Sur la Société de colonisation européo-américaine du Texas. Godin rappelle que la précédente assemblée des actionnaires de la société n'a pu se tenir en raison de l'absence d'un grand nombre de membres et de l'absence de nouvelles de l'agent de la société au Texas. Une nouvelle convocation devait avoir lieu. Godin s'inquiète de ne rien avoir reçu car il juge la situation assez grave. Il regrette que l'administration de la société n'ait rien fait pour prolonger l'existence légale de la société en Amérique. Il informe Cantagrel qu'il est passé l'avant-veille rue Vivienne pour parler de cette question avec lui, mais que le concierge lui a appris qu'il était sorti. Il demande à Cantagrel ce qu'il compte proposer aux actionnaires comme solution la moins défavorable.