Fabre a envoyé son titre d'épargne pour que les intérêts statutaires y soient inscrits. Godin fait observer à Fabre que les statuts prévoient que les bénéfices soient répartis selon les services rendus, que Fabre doit sa position aux services que l'association du Familistère espérait qu'il rendrait dans le futur, que ces espérances ont été déçues et que sa situation n'est pas clairement statutaire. Il demande à Fabre d'estimer ce qui lui revient et souhaite se mettre d'accord avec lui avant de porter l'affaire devant le conseil de gérance.