Godin remercie Thil-Lorrain pour les articles qu'il a envoyés au Devoir. Il le prie à l'avenir de lui adresser des articles occupant seulement deux colonnes du journal, car les lecteurs sont effrayés par la longueur d'un article sérieux. Il l'informe que son dernier article a été coupé en deux pour être publié dans deux numéros. Il l'avertit que le journal refuse les polémiques et même s'attache à ne pas attaquer telle classe sociale alors qu'il prêche la fraternité : « L'association doit être pour nous un drapeau ; elle doit avoir pour objet la conciliation des intérêts et celle des opinions. »