Godin remercie de Boyve pour son invitation au Congrès coopératif de Paris. Il l'avertit qu'il ne s'y rendra pas, « à moins que M. Neale, qui sera chez moi le 24 c[ouran]t avec messieurs Holyoake et Johnston, ne me décide à les accompagner ». Il l'avertit que Deynaud, rédacteur du Devoir représentera la Société du Familistère. Il lui fait observer que le programme des travaux du congrès est trop restreint pour lui permettre de déposer un rapport : il regrette que ce premier congrès soit ouvert aux seules sociétés coopératives de consommation et d'alimentation. Il lui demande si le congrès est susceptible d'être réceptif à l'exposé des faits acquis au Familistère.