Sur l'élection législative de 1867. Comme Favre, Godin regrette l'abandon de la candidature d'Odilon Barrot : « Chacun a agi pour le bien mais chacun n'a pas fait pour le mieux ». « La France ne peut perdre le sentiment de la justice et de la liberté. Elle dort parce que rien autour d'elle n'agit pour dissiper les fumées du narcotique qui la retient engourdie. Puissions-nous faire que la crise du réveil soit d'autant moins violente que cet état sera moins longtemps prolongé. ». Le post-scriptum de la lettre est relatif à son procès [avec Esther Lemaire].