Godin demande à Léon Magnier de faire insérer une lettre dans les journaux de la ville, Le Courrier et Le Guetteur : « Au train où marche la réaction, les phalanstériens de notre contrée manqueront bientôt de sûreté. Je forme des vœux pour vous voir échapper à cette réprobation générale des socialistes. » Godin remercie Magnier pour ses judicieuses observations contenues dans sa dernière lettre. Une mention finale précise que la lettre destinée aux journaux, non copiée dans le registre, a été insérée « au courrier » [ Le Courrier de Saint-Quentin].