Lesuire

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Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Air de la romance d'Aurélius, folio 18_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Chanson du grenadier, folio 16_gauche

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Le chat, folio 14_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Ronde [Mes quinze ans sont révolus...], folio 12_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Bagatelle. Paris en miniature, folio 11_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Chanson sur l'air de Je le compare avec Louis, folio 10_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Chanson [J'ignorais comme on fait l'amour...], folio 9_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Les baisers. Air  : de l'avis aux hommes, folio 8_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
L'Attachement réfléchi. Romance., folio 7_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
L'Examen de conscience. Air de la romance d'Aurélius, folio 6_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Cansonetta. Altra., folio 5_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Le Boristhène, folio 3_droite

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Bambochinet ou chacun sa malice, folio 89_B
INTRIGUE :
Réputé à la halle pour ses infidélités, Bambochinet délaisse Citronnette pour Javotte, nouvelle conquête aux revenus plus prometteurs. Le père de Citronnette, Labreloque, veut contraindre le volage à tenir ses engagements et se fait aider par son neveu Cadet. Celui-ci compte bien être récompensé de son zèle par un mariage avec Javotte. Le stratagème est alors le suivant : faire croire à Bambochinet que la mère de Javotte ne donnera sa fille qu’à un aveugle au motif qu’un tel handicap rend fidèle et soumis ; le faire passer pour tel ; en réalité, provoquer ainsi le refus de la mère qui donnera sa fille à Cadet ; contraindre de la sorte Bambochinet à épouser Citronnette. Bambochinet feint d’accepter mais sent le piège. Il enrôle à son tour son ami La Scie et lui fait prendre son rôle de faux aveugle tandis que lui-même jouera un clerc de notaire. La ruse cette fois fonctionne en une scène de reconnaissance finale. Les déguisements sont levés et les mariages scellés : dans le faux infirme rejeté par Javotte, Citronnette reconnaît La Scie qu’elle aime et dont elle est aimée ; Bambochinet se découvre et est agréé par la mère de Javotte.

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Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Les deux malades, folio 75_B
INTRIGUE :
Lindor espère épouser Rose. Mais l’oncle de la jeune fille, Grimaud, vieillard éternellement malade, a d’autres projets et compte la marier à son meilleur ami Douillet, tout aussi vieux et mal en point. Le jeune homme se fait passer pour un jardinier de Grimaud afin de mieux approcher celle qu’il aime et entraîne dans sa supercherie le neveu maladroit de Douillet, amoureux également de la jeune fille. En garçon jardinier malhabile, celui-ci se disqualifie immédiatement et se fait vite reconnaître ; Lindor, au contraire, muni de la protection de la mère de Rose, convainc le vieil oncle grincheux de les accompagner à Paris dont la gaieté le guérira.

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Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Plus de peur que de mal, folio 34_B
INTRIGUE :
Deux amants, Cécile et Fernand, voient leur projet de mariage contrecarré par Mme Franville la tante de la jeune fille. Celle-ci lui destine en effet son voisin, M. de Corval, homme tout à fait de son goût. Fernand, garde national muni d’un billet de logement, passe la nuit chez les Franville. Les deux jeunes gens, témoins du souper intime que se préparent la tante et le voisin, utilisent leur peur d’être surpris par le mari, M. Franville, pour leur faire abandonner le projet de mariage. Ainsi est décidée leur propre union.

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Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
[Scène première. Arlequin entre en scène...], folio 24_B
INTRIGUE :
Arlequin doit se convertir à la sobriété pour séduire Colombine, méfiante. Un incident va aider Arlequin : Gilles, son rival, entraîne Cassandre, le père de Colombine, dans une noyade dont va le sauver Arlequin.

Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Arlequin, commandant de place, folio 17_A
INTRIGUE :
Arlequin est un commandant sans armée tenant discours bravache contre d’invisibles Cosaques menaçant la contrée. Entre deux chansons à boire, il déguste un pâté, songe à Colombine et provoque l’ennemi anglais. La sommation écrite d’un colonel cosaque le ramène à son devoir de commandant, mais il refuse de se rendre et les Cosaques plient devant la fermeté de la réponse d’Arlequin.

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Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Bavardage, charade en action, folio 9_B
INTRIGUE :
En un long monologue qui occupe la première scène, un bavard et vantard rapporte à une société de province les nouvelles de Paris et de la cour. Il finit sur une anecdote relatant les mésaventures d’un couple berné par un escroc. Dans la deuxième scène intervient la mère du bavard, qui, lassée de l’ingratitude de son fils, lui joue un tour et devant tous, pour le faire renoncer à toute arrogance. La troisième scène se tient au sein d’un couple. Le mari cherche à apaiser sa femme piquée des racontars de sa servante.

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Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
[Messieurs et Mesdames, C'est avec la permission...], folio 7_B
SUJET :
Discours d’un charlatan sur la place d’une ville, vantant les médicaments miraculeux qu’il a rapportés de toutes les parties du monde.

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Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
Monologue pour mettre en action une charade sur le mot bavardage, folio 3_A
INTRIGUE :
Un bavard fait son entrée dans un salon. En un long monologue, il apporte avec arrogance des nouvelles de Paris et de la cour, flatte chacun des assistants et termine par une anecdote relatant l’escroquerie d’un parasite envers des hôtes trop crédules.

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Collection : Romans
Auteur : Lesuire, Robert-Martin (1736-[1815])
[Chapitre 1er. Le capucin.], folio 3_B
Il s'agit des deux chapitres initiaux d'un roman inachevé et sans titre. Le manuscrit présente très peu de ratures et le texte entre exactement dans le gabarit de chaque cahier. Il semble qu'il s'agisse donc d'une version de recopiage, très proche de la version définitive si ce n'est la version définitive elle-même. La période de rédaction n'a pas pu être déterminée pour le moment.

INTRIGUE :

Le jeune Aldric Dancourt, né d’un mariage peu assorti, subit un père âgé, imbu de ses origines et peu aimant. Très tôt orphelin de sa mère qui n’a pu s’occuper de lui, il est envoyé en pension dans un collège près de Poitiers. Son père épouse entretemps la nourrice qu’il lui avait choisie et lui interdit de revenir à la maison, le destinant au clergé. Refusant cette carrière, Aldric s’échappe du collège et parvient à Paris. Il est recueilli par une femme qui fait son initiation amoureuse. Un matin, un commissaire et quatre soldats frappent à la porte et arrêtent le jeune homme. Sur ordre de son père, il doit être envoyé dans un couvent.



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