgré la beauté de la princesse, il reste fidèle à sa promesse envers son amante invisible et la princesse, capitulant, lui rend sa liberté. Il retrouve son amante qui se dévoile alors. Le mariage – et celui des domestiques – peut être célébré.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Comédie en trois actes mêlée d'ariettes.

INTRIGUE : M. Delorme, bourgeois naïf, s’est entiché de deux para
sites, M. Duplex et le chevalier des Tournelles, avec qui il boit son vin et partage son argent. La situation de la famille Delorme, très unie, ne permet pourtant pas ces largesses car Nicelle, la fille du couple, est en âge de se marier. Son prétendant, Bléval, est un avocat talentueux mais sans fortune. C’est pourquoi Mme Delorme a joué à la loterie militaire, s’appuyant sur la combinaison de la martingale, pour assurer une dot à sa fille. Mais Duplex a trouvé le billet de 24 livres par terne et s’en est emparé. M. Delorme lui conjure de le vendre pour ne pas perdre plus d’argent. Le jeune Bléval suit Duplex et achète le billet. Le tirage montre que le billet est gagnant et les Delorme sont désormais à l’abri du besoin. Le jeune prétendant renvoie donc le billet à Mme Delorme par la petite Poste, de manière anonyme. Mme Delorme puis Nicelle refuse d’accepter ce billet qu’elles reconnaissent comme le leur mais dont elles ne connaissent pas la provenance, craignant qu’il soit le fruit d’un crime. Bléval, ne voulant pas être reconnu comme le propriétaire du billet et par modestie, est cependant contraint de révéler qu’il est l’auteur de l’envoi. La famille, unie dans le sentiment d’honneur, refuse d’accepter le billet, non plus que Bléval. Un arrangement est finalement trouvé : c’est Nicelle qui donne le billet à Bléval valant dot et le mariage est conclu. Duplex est démasqué par le chevalier des Tournelles et est congédié des lieux.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Pièce en deux actes.

INTRIGUE : A
lcidouin souhaite épouser la jeune veuve Glicérie. Mais celle-ci refuse, sans donner les raisons à son prétendant. Servia, servante de Glicérie, procure alors au jeune homme une des lettres que sa maîtresse échange régulièrement dans le secret. Il apprend ainsi que le père de Glicérie est en prison. Après une ellipse, le second acte s’ouvre sur la libération d’Orzemon, le père de Glicérie, par l’entremise d’Alcidouin. Celui-ci ne veut pas s’honorer de son geste pour convaincre la jeune femme de l’épouser. Il souhaite ne devoir son accord que par amour. De son côté, Glicérie n’ose avouer son premier état d’esclave. Un échange philosophique s’ensuit entre les deux amants. Orzemon reconnaît alors en Alcidouin son libérateur et le mariage se fait.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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Pièce en cinq actes.

Le fils du comte de Varville a perdu son père lors de la première année de la Révolution. Combattant au côté des royalistes, il est sauvé des mains des
républicains par un soldat. Il prend désormais le nom de Germeuil et prend part aux campagnes d’Italie. Avec l’avènement de l’Empire, il se retire dans une de ses propriétés. Conservant le nom de Germeuil, il écrit des ouvrages qui lui valent un certain renom. La Restauration lui rend ses propriétés qu’il doit défendre contre un imposteur. Après une attaque à l’issue de laquelle on le croit mort, il confie ses biens à un intendant de confiance et se rend dans le Périgord. Il y sauve une jeune fille, Isabelle, et sa mère d’une attaque de brigands. Celles-ci l’accueillent alors chez elles.
La pièce commence. Germeuil et Isabelle sont épris l’un de l’autre mais Germeuil tient une conduite mystérieuse, de solitude et de mutisme, que personne ne comprend.
Seuls ses monologues et des échanges de lettres avec son intendant donnent accès à ses pensées et intentions. S’ensuit un certain nombre de quiproquos qui le dénigrent aux yeux de la famille d’Isabelle puis qui le font passer pour un criminel. L’arrivée de son intendant, qui dévoile sa véritable identité par une lettre, permet d’innocenter Varville du crime dont on l’accusait. Il retrouve également son oncle, ami du père d’Isabelle. Le mariage peut ainsi avoir lieu.

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie en cinq actes et en vers.

INTRIGUE : La reine de Crète a fait le serment de venger la mort de son mari tué par le roi de Grèce, Timocrate. Elle a également fait le serment de donner sa fille Eriphile en mariage à l’homme qui accomplirait cette vengeance. Parmi les prétendants au mariage et au trône, Cléomène, bien que n’étant pas de sang royal, déclare avoir fait prisonnier Timocrate. Mais un homme reconnaît en Cléomène le prétendu prisonnier. Par ce mensonge, le roi voulait ainsi permettre à la reine d’accomplir sa promesse de vengeance, qu'il approuve. Mais, jouant le deus ex machina, une lettre du roi défunt assurant son épouse que Cléomène-Timocrate l’a tué par honneur et devoir pour sa patrie en cherchant à lui donner les derniers soins, délivre la reine de son serment de tuer le jeune homme. Le mariage entre Eriphile et Timocrate peut avoir lieu.

COMMENTAIRES : Lesuire donne deux textes explicatifs de son projet de "retoucher" les tragédies de Thomas Corneille.

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Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie bourgeoise en trois actes avec des chants.

INTRIGUE : Ninon de Lenclos, à qui tout semble réussir, est en réalité en proie à un profond chagrin. Son amant de jeunesse l’a quittée dix-huit ans plus tôt, appelé par ses devoirs de militaire. Elle en a eu un fils qu’elle élève en cachant à tous, y compris à lui-même, qu’elle est sa mère. Or ce jeune homme, Villiers, lui avoue son amour. Dans le même temps, un incendie à la Bastille a permis la fuite de quelques prisonniers, dont le Masque de fer qui vient rendre visite à Ninon. Elle le reconnaît comme son ancien amant. Villiers, les voyant ensemble et fou de jalousie, provoque en duel celui qu’il ne sait pas être son père. Celui-ci est forcé de lui déclarer la vérité. Mais, il doit se cacher de l’État et ne peut rester auprès de Ninon et de son fils. Incapable de se raisonner, Villiers est sur le point d’enlever sa mère et de la forcer à l’épouser. Celle-ci doit à son tour lui révéler le secret de sa naissance. Rongé par la honte, il se suicide alors devant sa mère.

COMMENTAIRES : Lesuire donne des indications sur ses intentions et le choix des personnages historiques. Il explique ainsi avoir décidé de reprendre la trame de la tragédie grecque, mais son héros s’arrête avant de commettre les actes irréparables, ce qui, déclare Lesuire, fait qu’ « il s’en punit plus cruellement » en se suicidant et non pas seulement en se crevant les yeux. Les personnages historiques proviennent d'un sujet non encore identifié donné par Marmontel concernant Ninon de Lenclos, et par le récit de Voltaire sur le Masque de Fer dans Le Siècle de Louis XIV.

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie bourgeoise en trois actes avec des chants.

INTRIGUE : Ninon de Lenclos, à qui tout semble réussir, est en réalité en proie à un profond chagrin. Son amant de jeunesse l’a quittée dix-huit ans plus tôt, appelé par ses devoirs de militaire. Elle en a eu un fils qu’elle élève en cachant à tous, y compris à lui-même, qu’elle est sa mère. Or ce jeune homme, Villiers, lui avoue son amour. Dans le même temps, un incendie à la Bastille a permis la fuite de quelques prisonniers, dont le Masque de fer qui vient rendre visite à Ninon. Elle le reconnaît comme son ancien amant. Villiers, les voyant ensemble et fou de jalousie, provoque en duel celui qu’il ne sait pas être son père. Celui-ci est forcé de lui déclarer la vérité. Mais, il doit se cacher de l’État et ne peut rester auprès de Ninon et de son fils. Incapable de se raisonner, Villiers est sur le point d’enlever sa mère et de la forcer à l’épouser. Celle-ci doit à son tour lui révéler le secret de sa naissance. Rongé par la honte, il se suicide alors devant sa mère.

COMMENTAIRES : Lesuire donne des indications sur ses intentions et le choix des personnages historiques. Il explique ainsi avoir décidé de reprendre la trame de la tragédie grecque, mais son héros s’arrête avant de commettre les actes irréparables, ce qui, déclare Lesuire, fait qu’ « il s’en punit plus cruellement » en se suicidant et non pas seulement en se crevant les yeux. Les personnages historiques proviennent d'un sujet non encore identifié donné par Marmontel concernant Ninon de Lenclos, et par le récit de Voltaire sur le Masque de Fer dans Le Siècle de Louis XIV.

 

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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Comédie mêlée d'ariettes et de vaudevilles

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Tragédie en cinq actes et en vers

DATATION : Dans ses Confessions Lesuire évoque la rédaction de tragédies au début de sa période de création, mais la mention « ouvrage de jeunesse » peut indiquer une mention portée ultérieurement sur une page de titre comme une copie ultérieure d’un premier état de la pièce.

INTRIGUE : Une loi décrétée par le consul Manlius Torquatus interdit à tout soldat romain de se battre en combat individuel contre les frères ennemis latins. Or son fils vient de tuer Métius qui s’apprêtait à exécuter celle qu’il aime, une étrangère d’Antium nommée Attilie. Manlius père est déchiré entre son amour pour son fils et la volonté de tenir au-dessus de tout la loi romaine ; de son côté, son fils est torturé par son amour pour Attilie et son respect pour son père et la vertu.

 

Mots-clés :

Auteurs : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
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GENRE : Divertissement en un acte mêlé d'ariettes et de vaudevilles.

INTRIGUE : À l’aube du premier mai, le jeune Grival vient déposer un bouquet à la fenêtre de sa maîtresse Nanette. Mais celle-ci le prévient que son père veut la marier au vieux Brizard, en échange de l’abandon d’un procès qui les lie. Brizard, de son côté, n’épouse Nanette que pour s’éviter de payer 2000 écus. Engagés ainsi tous deux, ils répugnent à un mariage auquel ils se voient forcés. C’est l’oncle de Grival, notaire, qui dénoue finalement la situation.

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