Sur la coopération. Godin estime qu'on a fait jusqu'ici de la coopération à rebours en privilégiant les coopératives de consommation plutôt que les coopératives de production. Il transmet à Moneta le numéro du Devoir contenant le bilan de la Société du Familistère. Il souhaite que Moneta propose au congrès de Milan que le bureau central des sociétés coopératives de chaque nation publie la liste des adresses de toutes les sociétés coopératives qu'il connaît pour permettre aux producteurs de se mettre en relation avec les consommateurs, proposition qui n'a pu trouver place au congrès de Lyon.