Espace Afrique-Caraïbe

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Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
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NUM ETU MAN1 Toetsaina fitiavam-boky 1.jpg

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Collection : Chants pour Abéone
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 AMITIE MORT1.jpg
Série de pages manuscrites préparant les exergues et dédicaces définitifs.

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Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN muses 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Paulhan HT.jpg

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Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Vieux discours 1..jpg
Un florilège de proverbes, d'images, de lieux communs non ineptes mais le lieu d'une communauté, ici les deux familles des futurs époux. à travers lesquels s'incarne la voix des ancêtres.

Collection : Le moraliste
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO MAN1 Vie.pdf
La venue au monde de JJR dans ce qui s'annonce comme l'ébauche d'une autobiographie. En effet, s'il tient un journal qu'il s'efforce d'être quotidien, c'est "pour la triple histoire : la grande, la petite et la… personnelle.". Ne serait-ce qu'une simple note, il apparaît donc primordial de laisser une trace pour la postérité : JJR donne le ton à qui aura à rédiger sa nécrologie.

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Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 FIN DE MUSIQUE.jpg
Jean-Joseph Rabearivelo évoque l'atmosphère d'une après-midi autour du kiosque à musique où les "voix rauques, / De leurs rythme brisés [...] s'en vont résonner encor jusqu'au fond des jardins, / Étouffer leurs échos dans les lumières glauques". À Tananarive, dans le parc de la Résidence, la Société Philharmonique, musiciens amateurs européens et indigènes, y donnait presque mensuellement des "concerts intéressants" relate la Revue de Madagascar. En outre, les cérémonies officielles venant rythmer la vie tananarivienne s'adjoignaient souvent d'une troupe de mpilalao, de hira-gasy, d'artistes indigènes - après avoir, évidemment ! passé, ou biaisé, la censure. Le sonnet se donne à lire comme une scène de genre.

Collection : Volumes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 Vent s annonce 1.jpg

Les ratures, la superposition de l'encre bleue sur le crayon papier, le motif du poème et le champ lexical s'enchainent, piétinent... tout cela atteste d'un état premier du brouillon. Nous assistons à la progressive genèse du poème. Rabearivelo y cherche l'équilibre et comme il l'écrit dans ses Calepins Bleus : ce " mouvement élusif tout autant qu’expansif ". C'est ce qu'il prise le plus. Moins qu'un respect métrique, dont il semble avoir épousé le rythme, dans cette " langue adoptive " (voir dans Volumes, "À Robert-Edward Hart"), se dégage un art consumé de la pointe. Rabearivelo prépare une image de clôture à la fin de chacun d'eux. L'écriture fonctionne comme un revenez-y autour d'un même motif, c'est cela qu'il importe d'exprimer selon un art poétique constitué au fil de ses multiples lectures : de Baudelaire à Mallarmé, en passant par les courants les plus contemporains des années 1920-1930 - même si parfois oubliés, n'ayant pas toujours fait école...

Collection : Volumes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN2 Dédicaces 1.jpg

Titre général : Dédicaces - f°1 : A Sahondra ("D'un âge ingrat fleuri"), f°2 : A Pierre Camo ("Du signe de vieillir"), f°3 : A Marcel Ormoy ("Un miracle ennuyant"), f°4 : A Jean Lebrau ("Jean Lebreau, j'ai cuilli), f°5 : A Ramlijaona ("Le vent pourra souffler")

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Solitudes [Les]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Solitudes [Les]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Solitudes [Les]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Solitudes [Les]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
DIV MAN1 Dia hisy loka 1.jpg
1 feuillet manuscrit 21x13, s.d., au verso d'un fragment de papier à en-tête de Creton & Hébant, non signé (contenu dans le cahier Les Solitudes).
Traduit par Josiane Rabenoro :

ATTRIBUTION D’UN PRIX DE TROIS CENT FRANCS
[ afin de]
Un prix de trois cents francs sera attribué chaque année à un écrivain désigné par le jury pour son œuvre
[ A chaque]
Ce jury sera souverain. Il choisira en toute impartialité parmi les écrits parus dans les différents titres de la presse malgache et le 3 janvier de chaque année, il tiendra une ultime réunion [en vue de] pour statuer sur l’attribution du prix.
[Le prix 1923] Le 4 janv. C’est toujours un prix qui sera attribué [Cela, c’est-à-dire : ce qui a été créé, la chose]
(Septembre, décembre
Il ne sera pas fait de distinction parmi les genres littéraires  (seront examinés)  aussi bien les contes que les nouvelles , les romans, les poèmes ou les critiques
[S’il y en a qui]
Le jury est

M.M

Collection : Solitudes [Les]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 AMOURS ROYALES.jpg
Un poème qui évoque la légende du royaume d'Imerina en latence " sous [les] rochers moussus qu’abrite / un bel arbre " ; l’Histoire-à-délivrer du paysage que le poète seul peut sortir de terre. Le sonnet aura trouvé son public avec sa diffusion dans la Revue de Madagascar et Latitude-sud 18°. Rabearivelo y chante le mystère royal de l'Île Rouge, horizon d'attente d'un lectorat et d'un tourisme en plein essor.
La flânerie, cette envie de découvrir des peuples lointains et d'autres mœurs, fonde un nouvel habitus qu'incarne, par excellence, un Jean Paulhan, auteur du Repas et l’amour chez les Merina, un Jean d’Esme ; ou encore Pierre Benoît, Maurice Martin du Gard – que Rabearivelo fréquente lors de leur bref séjour à Tananarive -, deux écrivains " délaissant momentanément " la vie parisienne pour demander " au dépaysement colonial […] une occasion de renouvellement personnel ". Ils représentent ces hommes modernes de la plus Grande France " épris d'idéalisme à la fois et d'ordre matériel " qui ne poursuivent " d'autre espoir que de se perfectionner soi-même ".
La nostalgie des époques et des rois déchus s’accordent donc avec ce désir de perfectionnement moral ; après le temps de la conquête, règne la PAX ROMANA ; l’Esprit européen promène son cœur gonflé de songes à travers l’Empire...

Collection : Solitudes [Les]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV 18LS Amours royales 1.jpg
Le premier poème célèbre les collines sacrées d'Ambohimanga où "est enfoui tout un secret, / hors de l'Histoire écrite" que les sens et l'imaginaire seuls peuvent excaver. Le second poème fait l'éloge d'un fruit royal concourt à la "légende" de l'Imerina. Jean-Joseph Rabearivelo se fait le chantre du royaume déchu : il invite non seulement ses compatriotes, mais n'importe quel étranger, voyageur, touriste à "faire son salut", ainsi que l'écrit Maurras devant Athènes, "bien voir le paysage en concevant à ce propos les plus belles pensées". Encloses dans la nature et les vestiges, "les idées que l’esprit a / depuis longtemps conçues / et qui naissent enfin et grandissent / avec des mots pour langes" ; tonon-kira - tonona parole et hira chant - fondent, dans l'esprit de Jean-Joseph Rabearivelo, le "fond poétique de la race" où gît la "personnalité" et "l'âme malgache". En ce sens, l'article "Monuments aux morts" juste après, s'accorde avec les vœux de Jean-Joseph Rabearivelo : la politique de la ville menée par l'Administration, en faisant d'un "coin charmant du vieux Tananarive" un lieu de commémoration de la Grande Guerre, substitue l'Histoire de France à la "rêverie historique" ; la propagande heurte la sensibilité des vazahas amoureux de l'île et porte atteinte au potentiel touristique. Jean-Joseph Rabearivelo est l'auteur avec Eugène Baudin de Tananarive, ses quartiers et ses rues publié aux presses de l'Imerina en 1937.

Collection : Solitudes [Les]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 FIN DE MUSIQUE.jpg
Indigène lettré, Jean-Joseph Rabearivelo découvre l'Indolence dans l'intimité des livres.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Solitudes [Les]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Beau rechanter.jpg
Des exercices d'écoliers, des vers ronsardisants d'un Rabearivelo sous le charme de Tristan, de Roméo et d'Orphée. C'est le voyage depuis mon île, l'imaginaire de l'exotisme et de l'Autre. Expérience initiatique au sortir de laquelle naît l'écrivain : " c’est pour avoir trop aimé Racine et Verlaine que nous nous sommes découvert, à quatorze ans, pendant l’étude du soir ou dans la grande cour du lycée, une vocation d’écrivain " confesse J.-P. Sartre dans Qu'est-ce que la littérature ?. Eléments essentiels donc où s'élabore une bibliothèque, un musée imaginaire ouvrant, par les émotions ainsi créées, la personnalité de l'individu " comme tel thème de Tristan par exemple, qui nous représente aussi une certaine acquisition sentimentale " laquelle, en épousant " notre condition mortelle ", aura alors " pris quelque chose d’humain " c'est-à-dire nous-même ; rite du passage vers l'écriture.

Collection : Solitudes [Les]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 Viens de refermer.jpg
Une apostrophe à la Muse de Pierre Camo. Des vers bien troussés entre deux gentilshommes qui, " séparés par les mers ", s'embrassent dans le lieu commun d'une " fleur de grenade " : ah " vous l'aimez cette fleur " pour tout le sang qu'elle suggère à vous et moi qui sommes de noble lignage ! Ce parfum Grand Siècle - d'ailleurs le titre d'un éloge à son " PREMIER et DERNIER ami " : " Camo, figure du grand siècle " - fleurissait dans les îles où, comme le sentait Paul Valéry, s'y conservent " des choses très précieuses dont l’Europe semble se désintéresser aujourd’hui " ; résolument une jouvence française que les Colonies...
Quant à la facture de la pièce, le geste - " je viens de refermer pour la seconde fois / le livre des Regrets " - est très mallarméen : comme son homologue de la rue de Rome, à Paris, ses " bouquins refermés sur le nom de Paphos ", il prend la mer, la poésie ; ces voyageurs-assis, depuis leur bibliothèque, préfèrent " à tout site l'honneur du paysage faux ". Le poème n'appartient-il pas à l'ensemble Les Solitudes ?

Collection : Solitudes [Les]
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 Torride chaleur.jpg
Rabearivelo se met en scène, chez lui, dans sa bibliothèque où s'insinue l'air de la ville. La chaleur, si torride soit-elle, ne trouble pas sa quiétude. Le soleil ne lui tourne pas la tête, ni les tropiques n'astreignent les pensées du poète dont l'image, on le voit, ne relève plus de l'arsenal romantique ou du créateur habité de quelque divinité tutélaire. C'est avant tout un homme de métier campé dans son environnement familier : " autour de ma petite table, comme le marcheur se plaît sous un rameau, / j'ouvre mes livres... ".

Collection : Le Fils du pauvre
Auteur(s) : Feraoun, Mouloud
NUM_REC_MAN_FILS_5_couv1r.jpg
Même si le cahier n'est pas daté (ce qui est contraire aux usages d'écriture de Mouloud Feraoun), il contient, entre autres, l'épilogue que l'écrivain lui-même a daté de 1948 (voir L'Anniversaire).
En outre, Feraoun présente ce texte comme le fruit de trois années de travail sur le texte initial (cf. la dernière  lettre du cahier de correspondance, f8r/v) ce qui semble confirmer cette date.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV FB Toe-Tsaina.pdf

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Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM TRAD REV TM Meloka 1.jpg

Collection : Vakio ity
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Volumes
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Coeur végétal 1.jpg
Jean-Joseph Rabearivelo invoque la terre d'Iarive : qu'elle jaillisse et infuse les veines du poète afin que s'exauce " l'âme des Ancêtres ". Le poète se place sous le " signe ardent " de Charles Maurras à l’écoute du " pays réel " ; c’est la figure de l’homme du cru vivant le pays de manière spontanée, en parfait accord avec l’esprit du lieu et le prolonge à travers les âges. Ainsi donc à la Nature : " tel, pénètre mon sang et mûris ma pensée " pour qu’elle s’immerge dans " l’âme éternelle et première / des chantres d’Iarive ". Le Chant se pose comme l’égérie d’un nationalisme, intégral car indigène - éloge du terroir - et auréolé du culte des Morts ; c'est un appel à se recueillir sur la " série des autels aux divinités indigènes " (Barrès) ; ici est le cœur de toute poésie vraie et primitive.

Collection : Fleurs d'extase
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 FLEURS D EXTASE 1_1.jpg
Dans une couverture de cahier d’écolier, plusieurs groupes de feuillets au même format, en assez mauvais état (extrêmement raturés, cornés, encre délavée, presque illisible par endroits). Un premier groupe de 7 pages contenant des poèmes de 1922 numérotés de 171 à 211 ; un deuxième de 11 pages avec les poèmes 212 à 259 ; et un troisième de 15 pages avec les poèmes 261 à 317, datés de 1923. Sont inclus les poèmes « Consolation » devenu « À l’oubliée », n° 184, daté du 15/3/22 ; « Qu’as-tu… » devenu « À mon souvenir », n° 209, daté du 14/4/22 ; et « Le poème des Désenchantements » devenu « Désenchantement », n° 299, daté du 10 ou 12/4/23.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Sylves
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 MATUTINALES.jpg
Ces vers tendent à exprimer l'état de fièvre, poétique dirions-nous, car le corps, chétif, l'enveloppe corporelle amenuisée, la réceptivité sensorielle est accrue. Jean-Joseph Rabearivelo regrette sa convalescence ayant été l'égérie des premiers poèmes de Galets ; or, il ne retrouve plus cette "fièvre âpre de matutinal" sans laquelle il ne saurait poursuivre le recueil. Il s'interroge, dans les Calepins Bleus, sur les rapports de la maladie avec l'écriture.

Collection : Riovine
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Riovine, folio 1r

Nous ne connaissons de cette pièce qu’un vestige partiel : un cahier d’écolier marqué 2, contenant 23 feuillets manuscrits recto verso, couverts d’une écriture appliquée. Le cahier comprend la fin de la pièce (de la scène IX de l'acte II jusqu'à la fin, acte III scène XII.)

Il s’agit d’une intrigue amoureuse. Le jeune Ratovo (neveu du Gouverneur et soldat garde-frontière) aime la belle Ranivo (fille du Gouverneur), mais il ne peut se déclarer et brûle d’un amour impossible ; Ranivo s’apprête à épouser Rasela. À l’acte III, coup de théâtre, l’ennemi sakalava attaque et disperse la noce. Ratovo est blessé ; agonisant, il avoue en public son amour pour Ranivo et meurt en bénissant le nouveau couple.

Le lieu de l’action est la ville de Vohitrarivo (imaginaire ?). Les dialogues sont entrecoupés de chants.

Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2