Archives Marguerite Audoux

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Collection : 1928
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold‑Robert (la mère de Léon‑paul Fargue ne devient‑elle pas « Farguette » ?...).
- Maurice est le benjamin de la fratrie, interne dans une institution de Meudon au moment de cette lettre.
- Francis jourdain (1876-1958) expose des tableaux dès 1897, puis s’intéresse à la décoration (c’est lui qui dessine les meubles de la romancière, actuellement visibles au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine). L’artiste se double d’un écrivain, mettant son talent au service de monographies (sur Toulouse‑Lautrec ou Rodin) et de témoignages : Né en 76, Jours d’alarme (une chronique de la Seconde guerre), et surtout Sans remords ni rancune, où il fait revivre les heures de gloire du Groupe de Carnetin. Ses liens avec Marguerite Audoux sont donc étroits, du début à la fin de l’aventure littéraire. Son père, Frantz Jourdain, connaît Mirbeau ; Francis Jourdain va donc lui proposer le manuscrit de Marie‑Claire. Mirbeau promeut dignement (et plus que fermement) le premier roman de la couturière. Contrairement à d’autres membres de la famille littéraire, Francis Jourdain et sa femme Agathe resteront des amis fidèles jusqu’au bout.
- « Baboulot » est leur petit dernier, de la même année que Paul (1906)

Collection : 1935
Auteur : d'Aubuisson, Roger
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Paul est l'aîné de Roger, et Maurice son cadet.
Francis Jourdain est le peintre, décorateur et écrivain du Groupe de Carnetin, l'un des plus fidèles amis de la romancière.

Collection : 1928
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- Roger et Maurice sont les frères cadets de Paul.

- Francis jourdain (1876-1958) expose des tableaux dès 1897, puis s’intéresse à la décoration (c’est lui qui dessine les meubles de la romancière, actuellement visibles au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine). L’artiste se double d’un écrivain, mettant son talent au service de monographies (sur Toulouse‑Lautrec ou Rodin) et de témoignages : Né en 76, Jours d’alarme (une chronique de la Seconde guerre), et surtout Sans remords ni rancune, où il fait revivre les heures de gloire du Groupe de Carnetin. Ses liens avec Marguerite Audoux sont donc étroits, du début à la fin de l’aventure littéraire. Son père, Frantz Jourdain, connaît Mirbeau ; Francis Jourdain va donc lui proposer le manuscrit de Marie‑Claire. Mirbeau promeut dignement (et plus que fermement) le premier roman de la couturière. Contrairement à d’autres membres de la famille littéraire, Francis Jourdain restera un ami fidèle jusqu’au bout.

- Huguette Garnier est journaliste au Journal et romancière. Quatre livres, assortis chacun d’un envoi (Le cœur et la robe, Ferenczi, 1922 ; Quand nous étions deux, Ferenczi, 1923 ; La Braconnière, Flammarion1927 ; et La Maison des amants, La Nouvelle Revue critique,1927), figurent dans la bibliothèque de Marguerite Audoux, visible au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine. La rencontre entre les deux femmes a probablement eu lieu au moment de la sortie de L’Atelier de Marie-Claire.

- Robert berthier n’a pas été identifié, pas plus que les initiales L.D. (Lucien descaves ?)

Collection : 1925
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

 

Le contenu de la présente carte postale, dont la date est confirmée par le cachet de la poste, est surprenant (vœux d’anniversaire, alors que Paul est né un 5 décembre). Il est vrai que le 2 décembre précédent (1924), il écrivait à sa tante : « Je vais avoir 18 ans vendredi 5 décembre 1906 et non 6 décembre 1905 comme tu penses d’habitude. » Il n’empêche…

Collection : 1925
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- Stefan Esders (né le 6 juillet 1852 à Haren an der Ems, mort le 15 septembre 1920 à Vienne) et son frère Henri créent une grande usine de textiles à Bruxelles avec des succursales à Berlin, Paris, Saint-Pétersbourg, Rotterdam et Vienne.

- La mère de Paul est Yvonne d’Aubuisson (1882-1926)

- Vitali est une vieille voisine rue Léopold-Robert.

- Le petit Suédois travaille apparemment chez Fasquelle, où il s’occuperait des traductions en suédois. Le 2 décembre 1924, c’est-à-dire peu avant la présente lettre, Peul écrit à sa tante qu’il a vu cette personne, qui lui a emprunté Le Grand Meaulnes et Le Rêve de Zola. une carte postale que Marguerite Audoux envoie de L’Île-d’Yeu à Léon-Paul Fargue le 31 juillet 1922 (référencée lettre 294) nous donne d’autres précisions « Veux‑tu faire bon visage à Monsieur Rage Aurell, que j’appelle le petit Suédois, et qui voudrait te parler ? C’est un admirateur. De toi, bien sûr, animal ! De plus, il a réuni les œuvres de Philippe et il l’a fait connaître en Suède. » La relation entre Selma Lagerlöf et Marguerite Audoux peut être à la source de celle que cette dernière et son fils entretiennent avec le personnage en question.

- Roger est l’un des frères cadets de Paul.

- Maman Line est une voisine rue Léopold-Robert.

- Pierre Valin est un confrère, fidèle puisqu’il envoie régulièrement ses ouvrages dédicacés à la romancière (13 en tout).

- Les « Trott », désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à madeleine et Lucien Trautmann (dit Tatu), ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul fargue et de Charles Chanvin, que l’on trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre 185 d’août 1912 de Marguerite Audoux à Antonin Dusserre et la lettre 247 adressée le 11 novembre à Antoine Lelièvre par la romancière.

Collection : 1925
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. - Les Muller sont les amis de Saint-Cyr-sous-Dourdan qui hébergent depuis novembre la romancière, attelée à son troisième roman. - Vitali est une voisine rue Léopold-Robert.

Collection : 1924
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold‑Robert (la mère de Léon‑paul Fargue ne devient‑elle pas « Farguette » ?...).

- Vitali et Emma sont, rue Léopold-Robert, les vieilles voisines parisiennes de Marguerite Audoux ; Maman Line n’a pas été identifiée (autre voisine ?), pas plus que Jacques et Mme Walter.

Collection : 1929
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold‑Robert (la mère de Léon‑paul Fargue ne devient‑elle pas « Farguette » ?...).

Collection : 1929
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- « Grand-père » est le surnom que, dans les lettres qui lui sont adressées, la romancière attribue souvent à son fils, selon son habitude d’inverser les âges et les sexes. Voir la lettre 55 de la romancière à Jeanne Gignoux (l’épouse de Régis), qu’elle appelle « mon petit Jeannot »…

- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold‑Robert (la mère de Léon‑paul Fargue ne devient‑elle pas « Farguette » ?...).

- Roger est l’un des frères cadets de Paul.

- Le père des trois petits-neveux (« Le père D[‘Aubuisson] ») est présenté, dans la correspondance comme un homme fat et prétentieux ne s’étant jamais occupé de ses enfants. Paul‑Ambroise d’Aubuisson est né à Paris le 7 mai 1880 et s’est éteint au Kremlin‑Bicêtre le 14 octobre 1952. Son petit‑fils Roger (lui‑même fils de Roger), que nous remercions vivement pour le précieux arbre généalogique qu’il a patiemment élaboré et dont il nous a fait une copie, nous a précisé que paul‑Ambroise d’Aubuisson, après son divorce, a trouvé plus de stabilité dans un second mariage, et qu’il conviendrait de relativiser l’image dépréciative qui avait été faite de lui dans la famille, les torts étant inévitablement partagés.

- pas de précisions sur Liba, ni Marie K, citée dans le P.S., ni sur la nature de cette fameuse « rentrée en mai »

- Pour Tcheng Cheng, voir les lettres 330 et 0333

Collection : 1929
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve maintenant chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- « Seigneur » est un personnage non identifié, tout comme Mme Tessort, Minie, et Marie-Louise.

- Pierre Valin est un confrère, fidèle puisqu’il envoie régulièrement ses ouvrages dédicacés à la romancière (13 en tout).

- Mme Guillemin est la personne qui loue à la romancière la maison de L’Île-d’Yeu pour les vacances.

- Roger et Maurice sont les frères cadets de Paul.

- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold‑Robert (la mère de Léon‑paul Fargue ne devient‑elle pas « Farguette » ?...).

Collection : 1935
Auteur : d'Aubuisson, Maurice
Maurice MA 1.jpeg
Paul d'Aubuisson est le frère aîné de Roger et Maurice.
Mme Giraldon n'a pu être identifiée.

Collection : 1929
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- Amélie Perrier est l’une des meilleures amies de la romancière. Voir la carte postale (366) qu’elles coécrivent de l’Île-d’Yeu, Marguerite Audoux et elle, à la mère de Léon-Paul Fargue le 7 août 1933.

- « Grand-père » est le surnom que, dans les lettres qui lui sont adressées, la romancière attribue souvent à son fils, selon son habitude d’inverser les âges et les sexes. Voir la lettre 55 de la romancière à Jeanne Gignoux (l’épouse de Régis), qu’elle appelle « mon petit Jeannot »…

- Roger et Maurice sont les frères cadets de Paul.

- Rappelons que Paul accomplit son service militaire à Strasbourg.

- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold‑Robert (la mère de Léon‑paul Fargue ne devient‑elle pas « Farguette » ?...).

- Baboulot (surnom apocopé ici en Baboul, puis en Bab) est le fils de Francis Jourdain, Frantz-Philippe, qui est de la même année que Paul (1906)

- En ce qui concerne Léon Werth, l’allusion faite ici à la danse renvoie à l’un des domaines de prédilection que couvre le journaliste.

- à propos de Cheng Tcheng, voir la lettre 330 envoyée vingt jours plus tôt par l’écrivain chinois à Marguerite Audoux.

- Les « Trott », enfin, désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à madeleine et Lucien Trautmann, surnommé Tatu, ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul fargue et de Charles Chanvin. On le trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre 185 d’août 1912 à Antonin Dusserre et la lettre 247 adressée le 11 novembre à Antoine Lelièvre

Collection : 1936
Auteur : Infirmière de Marguerite Audoux
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1932
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Né à Arnac (Cantal), Étienne Marcenac (1874-1956) monte à Paris au début du XXe siècle. En 1908, il fonde et dirige La Musette, « revue artistique et littéraire, organe de la Société des originaires du Massif Central ». (En 1910, paraît sous son nom un recueil de poésies intitulé Quenouilles et musettes). Dans La Semaine auvergnate du 30 juin 1910, E.-B. Dalverny mentionne qu’Antonin Dusserre, ami de Marguerite Audoux, a été primé pour un de ses écrits en prose dans La Musette. Sans doute Dusserre est-il le lien entre Marcenac et la romancière, qui a sans doute fait la connaissance du poète lors d’un de ses séjours chez Dusserre, à Carbonat, distant d’Arnac d’une quarantaine de kilomètres, ou encore à Paris, où l’écrivain-paysan vient lui rendre visite afin qu’elle l’aide à trouver un éditeur pour Jean et Louise.

Collection : 1936
Auteur : Fasquelle, Eugène
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1937
Auteur : Poulaille, Henry
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Avec René Bonnet (le préfacier du Marguerite Audoux de Louis Lanoizelée) et Ferdinand Teulé, Henry Poulaille (1896 – 1980) est l’un des fondateurs et animateurs du « Musée du soir », bibliothèque installée dans un local du XIVe arrondissement de Paris, où des intellectuels et des ouvriers viennent lire et discuter. Il sera aussi directeur des services de presse chez Bernard Grasset. Sa correspondance avec Jehan Rictus (1924‑1931) a été éditée par l’association des amis d’Henry Poulaille et les éditions Plein Chant (16120 Bassac).

Eu égard à sa conception de la littérature populiste (écrite par, sur et pour le peuple), dont il est l’un des spécialistes, Poulaille s’est intéressé à Marguerite Audoux. Il lui rend visite en 1936, lui ayant déjà consacré un chapitre (p. 255‑258) dans la seconde partie de son Nouvel Âge littéraire (Valois, 1930), partie concernant « La littérature prolétarienne française. Œuvres et hommes ». Citons, parmi les autres écrivains qu’il évoque : Charles‑Louis Philippe, Jules Renard, Neel Doff, émile Guillaumin, Louis Pergaud, Henri Bachelin, et Lucien Jean (sur qui il comptait, avec Louis Lanoizelée, écrire une plaquette, projet que la Seconde guerre fit avorter).

La Guilde du Livre (1936–1978) est créée par Albert Mermoud, licencié en droit et en sciences économiques de l’Université de Lausanne, qui rentre en Suisse après avoir travaillé comme directeur commercial dans un emploi qui lui a permis d’acquérir une formation dans l’impression, le papier et le brochage. En octobre 1935, il avait contacté Charles-Ferdinand Ramuz, dont le roman Derborance deviendra le premier ouvrage publié par la Guilde. En mars 1936, Mermoud envoie le premier Bulletin de la Guilde du Livre à dix mille personnes susceptibles d’être intéressées par son club. Le bulletin contient un manifeste, dans lequel Mermoud dit son amour du livre, présente sa vision du métier d’éditeur et pose les jalons du fonctionnement de la future Guilde : promotion et démocratisation du livre, apolitique et aconfessionnel. La Guilde est présentée comme « une communauté du livre, une grande famille groupant lecteurs et auteurs dans un même effort d’expansion culturelle et dans un même amour de la belle édition ». Le système se fonde sur un abonnement qui implique une cotisation mensuelle donnant droit à un volume relié tous les trois mois et au bulletin mensuel. Les livres sont vendus au coût de revient, tout bénéfice étant reversé aux membres. Les premières publications annoncées concernent des auteurs contemporains ainsi que des rééditions de classiques de la littérature. En une semaine, Mermoud reçoit entre mille et mille cinq cents inscriptions. À la fin de 1937, la Guilde réunit trois mille huit cent quatre-vingt-cinq membres ; en 1944, elle en compte vingt-cinq mille, puis dix mille en 1957. Le bulletin, d'une vingtaine de pages, présente le catalogue, des extraits des livres à paraître et des informations littéraires et culturelles. Il sera distribué en Suisse, mais aussi à l'étranger (France, Portugal, Belgique et Canada).

Louis Lanoizelée (1896‑1990) est un modeste autodidacte nivernais. Il est d’abord valet de ferme, puis, à dix‑huit ans, travaille comme mineur de fond à La Machine. Il monte ensuite à Paris, où il est maître d’hôtel – dans la même maison que son épouse, employée comme femme de chambre ‑. C’est en 1936 qu’il réalise son rêve ‑ obtient, comme il le dit, son « bâton de maréchal » ‑ en ouvrant une boîte de bouquiniste quai des Grands‑Augustins. Ses grands‑parents ne savaient ni lire ni écrire, ses parents étaient quasi illettrés. Comme Marguerite Audoux, il dévore dès sa prime jeunesse tout ce qu’il trouve à sa portée, en particulier un livre auquel il manque le début et la fin et qu’il découvre ensuite être Pêcheurs d’Islande. Il finira d’assouvir sa passion en écrivant des monographies à compte d’auteur sur les petites gens comme lui qui sont entrés en littérature : Marguerite Audoux, Charles‑Louis Philippe, Lucien Jean, émile Guillaumin... Louis Lanoizelée est donc le deuxième biographe de la romancière (son Marguerite Audoux paraît en 1954). Un cinquième et dernier ouvrage, Souvenirs d’un bouquiniste (le seul qui ne soit pas à compte d’auteur), sera édité en 1978 à l’âge d’Homme.

Quand il commence à faire ses visites bimensuelles à la romancière, en 1932, Louis Lanoizelée est donc encore maître d’hôtel rue de Varenne. Il ne peut s’échapper que deux heures dans l’après‑midi et, très vite, remplace les fleurs par une grande tarte, car il sait que les petits‑neveux de Marguerite Audoux sont chez elle le dimanche.

À quatre‑vingt‑neuf ans, Louis Lanoizelée est invité pour une émission à France‑Culture. Il s’éteindra cinq ans plus tard.

Lettres de Marguerite Audoux à Louis Lanoizelée : 360, 365, 367, 372, 384 et 396.

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Régis Gignoux (1878‑1931) est directeur du Figaro à l’époque du succès de Marie‑Claire. C’est d’ailleurs par ses fonctions qu’il facilite à Larbaud, en décembre 1915, l’un de ses séjours en Espagne en lui faisant confier une mission par son journal. En tant qu’auteur dramatique, il a laissé une dizaine de pièces pour le théâtre et le Music‑Hall.

Membre du groupe de Carnetin, c’est une personnalité fantaisiste, impécunieuse et, ce qui va de pair, généreuse. En 1908, il ne supporte pas la façon dont Charles‑Louis Philippe congédie émilie Legrand  et fait peu de cas de ses obsèques. Voir aussi l’article de Gignoux, (« L’Histoire d’un début ») dans le numéro des Primaires, 3e série, n° 8, 4e année, août 1922 (consacré à Marguerite Audoux). N. B. : Cet article avait paru en première page du Figaro du 28 octobre 1910.

Lettre de Marguerite Audoux à régis Gignoux : 16.

Voir aussi la lettre 349 (de Francis Jourdain à Marguerite Audoux), qui relate la mort et les obsèques de Régis Gignoux.

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

D’origine modeste, et après des échecs répétés dans ses études, Charles-Louis Philippe [4 août 1874 (Cérilly, Allier) ‑ 21 décembre1909 (Paris)], tente de s’imposer littérairement dans la capitale, tout en travaillant à l’Hôtel de Ville sur une recommandation de Barrès. Il abandonne une poésie symboliste un peu laborieuse au profit du roman. Son plus grand succès est Bubu de Montparnasse (1901). On retiendra aussi, pour l’essentiel, La Mère et l’Enfant (œuvre autobiographique, 1900), Le Père Perdrix (1903), Marie Donadieu (1904), Croquignole (1906) et Charles Blanchard (posth. 1913). C’est en 1900 que ce natif de Cérilly fait la connaissance de Marguerite Audoux, sa « payse », par l’intermédiaire de Michel Yell. L’amitié avec la romancière sera si forte que celle‑ci pensera renoncer à la publication de Marie‑Claire lorsque Philippe meurt prématurément à trente‑cinq ans. Certains des Contes du Matin, « La Visite » et « L’Ivrogne », empruntent à la vie de la romancière.

Francis jourdain (1876-1958), élève d’Eugène Carrière, est peintre, décorateur et écrivain. Il est un intermédiaire efficace auprès d’Octave Mirbeau pour l’édition et le succès de Marie-Claire. C’est lui qui dessine les meubles de Marguerite Audoux. Avec Léon Werth, il demeurera, jusqu’à la fin l’ami fidèle de la romancière.

Collection : 1926
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Henri Dejoulx (dans Marie-Claire, Henri Deslois), dont s’éprend Marguerite Audoux lorsqu’elle est placée dans une ferme de Sologne, a une sœur aînée, Charlotte Dejoulx, qui épouse émile Dubois, notaire à Argent-sur-Sauldre puis à Saint-Viâtre. Leur fils aîné deviendra le docteur Augustin Dubois (23 août 1874, Argent-sur-Sauldre – 8 décembre 1948), qui exercera à Lamotte-Beuvron de 1906 à sa mort subite, et à qui est adressée la présente lettre. Singulièrement, la rencontre entre le médecin et la romancière vient davantage du succès de Marie-Claire que d’une recherche biographique qu’eût menée Augustin Dubois, qui « est un homme lettré ayant écrit quelques plaquettes historiques ou ethnologiques. S’intéressant aux auteurs qui chantent la Sologne, il est en relation avec quelques écrivains bien oubliés aujourd’hui, dont Roger sausset et Lucien Jullemier, mais aussi Marguerite Audoux, dont le renom n’est plus à affirmer. Augustin Dubois lui rend visite à Paris quand elle est au sommet de sa réputation, et de cette rencontre naît une lettre dans laquelle la romancière se dévoile avec une réelle sincérité dans son style littéraire à la simplicité inimitable. » [Heude (Bernard), Marguerite Audoux et la Sologne. Lettre autographe inédite au docteur Augustin Dubois. Lointains souvenirs et diverses dédicaces, in la Sologne et son passé (Bulletin du Groupe de Recherches Archéologiques et Historiques de SOLOGNE), n° 62, janvier-mars 2015, p. 13-26]

À cette lettre sont joints la reproduction d’un article de Marguerite Audoux extrait du journal Paris-Soir du jeudi 25 mars 1926, Lointains souvenirs (la romancière a ajouté au-dessus du titre : « Histoire vraie ») et Une Petite Histoire de Sologne dont nous reproduisons le texte :

« Comme récompense de la peine que vous allez prendre, voici une petite histoire de Sologne.

C’était fête à Pierrefitte ce dimanche-là, et votre mère, la bonne Charlotte aux beaux yeux francs, aux cheveux brillants et bouclés, avait eu la gentillesse de m’emmener à cette fête en même temps que sa mère, mais aussitôt arrivée elle s’aperçoit qu’elle a oublié un vêtement indispensable à l’un de ses enfants. J’offre de courir à Villeneuve le chercher, mais même en courant, à l’aller comme au retour, je ne serais pas revenue à temps. Charlotte, alors, a une idée. Prenez la voiture, me dit-elle. Je ne savais pas conduire, et Henriette assurait que je jetterais la jument dans le fossé si on me la confiait. Mais Charlotte, ses yeux dans les miens, me dit avec cette bonne humeur qui lui était coutumière : mais si, voyons, vous saurez bien conduire. Et puis la jument connaît bien le chemin, elle ira toute seule.

Oui, la jument connaissait le chemin, mais tout de suite elle prit la gauche, de sorte que les voitures rencontrées s’écartaient de mauvaise grâce, tandis que l’on me criait : ta droite, ta droite. J’ignorais qu’il y eût une droite et une gauche pour les voitures et je me creusai la tête pour savoir ce que voulaient dire ces gens. Au retour, lorsque je le demandais à Charlotte, elle eut un beau sourire avant de me répondre. »

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Louis Cocu est l’ancien chef de bureau de Charles-Louis Philippe à l’Hôtel de Ville.

Collection : 1913
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Léon Werth (1879‑1955) représente, de façon moins radicale et plus marginale que Francis Jourdain, l’homme de gauche du Groupe de Carnetin. Après une enfance où il est plus ou moins livré à lui‑même, il poursuit de bonnes études, mais quitte l’hypokhâgne d’henri‑IV pour exercer de nombreux petits métiers. En tant que juif, il est contraint, pendant la Seconde guerre, de se cacher dans le Jura. Ses relations chaleureuses avec Marguerite Audoux demeurent jusqu’à la fin d’une grande fidélité. La romancière apprécie d’ailleurs plus l’ami que l’homme engagé politiquement à gauche et l’écrivain, trop intellectuel à son goût. Werth, journaliste reconnu (voir la lettre 29, note 74), et secrétaire de Mirbeau, laisse un certain nombre d’œuvres, dont La Maison blanche, qui rate de peu le Goncourt en 1913.

Collection : 1934
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Collection : 1913
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Francis jourdain (1876-1958), élève d’Eugène Carrière, est peintre, décorateur et écrivain. Il est un intermédiaire efficace auprès d’Octave Mirbeau pour l’édition et le succès de Marie-Claire. C’est lui qui dessine les meubles de Marguerite Audoux. Avec Léon Werth, il demeurera, jusqu’à la fin l’ami fidèle de la romancière.

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Francis jourdain (1876-1958), élève d’Eugène Carrière, est peintre, décorateur et écrivain. Il est un intermédiaire efficace auprès d’Octave Mirbeau pour l’édition et le succès de Marie-Claire. C’est lui qui dessine les meubles de Marguerite Audoux. Avec Léon Werth, il demeurera, jusqu’à la fin l’ami fidèle de la romancière.

Agathe est l’épouse de Francis Jourdain.

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth)

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Louise Roche est l’amie de toujours de la romancière.

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon et Louis Werth).

Agathe est l’épouse de Francis Jourdain.

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’ainé de ses trois petits-neveux et fils adoptifs.

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Louise Roche est l’amie de toujours de la romancière.

Louis est le frère de Léon Werth.

Gégé n’a pu être identifié.

Collection : 1916
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Suzanne Werth, née Canard (1888–1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Francis jourdain (1876-1958), élève d’Eugène Carrière, est peintre, décorateur et écrivain. Il est un intermédiaire efficace auprès d’Octave Mirbeau pour l’édition et le succès de Marie-Claire. C’est lui qui dessine les meubles de Marguerite Audoux. Avec Léon Werth, il demeurera, jusqu’à la fin l’ami fidèle de la romancière.

Louis est le frère de Suzanne et Léon Werth.

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Louis est le frère de Léon et Suzanne Werth.

Ami commun de Marguerite Audoux et de Léon Werth, le Docteur Delort est médecin à l’Hôpital Saint-Antoine et dans son cabinet du 26 avenue du Président-Wilson (XVIe arrondissement). Il pratique aussi, comme il était d’usage à l’époque, et comme c’est le cas ici, les visites à domicile.

Louise Roche est l’amie de toujours de la romancière.

Le « petit commissionnaire de 14 ans » pourrait être Paul, l’aîné des fils adoptifs, mais qui n’en a alors que 11.

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Suzon Werth est la sœur de Léon.

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Suzon Werth est la sœur de Léon.

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Louis et Suzanne (Suzon) sont les frère et sœur de Léon. On ne confondra pas la sœur et l’épouse de ce dernier (Werth se marie en 1922 avec Suzanne Canard), qui portent le même prénom.

Ami commun de Marguerite Audoux et de Léon Werth, le Docteur Delort est médecin à l’Hôpital Saint-Antoine et dans son cabinet du 26 avenue du Président-Wilson (XVIe arrondissement). Il pratique aussi, comme il était d’usage à l’époque, et comme c’est le cas ici, les visites à domicile.

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Collection : Aucune collection
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Archives Marguerite Audoux
Expéditeur allemand inconnu.

Collection : Correspondants
Archives Marguerite Audoux
Une lectrice, sur laquelle nous ne possédons aucun autre renseignement

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Parution de Marie-Claire - "Le Lampadaire" - Départ en Bretagne avec Michel Yell - Gide et les manuscrits de Philippe

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Manuscrit de La Mère et l'Enfant - Léon Werth - Angèle Lenoir - Valery Larbaud

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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