Collections de sources génétiques d'opéras

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Auteur : s. n.
Crescendo, <em>"Conchita" produced</em>
La transcription du roman, décrié par l'auteur, de Pierre Louÿs en livret semble réussi; les relations psychologiques entre les deux protagonistes se construisant tel un puzzle dont on n'aura la vision qu'à la fin de l'opéra. L'atmosphère espagnole - il est fait assez longuement écho aux différents tableaux - faisant le lien avec Carmen
Un long dernier paragraphe est consacré aux chanteurs et en particulier à Tarquinia Tarquini, précédemment vue dans Carmen, dont la prestation est fortement saluée.

Auteur : s.n.
Crescendo, <em>The Opera&nbsp;"Conchita"</em>
Le succès de l'opéra est signalé en début d'article; Riccardo Zandonai étant rappelé au baisser de rideau après chaque acte, un geste du public inhabituel au théâtre Covent Garden.
Cet enthousiasme est tempéré par la "faute" que représente le livret alors que la musique de Zandonai est applaudi. Elève de Mascagni, le compositeur propose une musique, selon l'auteur, "peu italienne et manifestetment influencée par l'Allemagne".
Le dernier paragraphe de l'article est consacré aux voix principales, celle du ténor Schiavazzi est "très italienne"; celle de Tarquinia Tarquini a rendu le personnage de Conchita quasi convainquante; les deux voix apparaissant idéales "non individuellement mais collectivement". Le chef d'orchestre Panizza est salué ainsi que l'orchestre Beechman et en particulier le violon solo, monsieur Sammon dans le dernier intermède.

Auteur : Fossati
Cronaca milanese - Dal Verme
Première de Conchita au théâtre Dal Verme. Critique sévère du livret et "cette manie d'innovation aristocratique" ainsi que du traitement psychologique du personnage central (référence à Madame Bovary de Flaubret transcrit en France pour l'opéra).
A l'inverse, l'art musical de Riccardo Zandonai est largement salué. 
Bonne critique des voix principales, Tarquinia Tarquini et Pietro Schiavazzi ainsi que du chef d'orchestre Panizza.

Auteur : Monaldi, Gino
[Cronaca musicale] Critica della critica - <em>Conchita</em> e <em>Carmen</em> - Osservazioni retrospettive - Analisi della protagonista - Accuse non vere - Quali sono le colpe di <em>Conchita</em> - Quali sono i meriti e le deficienze del maestro - Il trionfo della tecnica e la sconfitta della ispirazione […]
L'auteur fait une comparaison entre les opéras Conchita et Carmen, en particulier les rapports entre les deux personnages principaux, Conchita et Mateo d'une part, Carmen et Don José de l'autre. il n'existerait entre les deux jeunes femmes qu' "une analogie de fait et non une analogie psychique". Les effets musicaux sont comparés à une mosaïque "cependant sans dessin et sans dessein", soutenu par un public peu exigeant et par la claque. Le premier succès de Conchita à Milan tenait à l'expressivité de Tarquinia Tarquiny, ce qui ne semble pas se répéter avec Madame Cerri Caroli [sic] et le ténor Taccani. L'orchestre, dirigé par le chef Vitale, correspond aux attentes du compositeur, exprimant les couleurs et tous les détails d'une partition particulièrement complexe".

Auteur : L. R.
<em>Daring Theme of New opera -&nbsp;"Conchita"</em>
L'héroïne est décrite dès les premières lignes de l'article telle une femme fatale, comparée à Carmen et Salomé "avec les tendres vertus d'une Apache", proche de Louise de Gustave Charpentier mais dans le décor de l'Espagne et non plus en France. "L'atmosphère réaliste" de l'action jusqu'au geste final, les liens qui unissent les personnages sont décrits dans une deuxième et troisième partie avant d'aborder dans une dernière partie la musique du compositeur, élève de Mascagni, mais plus moderne dans le style (l'intermède entre le premier et deuxième acte et son inspiration hispanisante; le "délicieux" prélude du dernier acte, en particulier la partie avec solo de violon "un épisode orchestral remarquable"), les voix ainsi que la mise en scène sont également saluées.

Auteur : GAIANUS
Due opere di Zandonai al vaglio della critica

Auteur : s.n.
First Performance of &quot;Conchita&quot; Marks Last Days of Chicago Grand Opera Season

Auteur : s. n.
<em>First Time Here of Tarquini. Young Singer in Title Role of Zandonai's opera "Conchita" Makes Sensation. Colorful New Work. Story is of Whimsical Girl Who Knows She is Loved When She Gets "Beating"</em>

Auteur : s.n.
<em>Il M° Federico Wolf-Ferrari istruirà il complesso corale</em>

Auteur : s.n.
<em>Il M° Riccardo Zandonai e la sua opera : Conchita rappresentata al Costanzi</em>
Précédant la critique de l'opéra Conchita, l'auteur présente en quelques lignes la biographie de Riccardo Zandonai, l'influence de ses maîtres Vincenzo Gianferrari à Rovereto et Mascagni, au conservatoire de Pesaro, ainsi que les premières œuvres, une romance pour les éditions Schott de Bruxelles en 1906, un receuil de mélodies, la Coppa del Re pour le concours Sonzogno pour lequel Riccardo Zandonai reçut une bourse d'étude de la part du ministère de l'éducation de Vienne. Arrigo Boito le présente à Ricordi pour qui Riccardo Zandonai écrit il Grillo del Focolare, représenté à Turin, Gênes et Nice. L'opéra Conchita est écrit entre 1909 et 1910, sur un livret de Maurice Vaucaire et Carlo Zangarini; L'opéra Melenis, inspiré de la Rome antique, est terminé. La partition de Conchita est saluée pour ses effets sensuels et délicats dans l'intermède entre le premier et le deuxième acte ainsi que dans la scène des cigarières du premier acte. L'auteur de l'article considère le compositeur comme un parfait coloriste. Les denières lignes de l'article portent sur le succès de l'opéra dont témoignent les applaudissements et les rappels ainsi quela qualité des chanteurs (Ersile Cervi-Caroli dans le rôle de Conchita, pour ses talents e chanteuse et d'actrice, le ténor Tacani, mesdames Mareck, Falchero, Flory)

Auteur : s. n.
<em>Il bellissimo&nbsp; successo della "Conchita" di R. Zandonai</em>
Présentation de Conchita au théâtre Grande de Brescia, sous la direction du chef d'orchestre Tansini. La représentation commence à 20h40 précise, devant une foule choisie.
La suite de l'article présente de façon très précise les lever et les baisser de rideaux, les voix, suivant la ligne de l'action tout au long des actes et des tableaux. L'opéra est présenté comme une œuvre sans doute difficile à apprécier immédiatement mais qui a trouver son public.
La dernière partie de l'article est consacrée aux voix : Elisa Allegri dans le rôle de Conchita, le ténor Aureliano Pertile dans le rôle de Mateo, Vittoria Paganelli dans le rôle de la mère de Conchita, Ida de Filippis dans le rôle de Dolores, Gisella Adorni dans le rôle de Rufina, Maria Avanzini dans le rôle de Estella, Emma Decima dans le rôle de la surveillante, la basse Eugenio Sandrini, Arturo Roboschi, Giuseppe Barbieri et Arriebbi Beppino, le chef de chœur V. Stefanoni, le chef Ugo Tansini et Guido Picco, Carlo Clausetti pour la mise en scène, Cesare Razzani comme directeur de scène, l'imprésario Ambrosini.

Auteur : Rossi, Carlandrea
Il concerto Zandonai

Mots-clés :

Auteur : s. n.
Il Duce ad una rappresentazione del Teatro dell&#039;Opera

Auteur : Giordani, Angelo
<em>Il gran successo di "Conchita" al Dal Verme di Milano</em>
Première de Conchita au théâtre Dal Verme. Le critique indique une courte biographie de Ricardo Zandonai dont son enseignement avec ses maîtres Gianferrari et Pietro Mascagni au conservatoire de Pesaro.
L'auteur rappelle ensuite les premières œuvres du colpositeur et souligne désormais la reconnaissance de son art par la présence lors de cette Première du conte de Turin, Camille Boito, Arturo Toscanini, Marco Praga, Mingardi, Sonzogno, entre autres.
Le reste de l'article est consacré à la réception de l'œuvre par le public et à la critique par acte de la représentation (l'intermezzo entre l'acte I et II, la jota au baile au second acte, l'intermède entre les actes III et IV et enfin le solo de violon dans l'acte IV. Il est fait éférence aux compositeurs du répertoire (Wagner, Schumann, De Bussy, César Franck).
Les voix et la direction d'orchestre sont saluées.
Le décor et la mise en scène sont remarqués en toute fin d'article.

Auteur : s.n.
<em>Il soggetto di "Conchita"</em>
L'opéra Conchita est le première nouveauté lyrique de la saison (automne-printemps) au théâtre Dal Verme. Le jeune compositeur est complimenté pour son art et sa culture.
Il est fait référence aux sources sulfureuses de l'opéra, La Femme et le pantin de Pierre Louÿs qui a inspiré "l'adaptation scénique" de Maurice Vaucaire et Carlo Zangarini. 
Selon le critique, l'histoire ne comporte aucun rebondissement et est centré sur les deux principaux antagonistes. Les autres personnages sont uniquement des silhouettes posées dans chacun des tableaux.

Auteur : BLANCHE
<em>Il successo di "Conchita" al Dal Verme di Milano</em>
Première au théâtre Dal Verme, présentée comme un succès pour l'opéra, Riccardo Zandonai, les deux voix principales ainsi que le chef d'orchestre Panizza.
Description du déroulement par acte de l'opéra, des décors et insertion de dialogues entre Conchita et Matteo.

Auteur : s.n.
<em>Il successo di "Conchita" del maestro Zandonai</em>
Récit du succès de Conchita malgré un "livret périlleux" "vériste", selon l'auteur.
La suite de l'article résume l'action par acte et se centre sur l'évolution du couple Conchita-Matteo.
La critique de la partition suit le même schéma : "rien de particulièrement beau au point de vue musical dans le premier acte mais il est bien fait et il prépare bien le public; le deuxième et le troisième actes sont indubitablement les meilleurs, l'accompagnement orchestral de la scène du "café-chantant est coloré et efficace, le duetto d'amour est original, simple et délicat; le troisième acte s'ouvre par un intermède qui explique musicalement le caractère volubile et cruel de Conchita, il sert à justifier la scène un peu brutale du porche; c'est une belle page musicale qui rappelle beaucoup Debussy. Dans le même acte, la scène dans la ruelle espagnole et le dialogue de Conchita sont excellents. L'acte entier est empli de couleur et de force. La scène finale pacifie totalement l'auditoire un peu secoué par les émotions des actes précédents".
Les dernières lignes de l'article indiquent l'excellente exécution de l'orchestre.

Auteur : P. B.
<em>Il successo di "Conchita" di Zandonai al Teatro Comunale</em>

Auteur : Traversi, Camillo, Antona
<em>Il trionfo della "Conchita" di Riccardo Zandonai</em>

Auteur : FRAKA
<em>In Galleria e fuori</em>
Article impertinent sur Riccardo Zandonai et son assension depuis Pesaro. Référence au premier opéra Il Grillo del focolare et au futur Melenis. L'auteur indique en outre que l'ambition du jeune compositeur trentin serait une revanche sur sa petite taille (1, 50 m). Il est indiqué que Giacomo Puccini refusa le sujet de Conchita.

Auteur : E.M.
<em>Intervisa breve con il regista Cardi</em>

Auteur : C. V.
<em>La "Conchita" al Comunale</em>

Auteur : s. n.
<em>La "Conchita" a Treviso</em>

Auteur : s.n.
<em>La "Conchita" di Riccardo Zandonai al Dal Verme di Milano</em>
Première au théâtre dal Verme. Courte comparaison critique entre le livret, le roman source de Pierre Louÿs, La femme et le pantin et la pièce de théâtre "audacieuse" éponyme. 
L'auteur de l'article critique la psychologie de Conchita et applaudit l'apport de la musique "riche, entière, variée", en particulier dans la scène de la fabrica, l'intermezzo, le duetto du deuxième acte; quelques critiques sur les procédés musicaux employés.
quelques lignes sont consacrées à la réception de l'œuvre par le public, les rappels, les applaudissements ou la désaprobation ponctuelle. 
Bonne critique pour les voix principales et le chef d'orchestre Panizza.

Auteur : s. n.
<em>La "Conchita" di Riccardo Zandonai al Vittorio Emanuele</em>

Auteur : s. n.
<em>La "Conchita" nel ricordo della sua prima interprete</em>

Auteur : Catule-Mendès, Jane
<em>La Femme et le pantin. L'Opéra Comique a souvent été plus heureux dans ses choix. Cet opéra italien tiré du roman de Pierre Louüs méritait moins d'honneur</em>

Auteur : s. n.
La serata d&#039;onore del M. Zandonai

Auteur : Balliman, Raymond
<em>La Femme et le pantin</em>

Auteur : Brunel, Raoul
<em>La Femme et le pantin</em>

Auteur : s.n.
La Femme et le pantin
Présentation et livret avec illustration de la transcription théâtrale réalisée par Pierre Louÿs et Pierre Frondaie, publiée dans l'Illustration théâtrale.

Auteur : Aubert, Louis
<em>La Femme et le Pantin</em>

Auteur : Lalo, Pierre
<em>La Femme et le Pantin</em>

Auteur : Frondaie, Pierre (auteur)
Collections de sources génétiques d'opéras
pièce de théâtre de Pierre Frondaie à partir du roman La Femme et le Pantin de Pierre Louÿs et source du livret de l'opéra de Riccardo Zandonai

Auteur : Louÿs, Pierre
Collections de sources génétiques d'opéras
Le récit de Conchita est proche du texte de Pierre Louÿs et d'inspiration française. Les librettistes utilisent l'atmosphère de Carmen, telle qu'issue de la nouvelle de Mérimée et de l'opéra pré-vériste de Bizet, reprise et développée chez PIerre Louÿs : "Voici la cloche [de la manufacture] qui sonne; les filles vont rentrer à l'ouvrage " (chapitre III). Cette vision précède la scène initiale de l'opéra. Les premières didascalies font fidèlement écho au texte du roman (chapitre V). On retrouve la même chaleur accablante d'une journée d'été; Dans l'opéra, sur une idée originale du compositeur, elle est rappelée par le fait que le tabac trop sec doit être sans cesse humidifié avec de l'eau apportée par les ouvrières. Le livret reprend ensuite, sans presque la modifier, la description que fait Mateo de la fabrique dans le roman de Pierre Louÿs (chapitre I). A la place des alignements de femmes en longues rangées, décrits dans le roman, la disposition des ouvrières est revue dans l'opéra pour ne former sur scène que des groupes de quatre ou cinq autour d'une table (livret Conchita, acte I, didascalies). Pour plus d'efficacité théâtrale, les dramaturges ont restreint ces rapprochements entre texte littéraire et livret à l'expression du décor alors que l'action, tout au long de l'opéra, est centré sur le jeu d'attirances et de répulsions charnelles entre Conchita et Mateo. : chez la mère de Conchita (acte I), au Baile, à travers les commentaires du public (acte II), pendant la scène de la 'Cancellata' (acte III), chez Mateo (acte IV). Les interventions des rôles secondaires, la mère de Conchita, les touristes, les joureurs, les chanteuses et le public ne sont là que pour souligner ou moduler la relation amoureuse. Le duo du troisième tableau de l'acte II en est un exemple abouti. Dans le récit de Pierre Louÿs, cette séquence du drame se développe sur une durée de plus de trois mois entre la première rencontre de Mateo et de la mère de Conchita et la scène de la liasse de billets donnée en cachette à cette dernière; des mois pendant lesquels Mateo est tour à tour repoussé et accueilli par Conchita (plus de trente fois précise le romancier). Ces multiples va-et-vient du héros ont été remplacés dans le livret par ceux de la mère - personnage secondaire qui égrène son rosaire sur un ton monocorde, sort acheter des biscuits, revient pour disparaître dans la cuisine - autant d'allées et venues qui entrecoupent la continuité du dialogue entre les deux amants. L'action se déroule sur un rythme crescendo jusqu'à la fin de l'acte. Ces mouvements de scène sont renforcés par des indications multiples, variées et parfois contradictoires décrivant le jeu et les mimiques des personnages. Cette agitation prépare de façon magistrale le revirement brutal et saisissant de la fin du tableau lorsque Conchita croit que Mateo veut acheter son amour.

Auteur : Hennequin, J. B.
<div style="text-align: justify;"><em>La Femme et le Pantin (Conchita). Opéra en 4 actes 5 tableaux tiré du roman de Pierre Louÿs par Monsieur Maurice Vaucaire. Musique de Riccardo Zandonai</em></div>

Auteur : Urmy, Clarence
<em>Lambardi Opera Company at Victory Theatre. "La Bohème at the Matinée and "Conchita" in the Evening</em>
Au début de l'article, il est précisé que la Compagnie Lambardi (rebaptisée "The Pacific Grand Opera Compagny") a donné la veille deux spectacles au Victory Theatre, avec un large orchestre, des chœurs recrutés parmi les jeunes chanteurs de San Francisco ainsi que des voix principales parmi les meilleures.
L'opéra Conchita est classée parmi les opéras de la nouvelle école réaliste et moderne qui reçut un grand succès à San Francisco avec la primadonna Tarquinia Tarquini dans le rôle de Conchita. La musique est saluée, le livret est semblable à d'autres, "l'amour est le thème - l'amour taraude jusqu'au baisser de rideau".
L'article conclut sur les voix, le ténor Armandini dans le rôle de Mateo, Sophie Charlebois et Flora Pineschi.

Auteur : Zarnaux, Robert de
<div style="text-align: justify;"><em>La Musique à l'Opéra-Comique - La Femme et le Pantin (Conchita), opéra en quatre actes et cinq tableaux, tiré du roman de Pierre Louÿs par Maurice Vaucaire, musique de Riccardo Zandonai</em></div>

Auteur : s. n.
<em>La Musique. A l'Opéra-Comique. "La femme et le pantin"</em>

Auteur : Gheusi, P. B.
<em>La Musique au théâtre</em>

Auteur : GA[ianus]
<em>La prima della "Conchita" di Zandonai al Teatro Comunale</em>

Auteur : G. C.
<em>La Prima di "Conchita"</em>

Auteur : Cesari, Gaetano
<em>La prima di "Conchita" al Dal Verme</em>
Long article détaillé sur la Première de Conchita au théâtre Dal Verme.
Analyse du personnage de Conchita dans le roman "très célèbre" de Pierre Louÿs, La Femme et le pantin et son adaptation dans le livret de l'opéra.
Analyse du style zandonien depuis son dernier ouvrage Il grillo del focolare (références musicales italiennes, la couleur locale). Description détaillée du rapport musique et théâtralité dans les différents actes.
L'article témoigne en outre de la réception positive de l'œuvre et des applaudissements faits au chef d'orchestre Panizza, à Tarquinia Tarquini, au ténor Schiavazzi. Mauvais accueil des seconds rôles.

Auteur : VICE-AQUILIFER
<em>La Prima di "Conchita" al Dal Verme</em>
Première au théâtre Dal Verme.
Référence au roman source La femme et le pantin de Pierre Louÿs et au livret de Maurizio Vaucaire et Carlo Zangarini. 
Bonne critique de la musique, en particulier la ballata di Conchita au premier acte, la ballade des deux amants vers la maison, ainsi que que dans les actes suivants.
Quelques lignes sur la réception du public, les applaudissements pour le chef d'orchestre Panizza, les rappels pour les voix principales et pour les librettistes au troisième et quatrième actes.

Auteur : V. L.
<em>La prima di "Conchita" al Verdi</em>

Auteur : A[bbiati], F[ranco]
<em>La prima di "Conchita" del maestro Riccardo Zandonai</em>

Auteur : Sartori, A.
<em>La prima di "Conchita" di R. Zandonai al Teatro Grande</em>

Auteur : Z.
<em>La Prima di Conchita a Milano - Il successo dell'opera</em>

Auteur : E. A.
<em>La prima rappresentazione di Conchita del maestro Zandonai al Dal Verme</em> - article de presse
Long article critique sur la Première de conchita au théâtre Dal Verme.
Critique positive de la Première. applaudissements nourris et salutations répétées de la part des interprètes (3 fois à chaque baissé de rideau) et du compositeur (8 à 10 reprises); apparition sur scène du directeur d'orchestre Panizza et du poète Zangarini.
Analyse détaillée et intéresssante pour les références opératiques :
Analyse critique du style musical du compositeur, qui, sans être novateur, se place parmi les nouveaux compositeurs italiens, prêts à succéder à Puccini.
Référence aux styles opératiques de l'époque : la "couleur locale" dans les scène de la "strada" ou "il baile"; référence à Carmen de Bizet pour l'acte II, à la scène de l'atelier, opéra Luisa [Miler] de Giuseppe Verdi. 
Le prélude de l'acte III de la "cancellata" expose l'excellence de Riccardo Zandonai; référence à Verlaine : "c'est l'extase langoureuse du violon qui gémit parmi les frissons de la bise [sic] et dont le sanglot s'évanouit dans la lueur de la lune" [cf. poème C'est l'extase langoureuse, Paul Verlaine].
Critique sévère du livret : en particulier le traitement littéraire et psychologique des deux personnages principaux, celui de Conchita qui ne peut rivaliser ni avec Carmen ni avec Salomé, celui de Mateo, mainte fois employé, oscillant entre Don José et Des Grieux. Même chose pour l'amour-passion entre les deux amants qui n'atteind pas celui mis en scène, entre autres, dans Werther et Aida.
Critique positive de l'orchestre, sur l'art scénique et vocal de Tarquinia Tarquini et du ténor Schiavazzi.

Auteur : Pawlowski, G. de
<em>La répétition générale à l'Opéra de "La femme et le pantin"</em>
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