Sur un litige commercial. Nizole a averti Godin des difficultés de son affaire. Godin se rend compte qu'il doit soutenir le procès contre l'administration du Bureau de bienfaisance à qui Garnache avait cédé un fourneau et qu'il n'obtiendra pas de dommages et intérêts. Godin annonce qu'il abandonne les poursuites, mais il veut transmettre à Nizole des certificats de bon fonctionnement de la cuisinière, dont celui établi par la maison Seydoux (Auguste), Sieber et Cie, pour montrer au Bureau de bienfaisance qu'ils peuvent s'en servir bien qu'ils en aient fait un mauvais emploi.