Sur une réunion avec Barault. Godin demande à Bonnemère de lui communiquer des informations sur les impôts pesant sur le travail et sur la fiscalité sur les produits en circulation dans le pays avant la Révolution française, « en vue d'arriver à cette démonstration que plus nous reculons en arrière, plus nous voyons l'impôt peser sur les choses nécessaires à la vie et apporter les plus grandes entraves au travail et aux échanges, qu'au contraire, plus le monde avance dans la voie de la liberté et de la justice, plus l'impôt [épargne] le travail et les échanges pour se prélever sur le superflu en même temps que les barrières commerciales s'abaissent de toute part ».