La correspondance inédite du géomètre Gaspard Monge (1746-1818)

La correspondance inédite du géomètre Gaspard Monge (1746-1818)


192. Monge à sa femme Catherine Huart

Auteurs : Monge, Gaspard

Transcription & Analyse

Transcription linéaire de tout le contenu
Au Caire, le 28 vendémiaire de l'an VII
 
Tu dois, ma chère amie, recevoir bien rarement de mes nouvelles : 1°) les occasions qui sont peut-être assez fréquentes à Alexandrie, le sont fort peu au Caire ; 2°) Dieu sait si celles dont j'ai profité ont eu le bonheur d'échapper à la griffe des Anglais qui nous bloquent.[1] J'apprends que le général en chef vient de faire demander au secrétaire perpétuel de l'Institut[2] les procès-verbaux des séances pour les envoyer ce soir à l'Institut national[3] ; je me hâte de profiter de cette occasion. Nous nous portons tous très bien et il ne nous manque que les objets de nos affections pour être très heureux. De toutes les personnes de ta connaissance, il n'y a que le citoyen Champy qui a eu mal aux deux yeux, et qui a craint pendant quelque temps de les perdre ; il va maintenant beaucoup mieux, et ses deux yeux sont brillants.[4] Vous recevrez vraisemblablement dans les mêmes paquets la relation de plusieurs combats que différents détachements ont eu avec les Arabes et qui ont tous été à l'avantage de la République,[5] mais le principal est celui du général Desaix[6] contre Mourad Bey[7] qui a été forcé de sortir de la Haute-Égypte et de se jeter dans le désert occidental après avoir perdu beaucoup de monde ; on disait dans le commencement qu'il se réfugierait dans l'oasis la plus voisine. Les oasis sont des espèces d'îles cultivables situées dans le désert ; c'est dans l'une d'elles que se trouvait autrefois le temple de Jupiter Ammon, mais cette oasis la plus voisine ne peut nourrir qu'une population de 1500 âmes ; Mourad Bey a encore 1200 mameluks, des femmes, des valets et 3000 chameaux, il affamerait le petit pays et y périrait lui-même. On pense qu'il remonte le désert pour rentrer encore plus haut dans la Haute-Égypte ; mais le général Desaix est là pour lui faire face.[8] Quant à Ibrahim Bey,[9] nos espions nous assurent qu'il est à Gaza, première ville de la Syrie, qu'il ne peut obtenir du secours de personne, que les mamelouks qui ne sont pas de sa maison particulière l'abandonnent pour aller chercher fortune ailleurs, et que ceux de sa maison vendent leurs chevaux et leurs armes pour subsister. Ainsi, nous avons peu de chose à craindre de cet autre côté. D'ailleurs, le général en chef fait fortifier les frontières qui sont séparées de Gaza par 55 lieues de désert. Le Nil qui commence à se retirer, a été très beau cette année ; le canal d'Alexandrie a été [?] des barques pendant près d'un mois, quoique les Arabes soient venus à plusieurs reprises y faire des saignées pour le mettre à sec ; on a profité de ce canal pour faire venir d'Alexandrie : 1°) toute l'artillerie et les munitions de guerre, ce qui augmente les forces du général en chef, 2°) les livres de la bibliothèque et les ustensiles de chimie qui sont aujourd'hui au port de Boulac, à une demi lieue d'ici. Le second article nous procure la douceur de la lecture dont nous étions privés depuis notre arrivée sur la terre d'Égypte, le même canal a donné à Alexandrie toute l'eau nécessaire à ses citernes et de plus 5 mille quintaux de blé pour sa subsistance.
Le général en chef a convoqué les États généraux de l'Égypte pour les consulter sur la meilleure manière de faire le bien.[10] Nous avons été nommés, Berthollet et moi, commissaires du gouvernement pour cette assemblée qui va bientôt être dissoute. Les pauvres gens ne sont bons à rien. L'Alcoran, selon eux, répond à tout, et ils ne peuvent délibérer sur l'Alcoran. Ainsi il faut encore du temps pour que les améliorations soient praticables.[11] Mais si la paix se faisait, si le commerce était libre, si 20 mille familles françaises venaient successivement en Égypte pour y faire des spéculations de commerce, des établissements d'industrie, etc. les Français donneraient le ton, influeraient par la mode en même temps que par la force et bientôt le pays serait la plus belle, la plus brillante et la plus heureusement placée de toutes nos colonies.[12]
Je t'embrasse bien tendrement, ainsi que tous nos enfants, nos gendres, nos petits-enfants,[13] nos frères et sœurs,[14] et t'engage à être bien tranquille sur notre sort.
Monge
 

[1]Après la défaite navale d’Aboukir le 14 Thermidor an VI [1er août 1798], l’Angleterre reprend une position dominante en Méditerranée. Catherine reçoit cette lettre et la suivante du 29 vendémiaire (lettre n°193) en décembre 1798, elle y répond de Paris le 6 nivôse an VII [26 décembre 1798] : « Je viens enfin de recevoir de tes nouvelles, mon cher bon ami, des 28 et 29 vendémiaire dernier, je n’en ai pas eu une seule fois depuis ton arrivée en Égypte. ». Voir la lettre n°196.

[2] Jean Baptiste Joseph FOURIER (1768-1830).

[3] Voir la lettre n°189.

[4] Jean-Simon CHAMPY (1778-1845) en 1800, il n’est plus seulement une connaissance ni un ami de la famille mais il en devient membre en épousant Marie-Élysabeth-Christine LEROY appelée Paméla, nièce de Catherine Huart (1783-1856). Nombreux sont les membres de la campagne et de l’expédition d’Égypte qui souffrent de problèmes ophtalmologiques. Cela fait d’ailleurs l’objet d’une « Notice sur l’Ophtalmie régnante », par le citoyen BRUANT, médecin ordinaire de l’Armée publiée en 1798 dans le premier volume de La Décade Égyptienne (pp. 58-63). Cette notice est tirée de la correspondance du médecin Bruant avec le médecin en chef de l’armée Desgenettes.

[5] La victoire du général Victor Emmanuel Leclerc (1772-1802) à El-Khanqah, près du Caire, le lendemain de la défaite d’Aboukir, le 15 thermidor an VI [2 août 1798] ; le 23 Thermidor [10 août 1798], un petit détachement français réussit une retraite héroïque à Mansourah (entre Le Caire et Damiette), face à plus de 3000 soldats

[6] Louis-Charles-Antoine DESAIX (1768-1800).

[7] MOURAD BEY (1750-1801) chef mamelouk.

[8] Le 8 fructidor an VI [25 août 1798], Desaix commence la campagne en Haute-Égypte à la poursuite de Mourad-Bey après la bataille des Pyramides du 3 thermidor an VI [ 21 juillet 1798]. Desaix sort victorieux de son combat avec Mourad Bey à Sediman le 16 vendémiaire an VI [7 octobre 1798]. Voir les lettres n°193 et 197.

[9] IBRAHIM BEY (1735-1817) Mamelouk. L’arrivée impromptue des troupes napoléoniennes font fuir Ibrahim-Bey de la ville de Salahieh accompagné de son arrière-garde, composée d'environ mille mamelouks. Un escadron de cavalerie fonce sur les mamelouks qui se battent avec courage. Le 3e régiment de dragons venu en renfort force les mamelouks d'Ibrahim-Bey à s'enfoncer dans le désert. Ibrahim-Bey séjourne à Qatyeh puis Al-Arish pour arriver en Syrie.

[10] Le divan général tient sa première séance le 16 vendémiaire an VII [ 7 octobre 1798]. Monge a été chargé de rédiger une adresse au peuple d’Égypte. Cette adresse ne satisfait pas Bonaparte et fut remplacée par une autre que l’on fait voter le 18 octobre 1798. Bonaparte écrit à Monge et Berthollet en tant que commissaires près le divan général le 27 vendémiaire an VII [18 octobre 1798] : « J’ai reçu la réponse que m’a faite le divan aux différentes questions que je lui avais proposées. Remerciez le divan du zèle qu’il a mis dans ce travail. Dites au divan qu’il serait bon de faire un règlement pour déterminer, d’une manière invariable, les droits que les cadis et leurs subalternes doivent retirer des procès. Priez-le de nommer une commission pour  proposer ce règlement. Faites-lui connaître que je désirerais qu’il fît une adresse aux habitants du pays, pour leur faire sentir combien il est essentiel qu’ils ne prêtent pas l’oreille à des propos vagues et semés à dessein par leurs ennemis sur l’arrivée des mamelouks ; cela ne sert qu’à irriter les Français et à causer la ruine des villages. Qu’il leur conseille de fermer l’oreille à ces bruits perfides et sans fondement ; qu’ils prêtent obéissance, vivent en bonne harmonie avec les Français, et réunissent tous leurs efforts aux leurs pour réprimer les Arabes voleurs et les empêcher de dévaster les campagnes et de vexer les malheureux Français. Qu’il leur dise aussi que nous sommes des gens justes ; que nous n’avons ne vue que le bien du pays et d’y mettre en vigueur le règne de la justice. Les deux secrétaires peuvent se charger de rédiger cette adresse et l’envoyer demain à l’assemblée ; si elle est adoptée, les membres du divan pourront retourner à leurs affaires. » (3488, CGNB).

Dans son brouillon, Monge décrit un projet égyptien déterminé par l’idée de progrès qui fait écho au projet présenté à son gendre Marey au début du Directoire. (Voir les lettres n°3, 4 et 5.) L’Égypte devient le terrain de mise en œuvre d’une politique de grands travaux d’irrigation qui visent à la fois le progrès des sciences et des arts et le bonheur du peuple égyptien (Sur les enjeux scientifiques des systèmes de canaux d’irrigation, voir la lettre n°17.) :  « Peuples de l’Égypte, La terre que vous habitez à été le berceau des nations.  L’univers est plein de la gloire de vos ancêtres. C’est à eux que l’Europe est redevable de sa civilisation, et de ses premières lois. Les arts, les sciences, la religion, tout jusqu’à l’écriture elle-même nous vient des sages de l’Égypte. Leurs vaisseaux couvraient la mer rouge et la Méditerranée, et la célèbre Memphis placée au milieu du canal par lequel communiquaient les deux mers, [arbitre du commerce du monde] distribuait aux sauvages du Nord les chefs d’œuvre de l’industrie de l’Inde, et rapportait aux nations civilisées des bords du Gange les métaux et les matières premières  qu’elle avait reçues en échange. Devenus par leur industrie les maîtres du fleuve, [vos sages ancêtres] modéraient à leur gré [et rendaient utiles­] les irrégularités même de ses crues [et en lui soumettant par d’[innombrables] canaux des terres nouvelles], ils avaient doublé leur territoire et quadruplé leur population. Trente siècles de barbarie n’ont pu entièrement détruire les merveilles dont leur terre était couverte et qui attestent encore aujourd’hui leur incroyable puissance.  […] Tant d’éclat dut irriter l’ambition des conquérants du monde et la malheureuse Égypte [après avoir combattu longtemps pour son indépendance, ][devint] successivement l’esclave des Babyloniens, des Grecs, des Romains, des Arabes et des Mamelouks. Le commerce, enfant de la paix et de la liberté, s’exila de son pays natal, il  [ ?] [fut forcé de se créer] des routes pénibles et incertaines. Les richesses qu’il avait amassées affermirent l’avarice des premiers conquérants et se renouvelèrent plus. Les arts et les sciences disparurent avec lui. Les établissements auxquels il avait dû sa prospérité [tombés] entre mains des maîtres avides et imprévoyants ont été détruits et effacés par le temps. [L’ignorance couvrit d’un voile épais les yeux des descendants des anciens sages]. Le désert menace cette belle terre d’une invasion rapide, et l’Égypte [pauvre et dépeuplée] est aujourd’hui le seul pays où l’on ne se souvient plus de son antique splendeur. Des plaies si profondes, des maux si invétérés ne sont cependant pas sans remède. Les Français en vous apportant la liberté, la paix et la sureté des propriétés, vont rappeler  au milieu de vous le commerce qui après avoir successivement enrichi et rendu célèbre Persépolis, Palmyre, [et tant d’autres peuples] reprendra pour toujours sa route naturelle en rétablissant les canaux de Suez et d’Alexandrie, ils rendront au Caire les anciennes destinées de Memphis. L’Europe qui pendant le sommeil de l’Égypte est devenue consommatrice et industrieuse augmentera la prospérité du commerce en doublant son ancienne activité. […] Les arts et les sciences vont revenir en foule dans le pays qui leur donna naissance. Les irrigations vont se multiplier ; le désert va reculer devant vous et l’heureuse Égypte qui par sa position est le point de communication unique de l’ancien et du nouveau monde. Peuples de l’Égypte rendez-vous dignes de si belles destinées ; et n’essayez pas de rsuspendre un événement commandé par la nature des choses et que rien ne peut arrêter. […] Ce n’est pas la nature qui a produit les malheurs de l’Égypte ; le fleuve qui fertilisait autrefois cette belle vallée a encore aujourd’hui les mêmes crues et des eaux n’ont pas diminué de volume ; les deux mers qui donnaient des ailes à son commerce ne se sont pas éloignées, elles attendent encore ses vaisseaux ; ce sont les mauvais gouvernements auxquels elle a été successivement assujettie, [qui l’ont réduite à l’état de misère où elle est aujourd’hui] ; […] Les Français, après avoir terminé glorieusement une guerre atroce que leur faisait l’Europe entière, ont senti qu’il était digne de leur courage de détruire un gouvernement oppresseur ; ils ont vu qu’il était beau de ramener en Égypte la justice, le respect des propriétés, ses lumières et de rouvrir par là, pour un peuple digne d’intérêt les sources du bonheur. Ils ont cru qu’ils ajouteraient à leur gloire si en rétablissant la communication entre les deux mers ils devenaient encore les bienfaiteurs du monde. Députés des provinces, dites au peuple d’Égypte que ce sont des sentiments généreux qui ont amené les Français parmi vous ; [ dites lui qu’ils veulent être vos amis et vos protecteurs ; faites lui remarquez] que nulle conquête ne  fut plus rapide, et ne s’opéra   cependant pour des moyens plus doux.   Demandez lui si l’armée s’est portée à quelque violence contre les habitants à moins qu’elle ne fut commandée par une légitime défense. Peignez lui le spectacle que vous présente aujourd’hui le Caire où la confiance commence à naître, où le numéraire circule avec une rapidité jusqu’alors inconnue où l’aisance se montre déjà d’une manière sensible dans les classes inférieures. Disposez le à un changement salutaire mais inévitable ; [ouvrez-lui les yeux sur ses propres intérêts, et faites sentir qu’] une lutte vaine et qui n’aurait d’autre effet que de retarder son bonheur.Députés des provinces, aucun de vous ne peut douter que la conquête ne soit faite et irrévocable. Le général en chef brûle du désir de mettre à fin ses vastes projets. Dès que la retraite du Nil le permettra les anciens canaux vont être couverts d’ouvriers occupés de les rétablir ; et dans peu l’eau repoussera le désert ; Alexandrie et Suez seront comme les portes d’une même ville, l’Éurope et l’Inde afflueront en Égypte et y apporteront l’activité et la richesse. Mais ce qu’il a le plus à cœur, c’est de faire le bonheur du peuple égyptien. Il veut en t lui donnant des lois  protéger le pauvre contre les vexations du riche, et le riche contre les avarices d’un gouvernement arbitraire. Il veut que toutes les propriétés de l’Égypte soient entre les mains d’habitants dont les familles attachées au sol, aient intérêt à perfectionner la culture et à embellir leur séjour. Il veut qu’une sécurité parfaite, en permettant à tout le monde d’user à son gré de sa fortune, appelle l’industrie et augmente les jouissances. Il veut conquérir la reconnaissance du peuple égyptien et ne réserver pour lui que cette belle partie de sa conquête. En opérant d’aussi grands changements, il faut qu’il y a des usages qu’on doit respecter, et qu’il ne faut pas ôter au peuple toutes ses habitudes. C’est pour obtenir des lumières sur cet objet que de toutes les parties de l’Égypte il vous a appelés auprès de lui. Il vous interrogera, et vos réponses le mettront en état de choisir parmi toutes les manières dont il peut faire le bien celle qui convient le mieux aux circonstances. Vous vous pénétrerez de la dignité des fonctions auxquelles vous êtes appelés ; vous concourrez avec un zèle infatigable au bonheur de vos concitoyens, et vous mériterez aussi une part dans la reconnaissance nationale. » (Fonds Monge. É.P.) Le premier discours que Monge a effectué à la demande de Bonaparte au début de l’année 1797, lors de sa mission auprès de la République de Saint-Marin, ne contenait que deux discrètes références à l’idée de progrès. Il bénéficia d’une bien meilleure réception de la part du Général. Voir n°56.

[11] Comme à Rome, la religion est le plus puissant obstacle à l’accomplissement du projet déterminé par l’idée de progrès. Voir la lettre n°196. Bonaparte présente le même jugement au Directoire, il lui écrit du Caire le 16 vendémiaire an VII [7 octobre 1798] : « Les mœurs de ce pays sont si loin des nôtres, qu’il faudra bien du temps pour que ce peuple s’y accoutume ; cependant tous les jours il nous connaît davantage. » Sur l’évaluation des stratégies culturelles des Français en Égypte voir ORTEGA M.L. (1999), «  La « régénération de l’Égypte :  le discours confronté au terrain », in BRET P. (dir.) (1999), pp. 93-101 et RAYMOND A. (1999), « Les Égyptiens et les Lumières pendant l’expédition française », in BRET P. (dir.) (1999), pp. 103-118.

[12] Ce projet de colonisation ne figure pas dans les textes de Bonaparte. Par contre la même idée est développée par Eschassériaux. Voir les lettres n°177 et 196.

[13] Leur fille aînée Émilie MONGE (1778-1867), son mari Nicolas-Joseph MAREY (1760-1818) et leurs deux  fils Guillaume-Stanislas MAREY-MONGE (1796-1863) et Gaspard-Louis MAREY-MONGE (1797-1821) et leur fille cadette Louise MONGE (1779-1874), son mari Joseph ESCHASSÉRIAUX (1753-1824) et leur fille dont Monge ne connaît pas encore l’existence, Lucile-Eugénie ESCHASSÉRIAUX (1798-1867). Voir la lettre n°196.

[14] Le frère de Gaspard Louis MONGE (1748-1827) et sa femme Marie-Adélaïde DESCHAMPS (1755-1827) ainsi que la sœur de Catherine, Anne Françoise HUART (1767-1852) et son mari Barthélémy BAUR (1752-1823).

AnalyseTranscription établie par René Taton.

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Notice créée par Marie Dupond Notice créée le 12/01/2018 Dernière modification le 11/02/2022