Godin annonce au procureur de la République que la femme de Leclercq, responsable du service de transport de l'usine du Familistère de Guise, a soldé le débit du compte de son mari. Il lui indique que rien n'explique que Leclercq se soit constitué prisonnier alors que ses ressources personnelles permettait de résoudre facilement l'affaire.