Mademoiselle Vincent a écrit le 13 avril à Godin pour lui demander ce qu'il propose pour les déshérités n'appartenant pas à la classe ouvrière : il l'invite à considérer dans les réformes prétendues ouvrières des réformes sociales générales et lui explique que la mutualité nationale et l'association doivent assurer l'existence de chacun.