Godin confirme à Bernardot son télégramme du matin. Sur une affaire de contrefaçon. Il lui demande de mettre en garde Pouillet contre les manœuvres de ses adversaires qui, comme par le passé, pourraient mettre en avant ses qualités de républicain ou de socialiste pour gagner leurs procès en contrefaçon. Il lui signale que Faure, qui contrefait ses produits, a acheté une collection complète du Devoir. Sur Lajourdie et Corneau frères. Godin informe Bernardot qu'il n'a pas l'adresse d'André à Paris, mais qu'à son dernier voyage il était descendu à l'hôtel des Étrangers au 148, rue du Faubourg-Saint-Martin.