Espace Afrique-Caraïbe

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Votre recherche dans le corpus : 1109 résultats dans 1109 notices du site.

Collection : La Terre et le sang
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : La Terre et le sang
Auteur : Feraoun, Mouloud
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Collection : Galets
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Galets
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN Lourdes.jpg

Un feuillet manuscrit recto (21 x 27), sans date et non signé. Poème marqué " I (Pour Armand Guibert)" et contenu dans une chemise intitulée Proses pour Durtal. Quasiment identique à la version de Ms3, écrit de façon plus hâtive.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN In memoriam.jpg
Feuillet découpé et incomplet

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Interférence [L']
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Achevé le 1er juin 1929 – date de l’épilogue –, L’Interférence est resté inédit du vivant de JJR. La publication (Hatier, 1988) n’a eu lieu qu’à la suite de la commémoration du cinquantenaire de sa mort, lors d’un colloque organisé par l’Universite d’Antananarivo. Le comité d’organisation découvrait alors sa prose francophone dans les archives familiales. Précédant La Fille de Baholy et Une vie de chienne "en préparation", le roman participe d’un "polyptyque, Le Dépaysement imérinien" précisé dans l’épilogue.
Le roman relate l’histoire d’une famille malgache sur trois générations, depuis lerègne de Ranavalona Ire jusqu’aux débuts de la colonisation.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Traduit de la nuit
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Traduit de la nuit 1935.pdf

Traduit de la Nuit est sans doute l’ensemble poétique où Jean-Joseph Rabearivelo atteint au plus personnel de son chant. Le recueil est constitué de trente poèmes en deux langues, écrits en vers libres, souvent très courts, et composés dans la continuité immédiate de Presque-Songes qui les précède sur le cahier manuscrit. Trente poèmes évoquant le passage de la nuit au jour, et du jour à la nuit, au moyen d’images inoubliables et inexplicables.
Jean-Joseph Rabearivelo offre pourtant de guider son lecteur, dès l’adresse liminaire à Fagus, M. Ormoy et R.-J. Allain : « Interrogateurs désormais d’une nuit qui ne peut se traduire que par l’étonnement et l’angoisse de notre douleur » ; au sein des poèmes du recueil, il convoque plusieurs grandes figures lyriques, compagnons d’inspiration : explicitement Tagore, Jammes, Withman (TN15), mais aussi, entre les lignes, Virgile, Baudelaire, Mallarmé… Plus tard, en 1936, Jean-Joseph Rabearivelo rapprochera cette écriture de celle de Blake et de Novalis (Carnets Bleus, 20/5/34, tome I, p. 507). Mais Traduit de la Nuit n’est pas accessible par des références extérieures. Cette poésie retrace l’itinéraire d’une quête éminemment personnelle, la traduction dans les mots d’un voyage intérieur, voire antérieur.
L’univers poétique du recueil est habité par une nostalgie puissante, qui s’exprime à travers l’évocation d’une antériorité perdue. C’est la nostalgie de l’enfance (« Soudain, tu repenses à ton enfance / et aux images qui l’ont charmée », TN29), dans la souvenance des contes d’avant dormir, mais aussi, plus essentiellement, la nostalgie des origines de la terre malgache et de l’ancestralité. La mémoire du pays sourd du monde naturel, imprègne les éléments du paysage, emplit l’espace. Jean-Joseph Rabearivelo cherche une langue qui pourrait dire enfin ce Chant définitif, absolu, par la poésie.
Cette langue, ce serait d’abord une langue antérieure à toutes les langues, une langue première. La difficulté de l’écriture sera de retourner au plus près de cet absolu de la parole. En effet, pour un écrivain bilingue, qui vit et écrit en deux langues, et qui, à chaque instant, doit choisir entre ses deux modes d’expression, le sentiment d’une langue originelle, antérieure à toute langue, est sans doute plus fort que chez d’autres. Comment dire mieux ce moment de la pensée où le langage cherche sa voie dans le labyrinthe de l’esprit, où le poète n’a pas le sentiment de penser dans une langue ou dans une autre, mais dans une sorte de langage absolu, impossible à mettre en mots ?
Cette langue nostalgique d’un cri originaire, cette langue absolue, ce serait aussi une langue de l’indicible et de l’intériorité, un chant intérieur qui chante en nulle langue. Rabearivelo l’évoquait déjà dans « Per se » (Trèfles,1925), tentant de l’inviter dans sa poésie : « Que résonne pure en ma musique / ta voix captive de l’indicible / ô chant vif jailli de mon âme ivre ! ». Dans Presque-Songes et Traduit de la Nuit, il continue de rêver cette langue intérieure. La lecture des poèmes peut ainsi donner « le sentiment du traduit », certes, mais surtout le sentiment d’un texte en train de se traduire, d’un texte en mouvement perpétuel, suscité par une puissante dynamique interne. Le recueil travaille à cette épiphanie du chant dans les paroles du poème. On peut comprendre alors la métaphore du passage de la nuit au jour comme marquant le passage de l’intériorité du chant vers l’extériorité du poème.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Traduction par JJR de l'article qu'il a publié dans le FB

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Le critique
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Dans ce billet d'humeur au sujet du Maroc, sans doute daté de 1925, Rabearivelo dénonce la guerre franco-espagnole menée par Franco et Pétain contre Abd el-Krim et les rebelles marocains du Rif.
“La guerre du Maroc est une honte. La guerre du Maroc est un désastre, comme toutes les guerres du reste sinon plus. Je réprouve tout acte de violence, d’autant plus s’il y a mort d’homme. Je n’arrive pas à excuser l’Occident, lequel, sous prétexte de civiliser, veut s’ériger en maître sur une terre après en avoir tué les propriétaires naturels ou, au moins, acheté à vil prix la conscience".
Il se montre lucide : l'argument invoqué, "ô civilisation" ricane-t-il ! n'est qu'une vaste hypocrisie. Dans un ultime sarcasme, il regrette le manque de franchise de l'Europe, sans quoi tous les peuples asservis par la force des armes aduleraient leur vainqueur : ils ne demanderaient que ça ! Seulement, finassant avec ses principes de Justice et de Droit, l'Europe devient risible aux yeux des colonisés voyant clair dans son jeu. " Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde " constate Rabearivelo à travers cette ébauche d'un Discours sur le colonialisme...
Rabearivelo se rapproche de la diatribe de Rabindranath Tagore lancée à l'Occident ainsi que de la virulente description de son ami René Maran de la situation en Oubangui-Chari. Rabearivelo dessine sa figure " d'intellectuel colonisé " - comme il se définit lui-même dans ses Calepins Bleus. Cela signifie une meilleure acuité sur la situation afin de n'être dupe de personne et n'avoir qu'un rire de dédain à l'endroit des " welches ".

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Rabearivelo se fait l'écho de la vie artistique tendue entre Vincennes - lors de l'Exposition 31 - et Tananarive. Il rebondit sur les discours officiels d'un Pierre Camo souhaitant que l'on « songeât sur place, et le plus tôt, à disputer à l'oubli déjà commençant l'âme même de ce pays enclose, dans sa vieille musique » et qu'à cet effet, l'on ouvrît un conservatoire. Gageant que cela ne saurait tarder avec "l'arrivée d'un gouverneur artiste et lettré, Léon Cayla" il joue son rôle de critique journaliste, avant que ce « proconsul » ne se révèle un autre "pontife", un "snob" luttant « des pieds et des mains – du postérieur et de la queue même, s’il le faut – pour que son vernis d’homme cultivé soit intact et même reluise davantage ! " Rabearivelo fit-il le pari de croire à ces rodomontades artistiques alors que l'Exposition n'était que la vitrine d'une propagande commerciale ; fallut-il que l'indigénat lui dessille les yeux, qu'un bref séjour en prison le rende moins optimiste sur l’œuvre humanitaire de la France à Madagascar ? Le regard paradoxal d'un "intellectuel colonisé" vitupérant contre l'hypocrisie de la Civilisation et la guerre du Maroc, et cependant, qui salue les peintres Pierre Heidman, Jeanne Delmas, les mécènes, autant de gens qu'il veut croire désintéressés et qui concourent à la mise en contact des cultures et des peuples. Utopie, en somme, d'une colonisation qui n'aurait pas été une entreprise de prédation. Fallait-il être « fou de langue française » et résigné à la Force militaire de l'Europe pour espérer des musées et de grandes écoles dans les Colonies ! Ou bien était-ce déjà de l'ironie désabusée quand il brise là : « certains comme nous le sommes que ce vœu ne tardera pas à être exaucé » ? Faut-il le rappeler, la censure d'un régime totalitaire s'y exerçait, témoins les exilés de la VVS. En tout cas, ironie rétrospective...

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Mada littérature fr 0.jpg

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Signes temps.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Premier tapuscrit, 11 feuillets de papier pelure avec quelques ajouts manuscrits. Corrections minimes.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Un florilège de proverbes, d'images, de lieux communs non ineptes mais le lieu d'une communauté, ici les deux familles des futurs époux. à travers lesquels s'incarne la voix des ancêtres.

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Mots-clés :

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Chants pour Abéone
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Collection : Trèfles
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE TAP1 Francis Jammes.jpg
Une bucolique très virgilienne où "les paysans" ont "des rayons de miel roux [...] dégouttant" sur "les panses [des] joues". Pastoralement vivent les indigènes de l'île Heureuse - slogan mis en vogue par le Gouverneur Général - tous "pareils aux pages de vos livres", vous Francis Jammes, chantre d'un exotisme vivifiant. Rabearivelo n'est pas allé plus loin que sa "demeure", sa cour intérieure où du "lilas fleurit", pour voir "les filles du pays" et "les garçons aux yeux vifs", émanations d'une après-midi de lecture en son bureau ; les travailleurs du SMOTIG et des propriétés domaniales n'auguraient pas un si bel air...

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE TAP1 Ponctuelle 1.jpg

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE TAP1 PRESQUE SONGES 1.jpg
Cette version contient de nombreuses fautes de frappe, corrigées à la main par Jean-Joseph Rabearivelo, et présente nombre de variations par rapport au manuscrit, qui constituent de nouvelles orientations du vers.

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Aucune collection
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Interférence [L']
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO TAP1 INTERFERENCE 0.jpg
Achevé le 1er juin 1929 – date de l’épilogue –, L’Interférence est resté inédit du vivant de JJR. La publication (Hatier, 1988) n’a eu lieu qu’à la suite de la commémoration du cinquantenaire de sa mort, lors d’un colloque organisé par l’Universite d’Antananarivo. Le comité d’organisation découvrait alors sa prose francophone dans les archives familiales. Précédant La Fille de Baholy et Une vie de chienne "en préparation", le roman participe d’un "polyptyque, Le Dépaysement imérinien" précisé dans l’épilogue.
Le roman relate l’histoire d’une famille malgache sur trois générations, depuis lerègne de Ranavalona Ire jusqu’aux débuts de la colonisation.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO TAP1 Mépris.jpg
Un travail de collecte et de réécritures du fond poétique de Madagascar. Jean-Joseph Rabearivelo assure le passage à l'écrit d'une culture traditionnelle, ici les hain-teny, menacée par la domination française peu à l'écoute des peuples qu'elle colonise et de leurs personnalités pour reprendre un mot cher à Jean-Joseph Rabearivelo. La transcription, plutôt que traduction comme le précise le poète, est une forme de résistance, à l'érosion du temps oui, et surtout face à l'hégémonie occidentale. Sans ce jeu de passage des langues, il craint que le peuple malgache ne devienne des "déracinés" comme une génération d'intellectuels assimilés, en exil sur leur propre terre (Barrès) ; ou encore, des "immémoriaux", à la manière de cette communauté tahitienne, perdant la mémoire, dévoyée de son bon sens, décrite  par Victor Segalen. D'où le manifeste "Hitady Ny Very" ('à la recherche de ce qui est perdu') lancé dans la revue Ny Fandrosoam-Baovao.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Phase éditoriale du recueil. Mise au propre tapuscrite.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
THE TAP1 IMAITSO VM2 1.jpg

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Indication manuscrite sous le titre : "Créée à Tananarive le 11 août 1935, au Parc d'Ambohijatovo".

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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