Godin explique à Prud'homme qu'il tient compte des lettres qu'on lui écrit mais qu'il n'a pas toujours le temps d'y répondre, et qu'il est naturel que le journal Le Devoir défende ses idées de réformes sociales, même si ses lecteurs sont d'une opinion différente. Il le remercie pour les souvenirs du Havre contenus dans sa lettre du 7 août 1884.