FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard de Pompéry, 8 février 1890
Réponse à une lettre d'Édouard de Pompéry en date du 6 février 1890 recommandant Henri Brissac à un emploi au Familistère. Marie Moret n'en n'a pas le pouvoir, n'est plus gérante et ne peux engager des frais supplémentaires pour le journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Brissac, 9 février 1890
Réponse à une lettre d'Henri Brissac en date du 7 février 1890 postulant à un emploi au journal Le Devoir avec la recommandation d'Édouard de Pompéry. Marie Moret n'a pas besoin d'un employé et n'a pas les ressources pour cela. La réponse de François Dequenne sur la possibilité d'un emploi au Familistère a été négative. Envoi de la République du travail de Godin en échange d'un volume de poésies de Brissac.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur A. Dupont, 3 juin 1891
Sur une demande d'emploi de deux ouvriers de Revin dans l'usine du Familistère de Guise : réponse négative de François Dequenne.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Octave Hien, 7 juin 1891
Sur une demande d'emploi dans l'usine du Familistère de Guise : François Dequenne a répondu négativement à la même demande de deux ouvriers de Revin.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame Alfred Limet, 13 juin 1891
Remise d'un certificat attestant des bon rapports entretenus par Marie Moret avec madame et monsieur Alfred Limet, gardiens de la maison de Marie Moret à Lesquielles-Saint-Germain d'octobre 1889 au 12 juin 1891.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame Héroquelle-Thiébaut, vers le 7 septembre 1891
Réponse à une demande d'emploi dans l'usine du Familistère : il n'y a pas de place vacante, répond toujours M. Dequenne à de telles demandes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Dequenne, 9 septembre 1891
Communique deux lettres à François Dequenne : l'une traitant de fabrication industrielle, l'autre demandant un emploi à l'usine du Familistère. Demande à Dequenne le texte de son discours à la fête de l'Enfance du 6 septembre 1891.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Francisco Albarracín, 3 décembre 1891
Réception de la lettre de Francisco Albarracín contenant un chèque de 25 F pour son réabonnement au journal Le Devoir et l'acquisition de deux livres de Godin, Le Gouvernement et Solutions sociales. Don de Mutualité sociale de Godin. Sur le désir d'Albarracín d'habiter au Familistère : seules sont admises les personnes travaillant dans les services du Familistère et les ateliers de l'usine ; les emplois sont réservés aux membres des familles liées à l'Association du Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 4 septembre 1892
Revient au Familistère pour la Fête de l'Enfance mais a laissé à Lesquielles la lettre d'Antoniadès. Au sujet du voyage de Marie prévu à Paris puis finalement annulé car visiteurs et visiteuses ont afflué au Familistère. Marie heureuse du voyage d'Antoniadès et lui souhaitant le meilleur dans ses résultats aux examens. Envoi du nouveau numéro du journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à un inconnu, 18 septembre 1892
Demande de renseignements sur le couple Meerts-Ancelet, au service du correspondant entre 1889 et 1891.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Léocadie Waret, 14 septembre 1892
Répond à sa lettre du 12 septembre pour une demande de poste mais n'a pas pris de décision sur le remplacement de M. et Mme Roger et n'en prendra pas avant la fin de l'année.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre Meerts-Ancelet, 20 septembre 1892
Accuse réception de sa demande d'emploi mais ne peut répondre favorablement pour l'instant. Les faibles connaissances de M. Meerts en jardinage ne suffisent pas pour Marie Moret et la santé de sa femme semble trop fragile.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre Meerts-Ancelet, 21 septembre 1892
Accuse réception de sa demande d'emploi mais ne peut répondre favorablement pour l'instant. Elle lui renvoie avec cette lettre trois certificats. La santé de sa femme semble trop fragile.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre Meerts-Ancelet, 28 septembre 1892
Convient de l'intérêt de faire venir spécialement un jardinier « pour certains soins ». Elle ne peut procéder au remplacement de M. et Mme Roger car elle s'apprête à partir en voyage courant octobre. Demande le salaire que le couple Meerts souhaiterait avoir et le taux auquel il évalue ses services. Propose une rencontre lorsque le couple viendra visiter des parents près d'ici.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre Meerts-Ancelet, 3 octobre 1892
Au sujet de la visite de Mme Meerts qui se ferait après celle de M. Meerts.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre Meerts-Ancelet, 8 novembre 1892
Informe monsieur Meerts qu'elle ne peut accepter ses services car elle ne sait quand elle rentrera à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 6 avril 1870
Godin autorise monsieur André à se rendre auprès de sa famille et lui demande de veiller au bon fonctionnement de l'usine pendant son absence. Godin évoque un rendez-vous avec André au sujet d'une gratification supplémentaire « que je subordonne à quelque chose que je n'ai pas encore complètement trouvé ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur M. Conte, 28 octobre 1872
Jean-Baptiste André Godin répond à monsieur Conte au sujet de son fils qui prétend à un emploi à l'usine du Familistère. Godin ne donne pas suite à la demande de celui-ci et expose les motifs de sa décision : Godin avait accepté de donner un emploi de voyageur de commerce au jeune homme alors que celui-ci lui avait dissimulé des renseignements ; il lui a accordé des appointements pendant les quatre mois d'études qu'il a suivies au sein de l'usine du Familistère ; le jeune homme a commencé à voyager pendant que Godin se trouvait à Versailles ; Godin a eu connaissance que ses frais de voyage, 20 F par jour, excédaient les frais des autres voyageurs de la manufacture, aussi l'a-t-il congédié. Godin fait le compte des effets que le jeune homme a laissé chez monsieur Berns, d'une moindre valeur que ce qu'indique monsieur Conte.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Nitelet, 27 août 1872
Réponse à la lettre de Jules Nitelet du 24 août 1872 : Jules Nitelet semble prétendre à un emploi au Familistère ; Godin demande à son correspondant de lui communiquer des précisions.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à G. Thiébault, juillet 1872
Jean-Baptiste André Godin écrit à G. Thiébault au sujet d'une somme de 500 francs que celui-ci a prélevée dans la caisse sans qu'Émile Godin en ait été averti. Godin donne à Thiébault un délai de 8 jours pour que cette somme soit restituée et l'informe que sa présence à l'usine est désormais indésirable.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur B. Bourgeois, 7 août 1874
Jean-Baptiste André Godin répond à une lettre de B. Bourgeois sur ses fonctions à la direction de l'usine de Laeken. Godin reconnaît que les changements apportés à la direction de l'usine causent un surcroît d'occupation à Bourgeois ; il l'en remercie mais ne souhaite pour l'instant rien changer à leur convention du 1er mars 1874, et veut continuer de mettre à l'épreuve ses capacités. Godin demande à Bourgeois travailler de concert avec monsieur Philippon pour toute la correspondance, et lui indique qu'il pourra signer la correspondance active de la façon suivante : « P. Godin-Lemaire | et P. le Directeur | Bourgeois ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Philippon, 7 août 1874
Jean-Baptiste André Godin indique à Philippon qu'il a lu avec intérêt son rapport sur l'usine de Laeken, mais qu'il ne peut encore prendre la décision de lui attribuer la direction de l'usine, car cette fonction nécessite de parfaitement connaître la production de la manufacture. En attendant de pouvoir juger des capacités de Philippon, Godin lui demande de s'intéresser auprès de B. Bourgeois à toutes les affaires industrielles et commerciales de l'usine. Godin indique à Philippon qu'il écrit à Bourgeois pour lui demander de travailler avec Philippon sur toute la correspondance, et qu'il préconise que Bourgeois continue à signer la correspondance active ainsi : « P. Godin-Lemaire | et P. le Directeur | Bourgeois ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Nadaillac, 23 septembre 1869
Godin répond à un candidat à l'emploi d'économe du Familistère qu'il est prêt à lui offrir l'emploi, mais souhaite auparavant avoir réponse à plusieurs questions sur sa disponibilité et ses activités antérieures.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Pétilleau, 30 juin 1871
De retour de Versailles, Godin répond à la lettre de Pétilleau offrant ses services : il lui demande des précisions sur la nature de ces services, sur son passé, ainsi que sur ses opinions politiques.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Loisy, 7 août 1871
Godin informe Loisy qu'il est parti de Versailles prendre un peu de repos et se soigner à Guise, qu'en conséquence, il ne peut le voir à Paris. Godin invite Loisy à venir au Familistère pour examiner la possibilité qu'il devienne son collaborateur. Il envoie un ouvrage à Loisy pour savoir si celui-ci est en accord avec les principes qui président à la réalisation du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rohr, 27 août 1871
Godin répond à un candidat à un emploi dans les usines du Familistère, qu'il manque d'expérience pour la fonction à laquelle il prétend, mais qu'il est disposé à examiner avec lui s'il peut occuper un autre emploi dans la direction du travail manufacturier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Loisy, 2 octobre 1871
Godin répond à un futur employé du Familistère qu'il espère pouvoir mettre à sa disposition un logement de 5 chambres au Familistère malgré les difficultés que cela représente et lui indique que son entrée en fonctions dans l'usine aura lieu au plus tard le 1er novembre 1871.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lesne, 9 août 1872
À propos de l'embauche d'un comptable pour l'usine du Familistère : Godin retient la candidature de Lesne mais lui demande de s'engager sur l'honneur de lui signaler toute irrégularité comptable qu'il pourrait commettre. Un ancien employeur de Lesne, Victor Masson, a en effet appris à Godin que Lesne était honnête mais avait été responsable d'erreurs comptables.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur de l'École centrale des arts et manufactures, 4 octobre 1872
Godin demande au directeur de l'École centrale s'il connait d'anciens élèves susceptibles de prendre part à la direction industrielle des usines du Familistère, qui occupent 1 200 personnes, et de participer au développement de leur production.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lesne, 15 août 1872
À propos de l'embauche d'un comptable pour l'usine du Familistère : Godin répond à une lettre de Lesne du 13 août 1872, qui ne satisfait pas Godin. Lesne minimise l'importance des erreurs comptables qu'il a pu commettre dans ses emplois antérieurs et dévalorise les certificats des employeurs. Godin accepte toutefois que Lesne vienne à Guise pour parler avec lui, mais avant le lundi 19 août 1872 et son départ pour la session du Conseil général de l'Aisne.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur de l'École des arts et métiers de Châlons-sur-Marne, 28 octobre 1872
Godin demande au directeur de l'École des arts et métiers de Châlons-sur-Marne s'il connait d'anciens bons élèves susceptibles de prendre part à la direction industrielle des usines du Familistère, qui occupent 1 500 personnes, et de participer au développement de leur production.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur de l'École des arts et métiers de Châlons-sur-Marne, 1er novembre 1872
Godin remercie le directeur de l'École des arts et métiers de Châlons-sur-Marne pour l'avoir mis en relation avec un ancien élève et pour sa promesse de recommander à l'avenir des élèves à Godin.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur de l'École centrale des arts et manufactures, 2 novembre 1872
Godin remercie le directeur de l'École centrale des arts et manufactures d'avoir signalé à son attention le 11 octobre 1872 trois anciens élèves de l'École aptes à remplir une fonction de direction industrielle dans les usines du Familistère - Pierre Gallais, Victor Martin et Victor Marchais. Occupé par ses devoirs de député, Godin demande au directeur d'encourager ces anciens élèves à lui écrire. Il indique qu'il consentirait à avancer 200 F à Victor Martin s'il pouvait s'entendre avec lui pour occuper un emploi.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame Beudant, 21 décembre 1892
Demande de renseignements sur le ménage Pierre Meerts-Ancelet, relatifs à leurs qualités d'employés de maison.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre Meerts-Ancelet, 25 décembre 1892
Réponse à une lettre du 16 décembre 1892 : Pierre Meerts-Ancelet ne doit pas compter sur Marie Moret.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Catherine Cavelier, 9 avril 1893
Réponse à la lettre de Glady Cavelier en date du 4 avril 1893. Accuse réception du mandat poste de 10 F pour le renouvellement de l'abonnement de Glady Cavelier au journal Le Devoir. À propos du fils de Galdy Cavelier, graveur sur métal : une embauche au Familistère n'est pas envisageable ; Marie Moret impuissante au souhait de sa correspondante.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 18 avril 1893
Annonce du départ des gardiens de la maison de Lesquielles et du projet de déménagement du mobilier de la maison de Lesquielles à Nîmes. Franceline Alavoine a trouvé un emploi de cuisinière à Courcelles (Lesquielles-Saint-Germain) où son mari est cocher. Sur la charge que représente la maison de Lesquielles pour Marie Moret mais qu'elle ne peut ni vendre ni louer. Informe qu'elle a écrit à monsieur Picot pour le déménagement. Émilie et Marie-Jeanne Dallet heureuses de rentrer prochainement à Guise, ce qui n'est pas le cas de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 22 octobre 1847
Godin rappelle à ses correspondants qu'il leur a envoyé une annonce pour le recrutement d'un voyageur de commerce qui n'a paru qu'une seule fois, sans résultat, dans le numéro du 11 avril 1847 de La Démocratie pacifique : « Je me suis dit si le nombre des insertions est la mesure du dévouement, je suis au nombre des dévoués méconnus. » Godin souhaite que soit à nouveau publiée une annonce au titre de l'entraide entre phalanstériens, non seulement pour un voyageur de commerce mais aussi pour la direction sous sa surveillance d'un établissement employant 50 ouvriers à fondre le fer et le cuivre et à l'ajustage des pièces d'appareils de chauffage. Godin envoie 30 F et demande l'envoi d'un traité de phrénologie et des almanachs, ainsi que des reçus des versements à la rente de l'École sociétaire par lui-même et Lhermitte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 31 octobre 1847
Godin répond à une demande de précisions sur les connaissances théoriques nécessaires et les appointements liés à l'emploi de direction industrielle que Godin cherche à pourvoir parue dans la « Petite correspondance » de La Démocratie pacifique du 28 octobre 1847. Il fait un rapide historique de sa manufacture, et précise qu'une condition indispensable du succès est qu'il puisse se consacrer à la création de nouveaux modèles mais qu'il est absorbé par les questions commerciales, surtout depuis le départ de son frère. Il explique ce qu'il attend du candidat au poste de direction industrielle et indique le montant des appointements auxquels il pourrait prétendre. Godin assure que le service que lui rend La Démocratie pacifique bénéfice également à la cause phalanstérienne.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Howland, 12 février 1885
Marie Moret est satisfaite d'apprendre que Marie Howland est en bonne santé. Celle-ci lui avait fait part de sa volonté de venir vivre au Familistère et de vendre sa propriété d'Hammonton (New Jersey, États-Unis). Godin et Moret veulent la dissuader : « Il semble que le Familistère se présente à vous sous beaucoup d'illusions phalanstériennes ». La lettre donne une description du fonctionnement du Familistère, comprenant avantages et inconvénients du système mis en place. Les habitants du Familistère sont des travailleurs et travailleuses utiles à son industrie. La musique, que Marie Howland propose d'enseigner, n'est qu'accessoire. Les écoles comme les services du Familistère sont entièrement pourvus en personnel. La crise industrielle réduit le travail. Sur le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Ambroise Rétout, 10 avril 1885
À propos du recrutement d'un enseignant qui ne pourra pas se réaliser, le personnel étant déjà au grand complet dans tous les services de l'association, et sur le manque d'activité des affaires industrielles.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Ernest Dubois, 6 juillet 1877
Marie Moret fait comprendre à Ernest Dubois que Godin n'est pas en mesure d'offrir un emploi à son beau-frère car les ouvriers sont en ce moment trop nombreux. Marie Moret voit de sa fenêtre le père d'Ernest Dubois assis sous les marronniers avec d'autre retraités. Elle félicite Dubois de se faire une place à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Pottier-André, 21 octobre 1846
Godin adresse une facture de 622 F correspondant à une expédition de marchandises la veille, et souhaite recouvrer 268,50 F en paiement de livraisons antérieures. Godin explique à Pottier-André qu'il a entendu dire qu'on renvoyait des ouvriers de l'arsenal de La Fère et demande à qui s'adresser pour embaucher 5 à 6 ouvriers ajusteurs au montage de cuisinières. Il attire l'attention de Pottier-André sur les pièces d'une des cuisinières expédiées la veille.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 10 décembre 1846
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Oudin-Leclère a suggéré que Jean-Baptiste André Godin attende l'issue de son procès avant de faire usage de son dernier brevet contre monsieur Degon, mais Godin pense que ses droits d'invention ne sont pas contestables et veut une condamnation de Degon ; il indique qu'il va enlever ses poêles du greffe du tribunal et les faire déposer à l'auberge du Soleil d'Or chez Savigny à Guise si l'expertise ne peut avoir lieu chez lui. Godin demande conseil à Oudin-Leclère sur une autre affaire l'opposant à Degon : Godin explique que Degon cherche depuis deux ans à embaucher des ouvriers de la manufacture Godin-Lemaire et qu'il vient d'employer deux d'entre eux, dont l'un doit 80 F à Godin et laisse du travail inachevé ; ni l'un ni l'autre n'ont l'acquit de leur engagement sur leur livret ; Godin pense faire comparaître Degon devant la justice de paix de Guise ; en post-scriptum, Godin signale que le commissaire de police de Guise s'est présenté avec l'ouvrier débiteur envers Godin, parti chez Degon il y a deux jours, pour reprendre son ouvrage chez Godin et acquitter sa dette.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lucq, 30 mars 1847
Approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Godin informe Lucq qu'il va manquer de fonte, que 20 ouvriers risquent de se trouver sans travail et demande qu'une voiture chargée de fonte des Hauts-fourneaux du Nord lui soit envoyée à la fin de la semaine si le bateau qui devait en livrer n'est pas parti.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 22 octobre 1847
Godin rappelle à ses correspondants qu'il leur a envoyé une annonce pour le recrutement d'un voyageur de commerce qui n'a paru qu'une seule fois, sans résultat, dans le numéro du 11 avril 1847 de La Démocratie pacifique : « Je me suis dit si le nombre des insertions est la mesure du dévouement, je suis au nombre des dévoués méconnus. » Godin souhaite que soit à nouveau publiée une annonce au titre de l'entraide entre phalanstériens, non seulement pour un voyageur de commerce mais aussi pour la direction sous sa surveillance d'un établissement employant 50 ouvriers à fondre le fer et le cuivre et à l'ajustage des pièces d'appareils de chauffage. Godin envoie 30 F et demande l'envoi d'un traité de phrénologie et des almanachs, ainsi que des reçus des versements à la rente de l'École sociétaire par lui-même et Lhermitte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 31 octobre 1847
Godin répond à une demande, parue dans la « Petite correspondance » de La Démocratie pacifique du 28 octobre 1847, de précisions sur les connaissances théoriques nécessaires et les appointements liés à l'emploi de direction industrielle que Godin cherche à pourvoir. Il fait un rapide historique de sa manufacture, et précise qu'une condition indispensable du succès est qu'il puisse se consacrer à la création de nouveaux modèles mais qu'il est absorbé par les questions commerciales, surtout depuis le départ de son frère. Il explique ce qu'il attend du candidat au poste de direction industrielle et indique le montant des appointements auxquels il pourrait prétendre. Godin assure que le service que lui rend La Démocratie pacifique bénéfice également à la cause phalanstérienne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 9 août 1848
Godin annonce à Barbet qu'il ne pourra se rendre prochainement à Paris, qu'il a envoyé deux pièces de fonte à son dépôt de Paris pour servir de référence aux dimensions d'un modèle à exécuter d'après les croquis envoyés par Barbet ; Godin indique qu'il désire faire des observations sur les croquis mais que cela est difficile par courrier. Godin répond négativement à une demande d'emploi de Barbet en lui expliquant que l'activité industrielle est réduite en province, que le peu d'ouvriers qu'il a conservés produisent plus de marchandises qu'il ne peut en vendre et qu'il n'a pas besoin d'embaucher un sculpteur car les ornements sont accessoires dans sa fabrication. Godin envoie un croquis avec cotes d'un modèle à réaliser, et 35 F pour rémunérer le premier travail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Careau, 15 février 1849
Avant de lui offrir un emploi, Godin demande à Careau quel est le prix de son travail pour le moulage de 100 kg de grosses pièces et pour celui de petites pièces de filature. Il pose pour condition que Careau soit capable de faire parfaitement l'ornement des appareils.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à « Louis », 24 [juin 1845]
Sur le besoin d'embauche de deux mouleurs supplémentaires. La lettre est adressée à un homme prénommé Louis, ancien mouleur de la manufacture Godin-Lemaire. Godin précise qu'il emploie depuis plus de deux ans deux mouleurs nommés Massard et que son activité nécessite désormais de faire travailler quatre mouleurs.
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