Godin explique à Guyot-Dormoy la nature de l'association du Familistère, qui embrasse à la fois le domaine de l'industrie et celui de la vie domestique, et lui indique que les statuts de l'association ne comprennent pas de règles spéciales pour le service alimentaire. Il lui laisse espérer qu'il publiera un travail dans le journal Le Devoir pour répondre à sa demande et à d'autres analogues.