Godin répond à la lettre de Louise Bonnemain du 9 décembre 1879. Il l'informe qu'il ne peut garantir que son protégé trouvera au Familistère des ressources pour subsister : « J'ai créé ici pour une population toute entière les ressources exceptionnelles d'une vaste association, mais en m'occupant ainsi de la masse, je ne puis m'occuper des individus ».