Marie Moret explique à madame Carré que, vivant en recluse au Familistère, elle n'est pas au courant de la vie de Guise, en particulier des malheurs qui la frappent. Elle affirme qu'elle a trouvé monsieur et madame Carré bienveillants et modestes dans les quelques occasions où elle les a vus et que ses rapports et ceux de Godin avec monsieur Carré en qualité de notaire ont été bons.