Godin répond à la lettre de Santerre du 17 janvier 1887 lui demandant si son fils, né à Réunion en 1857, pourrait être réclamé par l'administration militaire française s'il venait en France. Il lui explique que si son fils peut prouver sa nationalité américaine, il ne pourra pas être appelé à servir en France. Godin et Moret verront avec plaisir Santerre l'automne prochain s'il vient au Familistère. Il lui indique que la Société du Familistère ne peut se charger d'un dépôt de fonds comme il le propose.