À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin pense qu'il ne faut pas s'occuper de M. Turquet et de ne pas lui demander de se désister au profit de Jules Favre, car la candidature de Turquet est nécessaire à l'échec du candidat officiel et au succès ensuite du candidat démocratique si la majorité accordée à Jules Favre est suffisante. Godin est partisan de la tenue de réunions de moins de 20 personnes à Wassigny puis au Nouvion pour arrêter la marche à suivre. Godin invite Desmasures à venir le voir à Guise pour qu'il lui parle d'un projet de manifeste électoral.