Marie Moret compatit à la douleur de Lucy Latter dont « l'ami qui était comme un second père » pour elle est décédé. Sur son intérêt pour le voyage de Lucy en Allemagne et son ravissement quant à la bonne appréciation des méthodes et travaux de Lucy à l'Exposition éducationnelle de Londres. La remercie pour les nouvelles de la famille Pagliardini et espère que Le Devoir arrive bien à Londres. Dans le numéro d'octobre, article sur la Fête de l'Enfance et dans celui de novembre le compte-rendu annuel des opérations de la Société du Familistère. Sur les choses qui suivent leur cours au Familistère, sa sœur et sa nièce qui travaillent pour les écoles et elle-même qui travaille au Devoir.