Godin répond à la lettre de Peynet-Robin du 6 janvier 1885 lui demandant des renseignements sur l'organisation pratique de la participation des ouvriers aux bénéfices. Godin lui répond que ce qu'il a fait pour deux usines employant 1 500 personnes ne peut se comparer avec une participation aux bénéfices de 5 ouvriers comme l'envisage Peynet-Robin. Il lui conseille de calculer les bénéfices de son atelier et de rédiger une convention avec ses ouvriers. Il lui envoie une étude sociale sur la Société du Familistère de Guise.