Admiration, remerciement pour le bien fait à l'humanité

Les destinateurs voient dans l’attitude de Zola une thèse sociologique: elle incarne la défense des Droits de l’Homme et du Progrès, contre le fantôme moyenâgeux et clérical

Lettre d'admiration, qui accompagne l'envoi d'un article publié par le destinateur dans un journal de province «A Voz d'Estremoz».

Demande d’autorisation pour traduire en portugais les brochures et articles publiés dans L’Aurore et Le Figaro dans le contexte de l’Affaire Dreyfus, afin de faire leur divulgation au Portugal et au Brésil.

Le journal O Paiz n’a pas voulu, pour des motifs politiques, s’associer à une manifestation d’appui à Zola, dans le contexte de l’Affaire Dreyfus, toutefois, les signataires de la lettre, «obscurs ouvriers de la presse» tiennent à exprimer leur admiration et envoient en annexe les exemplaires du journal où ils ont plaidé la cause de l’«admirable apôtre».

Lettre adressée par un groupe de professeurs de la Faculté de Droit du Recife comme expression d’admiration envers Zola lors de l’Affaire Dreyfus: «Vous étiez un grand artiste

Deux ouvriers manifestent leur admiration vis-à-vis de Zola et formulent des voeux pour qu'il puisse triompher.

Deux admirateurs, l’un espagnol et catholique, et l’autre italien et catholique aussi, signalent que la victoire est du côté de Zola, quoique condamné.

Lui rappelle sa rencontre avec Zola en 1898. Est en Europe et lui envoie une brochure.

Envoi d'un volume, La fin des religions, par un ancien sénateur malade.

Suggère à Zola de créer une institution "Justice et Vérité".

A accompagné le Président de la République, M. Campos Sales, à Paris, en 1898, ayant, à ce moment-là, fait une entrevue à Zola. Ce travail a été fait au service du Jornal do Commercio, «organe le plus important du monde entier, en tant que langue d’origine latine». Ces impressions de voyage en Europe ont été réunies dans un livre, dont il traduit et lui en adresse des extraits relatifs à cette entrevue qui évoque la haine antisémitique, «inconnue au Brésil».

Demande d'autographe.

Cet admirateur de Zola lui demande conseil : doit-il permettre à ses deux filles de 16 et 18 ans de lire ses romans ?

Avait écrit à Zola en 1898, qui lui avait répondu. Lui demande son portrait et sa carte de visite.

A écrit un livre, "La religion, causerie d'un ignorant".

S'associe à la défense que Zola fait de la mémoire de son père François Zola.

Envoi d'une lettre de soutien, imprimée dans un journal australien.

En-tête : "Dreyfus Demonstration Commitee"

Lettre de demande de publication d'un poème traduit en français sur l'affaire Dreyfus

À propos de la lettre de Zola à Lucie Dreyfus.

Lettre d'une jeune journaliste de 22 ans.

Lettre de soutien et d'admiration après la lecture de la Lettre à Lucie Dreyfus.

A lu et relu la lettre de Zola à Madame Dreyfus.

À propos de Mme Dreyfus. "Cette lettre n'est pas d'un Dreyfusard mais d'un Zolaiste."

Longue lettre de soutien et d'analyse de l'affaire Dreyfus.

Longue lettre à propos de la "Lettre à Madame Dreyfus".

- 24*35,5. Couverture en cuir, relié ? Couleur violine, bordeaux foncé. Décor doré sur les plats et sur le dos. Décoré sur l’intérieur des plats, tissus moirés violine. Tranche dorée. - Registre folioté (4-395 avec des manques et des insertions : 97 feuillets). Souscription « Pro Zola » aux frais de justice (20 centimes l‘adhésion). Cachet « comité Zola Buenos Aires ». Chaque feuille est placée sous la responsabilité d’une personne. Pages divisées en trois colonnes : nom, domicile, somme. Une date : 12 mars 1898.

Lettre de soutien à Zola après la parution de son article, « Le Cinquième acte ».

Longue lettre de soutien d'un hollandais juif qui a été secrétaire de l'Institut Drouet à Paris pendant 3 ans. Antisémitisme.

Lettre d'admiration avec mention "confidentiel", signée "ami du père et de la mère du Martyr".

Album de soutien à la famille Dreyfus sous l’initiative des journalistes anversois Eugène Landoy (Le Matin), Paul Billiet (Het Laatste Nieuws), Florent Burton (De Nieuwe Gazet) et Charles Sluyts (L’Opinion). Des milliers d’anversois ont signé cet album qui a été dépose à la bourse d’Anvers en septembre 1899.
Les signataires sont répartis selon les catégories suivantes : Presse ; Barreau ; Corps médical ; Bourse ; Industrie du diamante ; Personnel enseignant ; Institut supérieur du commerce ; Personnel de l’Hôtel de Ville ; Personnel des administrations de la bienfaisance publique ; familles Péchar, Grisar, de Roubaix, de Wael et leurs amis ; familles Van der Meersch, Kreglinger, Everaerts, Gevers et leurs amis ; Dames ; Signatures diverses.

L’album a été imprimé sur les presses de Paul Buschmann avec des lettres du Musée Plantin et ensuite superbement relié par Jacques Mössly et a de grandes dimensions : hauteur de 62 cm, large de 52 cm et épais de 27 cm et pèse environ 10 kilos.
L’album a été remis par Jacques Mössly à un proche d’Alfred Dreyfus le 19 décembre 1899, qui l’a transmis au capitaine. Alfred Dreyfus remercie les initiateurs du projet dans une lettre :

Carpentras, 1er janvier 1900.
Monsieur,
J’ai été profondément touché de la pensée qui a inspiré l’admirable chef-d’œuvre que vous avez remis à mon beau-frère M. Georges Hadamard et que celui-ci vient de me transmettre.
Je vous prie d’être mon interprète, en mon nom et au nom des miens, auprès de tous vos concitoyens pour les remercier bien vivement de ce superbe témoignage de sympathie, qui a été créé dans une si belle pensée de fraternité et de solidarité humaine.
Veuillez agréer, monsieur, l’expression de mes sentiments distingués.
A. Dreyfus.

En 1991, la Ville d’Anvers achète l’album à l’un des petits-fils d’Alfred Dreyfus. Il est la pièce maîtresse de l’exposition « Albums d’hommage 1840–1940 – reliés en or » organisée du 2 au 10 octobre 1992 dans le bâtiment historique de la Mairie d’Anvers. L’album est à présent conservé dans le FelixArchief, les Archives municipales d’Anvers. Nous les remercions vivement de nous avoir permis de consulter ce document unique et de publier les photos.

On lira l’article suivant à ce sujet : Michael Rosenfeld, Émile Van Balberghe, Jacques Detemmerman, « Le J’accuse…! d’Émile Zola imprimé en caractères plantiniens », De Gulden Passer. The Golden Compasses, no 101, vol. 2, 2023, p. 189-222. (https://bibliofielen.be/fr/compas-d-or/)

De riches américains souhaitent fonder aux États-Unis une université en l'honneur de Dreyfus.

Lettre de demande des droits de Fécondité pour traduction

Lettre d'une jeune fille de 17 ans dont le père est auteur et la mère traductrice de nouvelles de Zola.

Envoie à Zola une médaille de Dreyfus et de lui-même qu'il a fait frapper.

Demande d’aide financière à Émile Zola

Rapporte une histoire qui s'est passée à Glasgow.

Album d’hommage sous l’initiative des journalistes anversois Eugène Landoy (Le Matin), Paul Billiet (Het Laatste Nieuws), Florent Burton (De Nieuwe Gazet) et Charles Sluyts (L’Opinion). Deux textes sont reproduits dans cet ouvrage : Le J’Accuse...! d’Émile Zola et l’Arrêt de la Cour de Cassation du 3 juin 1899 qui a cassé le jugement de 1894 d’Alfred Dreyfus, tous deux imprimés sur les presses de Paul Buschmann avec des lettres du Musée Plantin.
L’album est superbement relié par Jacques Mössly et a de grandes dimensions : hauteur de 62 cm, large de 52 cm et épais de 27 cm. Il pèse environ 10 kilos.
L’album a été remis à Émile Zola le 19 décembre 1899 dans sa maison à Paris par les journalistes Paul Billiet, Florent Burton et Charles Sluyts et le relieur Jacques Mössly. Il a été donné à la Maison Zola / Musée Dreyfus par le Dr. François Émile-Zola, probablement vers 1988.

On lira l’article suivant à ce sujet : Michael Rosenfeld, Émile Van Balberghe, Jacques Detemmerman, « Le J’accuse…! d’Émile Zola imprimé en caractères plantiniens », De Gulden Passer. The Golden Compasses, no 101, vol. 2, 2023, p. 189-222. (https://bibliofielen.be/fr/compas-d-or/)

Le destinateur, âgé de 16 ans, exprime sa profonde admiration envers Zola.