FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaunay, 18 mai 1865
À la suite d'un litige avec l'administration de l'octroi de la ville de Guise, Godin demande à Delaunay son avis sur la différence entre une chaux vive de Tournai, à éteindre pour son utilisation, et une chaux hydraulique, qui lui semble une chaux travaillée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au maire de Guise, 10 mai 1865
Godin effectue une réclamation auprès du maire de Guise sur le montant des droits d'octroi appliqués à de la chaux vive qui lui sert de chaux à bâtir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Allez frères, 16 mai 1863
Godin demande à Allez frères une réponse à sa lettre du 5 mai 1863 et regrette qu'ils ne veuillent profiter d'une remise importante. Il précise qu'il est sollicité par le propriétaire de bateaux Fernet, disposé à transporter des marchandises et que le prix de celles-ci est au plus bas. Godin demande à Allez frères de lui faire part de leurs intentions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Compagnie du chemin de fer du Nord, 17 avril 1863
À propos d'une avarie subie par 5 cuisinières dans un transport par la Compagnie du chemin de fer du Nord et le montant de la réparation des marchandises.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henri Leborne, 14 avril 1863
Godin informe Leborne que le bateau de coke de Monceau-Fontaine est arrivé avec son chargement couvert mais que le coke était trempé alors qu'un bateau arrivé du bassin de Mons était chargé d'un coke très sec. Godin annonce à Leborne qu'il refuse de décharger le coke jusqu'à ce que la société de charbonnage ait envoyé un représentant pour constater le fait et lui accorder l'indemnité qui lui est due. Il lui signale dans le post-scriptum qu'il a écrit à monsieur Bivort.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Clément Joseph Bivort, 14 avril 1863
Godin fait part à Bivort de difficultés sur la réception d'un bateau chargé de coke : Godin avait demandé à Leborne que le coke soit sec ; le coke a été chargé dans un bateau couvert, mais il était trempé à l'arrivée ; Godin conclut à un arrosage du minerai avant chargement. Godin refuse de prendre livraison du coke avant qu'il ne soit tenu compte du coût supplémentaire du fret et du poids de l'eau contenue dans le coke. Il compare l'expédition de Bivort avec un bateau de coke sec arrivé du bassin de Mons et transporté par chemin de fer jusqu'à Hautmont.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie, 25 mars 1862
Godin répond à la lettre de Bailey et Cie l'informant du prix de leur fonte à 4 100 livres la tonne franco à bord à Newport en leur demandant d'affréter un bateau pour Calais chargé de bonne fonte de moulage n° 1.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et Cie, 22 mars 1863
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin rappelle à Cambier et Cie qu'ils lui avaient promis de lui écrire aussitôt après leur visite à Guise pour l'informer de la date d'expédition d'un chargement de bonne fonte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Laterrade, 20 mars 1863
Sur l'ouverture à la circulation publique de la rue du Familistère. Godin rappelle à Laterrade que celui-ci était venu à Guise pour lui demander d'ouvrir la rue du Familistère à la circulation publique pendant les travaux de construction du pont de la ville de Guise. Godin est surpris d'apprendre que le conseil municipal de Guise regrettait de devoir participer au financement d'un pont de service au motif que l'administration des ponts et chaussées n'a pu s'entendre avec lui. Godin explique à Laterrade que le fait qu'ils ne soient pas d'accord sur l'indemnité proposée pour l'abandon de la voie à la circulation publique ne signifie pas qu'ils ne peuvent trouver une entente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henri Dupont, 9 mars 1863
Godin informe Henri Dupont qu'il pourrait admettre des pièces de bois de section supérieure à celle demandée mais qu'il n'est pas possible d'en modifier la longueur. Il lui demande le prix du fret et lui suggère d'attendre une occasion favorable pour l'expédition. Il lui demande en outre de pallier une erreur de livraison de l'année dernière de bois de mauvaise longueur en lui fournissant des pièces de 12,50 m de longueur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henri Dupont, 6 mars 1863
Au sujet d'une commande de bois. Godin explique à Henri Dupont qu'il a tardé à répondre à sa lettre du 19 février 1863 en raison du prix élevé qu'il demande et parce qu'Émile Godin a pu conster que ses bois étaient secs alors qu'il préfère du bois neuf. Godin indique à Dupont le prix qu'il consentirait à payer pour des madriers en sapin rouge du nord de second choix et des bastings.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et Cie, 6 mars 1863
Godin informe Cambier et Cie qu'il se rend à Bruxelles et que ce n'est qu'à son retour de l'usine de Laeken qu'il pourra faire avec eux la vérification de la qualité de la fonte livrée. Il veut obtenir sans retard les garanties d'une livraison prochaine de fonte de la qualité convenue.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et Cie, 24 février 1863
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin rappelle à Cambier et Cie qu'il a attiré en novembre 1862 leur attention sur la mauvaise qualité de la fonte expédiée, et que leur visite à Guise a permis de conclure que seule une partie du chargement était de qualité inférieure. Il les informe que le bateau qui vient d'arriver est également chargé de mauvaise fonte, qui a été testée en comparaison avec les livraisons antérieures. Godin demande que lui soit expédiée rapidement de la fonte de la qualité convenue entre eux. Sur le règlement des livraisons en valeurs sur la France plutôt que sur la Belgique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bour-Paquot, 19 février 1863
Godin rappelle à Bour-Paquot qu'il devait lui envoyer dans un court délai des chevrons en bois qu'il n'a pas encore reçus.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs F. Toscan et Berly, 19 février 1863
Sur une demande d'expédition d'appareils de chauffage au Mexique. Godin explique à Toscan et Berly qu'il n'est peut-être pas souhaitable d'expédier les appareils démontés car il faut un ouvrier d'expérience pour opérer le montage, et que par ailleurs, l'emballage de chaque pièce dans de la paille augmenterait le volume de l'envoi qui ne serait pas inférieur à celui de l'appareil assemblé. Godin suggère de faire deux caisses pour les fourneaux les plus grands, dont l'une contiendrait le corps du fourneau, comme il l'a déjà fait pour l'Australie et la Turquie. Il donne enfin des recommandations sur la fabrication de tuyaux et précise qu'il ne fabrique pas de lampes en fer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur-gérant des Forges et fonderies de Montataire, février 1863
Gauguin de Saint-Vigor a écrit le 3 février 1863 à Godin qu'il ne dispose que de fonte de qualité n° 2. Godin lui demande toutefois de lui communiquer ses conditions de livraison s'il pense que cette fonte est douce à la lime sur toutes ses arêtes et est susceptible de résister au refroidissement après moulage

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et Cie, 31 janvier 1863
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. À propos d'une livraison de fonte par bateau. Godin se plaint du mauvais vouloir du batelier Grave qui, une fois remise sa lettre de voiture, a refusé de décharger à 500 mètres du quai habituel sans contrepartie financière. Godin explique à Cambier et Cie qu'il a dû lui faire sommation par huissier. Godin recommande à Cambier et Cie d'indiquer désormais le rivage de Longchamps sur la lettre de voiture des bateliers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Trystram et Crujeot, 24 janvier 1863
Sur un approvisionnement en bois. À la suite de la visite faite à Trystram et Crujeot par Émile Godin, il apparaît que ceux-ci n'ont pas suffisamment de bois en stock pour un transport par bateau, mais qu'ils promettent de réunir suffisamment de bois en avril pour approvisionner Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Martin-Lenfant, 29 décembre 1862
Godin demande à Martin-Lenfant des renseignements sur les bois que peuvent lui fournir Trystram et Crujeot.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et Cie, 20 novembre 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin informe Cambier et Cie que la fonte qu'il a expédiée n'est pas de la qualité souhaitée et lui suggère que sa présence serait nécessaire pour régler l'affaire. Le post-scriptum signale l'arrêt du déchargement du bateau en attendant la réponse de Cambier et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Parmentier, 14 novembre 1862
Sur la route n° 55 de Jonqueuse à Étreux. Godin accepte volontiers le choix de Parmentier en tant qu'expert désigné d'office et lui communique ses observations. Godin fait transporter des marchandises sur un tronçon de la ligne n° 55 ; il a contracté un bail annuel de 250 F avec Brunel pour la location d'un port placé sur le chemin, où les déchargements sont plus économiques qu'au port de Longchamps ; l'administration prétend qu'il a fait des dégâts considérables au chemin en 1861 et 1862 alors que les seuls travaux d'entretien ont été faits par lui ; il renonce depuis à emprunter le chemin et fait décharger ses bateaux au port de Longchamps, aussi la question ne porte que sur le passé ; Godin conteste qu'il ait dégradé la route qui n'est achevée que pour la moitié du trajet ; il a proposé néanmoins une indemnité à l'administration de 200 F correspondant au déchargement de 20 bateaux par an à Longchamps chez Macaigne au prix de 10 F par bateau, indemnité que l'administration juge insuffisante malgré l'inachèvement de la route. Godin communique à Parmentier un état annuel de ses transports en précisant que 2 198 tonnes transitent par le chemin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Macaigne, 9 septembre 1862
Godin demande à Macaigne quelles conditions il lui ferait pour décharger des bateaux à son rivage.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie, 31 juillet 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin informe Bailey Brothers et Cie que la fonte de leur dernier envoi ne paraît pas de bonne qualité et leur demande de suspendre tout nouvel envoi. Règlement d'une facture de 9 493 F de Bailey Brothers et Cie par l'intermédiaire d'Allez frères au 2, quai de Gèvres à Paris.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lacarole, 1er juillet 1862
Godin fait à Lacarole une série d'observations sur le paiement de ses services de représentation de la maison Godin-Lemaire à l'Exposition universelle de Londres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Trotier-Rouillier, 27 juin 1862
Godin communique à Trotier-Rouillier ses observations sur l'appareil qu'ils lui ont envoyé. La difficulté d'enlèvement des cendres et des escarbilles de charbon lui font renoncer à mettre le modèle en fabrication. Il promet à Trotier-Rouillier de lui envoyer un modèle plus simple de sa fabrication et lui annonce qu'il réexpédie son petit modèle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Ernest Beudon et Dalifol, 3 juin 1862
Godin demande à Beudon et Dalifol d'envoyer en urgence des pièces de terre réfractaire et des briques pour la construction de foyers, dont il donne les dimensions avec l'aide de croquis in-texte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bertaud et Cie, 22 mai 1862
Godin demande à Bertaud et Cie le prix de ses bureaux, emballés pour être expédiés en gare de Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 3 mai 1862
Sur le litige commercial opposant Godin à Pinart et Cie sur la qualité de fonte livrée à Vadencourt. Godin s'étonne que le jugement du tribunal ne corresponde pas à la demande des deux parties. Godin conteste qu'il doive payer la totalité de la fonte livrée, alors qu'une partie seulement était de bonne qualité, ce qu'une expertise pourrait reconnaître. Godin demande à Oudin-Leclère d'interjeter appel du jugement à moins que le code lui donne tort d'avoir abandonné la mauvaise fonte à Vadencourt.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin confirme à Bailey Brothers et Cie sa lettre du 11 mars 1862. Il leur demande de lui expédier immédiatement le reste des 500 tonnes de fonte restantes après chargement du bateau évoqué dans la lettre du 11 mars, de manière à ce que le deuxième bateau arrive 15 jours après le premier. Il leur rappelle sa demande sur la fonte de marque Cox et leur demande de charger sur l'un des bateaux 20 tonnes de fonte, dont 15 tonnes de fonte blanche, pour fabriquer de la fonte malléable.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et cie, 11 mars 1862
Godin demande l'envoi de 10 tonnes de fonte à la gare de l'Allée-Verte à Bruxelles, à prendre sur son marché de 2 000 tonnes, et d'en réduire le prix du coût du transport à Erquelinnes et de sa mise en bateau, car le transport de La Louvière à Bruxelles est à sa charge.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers et Cie, 11 mars 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin annonce à Bailey Brothers et Cie qu'il n'a pas reçu l'avis d'arrivée du bateau le Sarah à Calais. Il demande qu'on lui fasse expédition de 125, voire 150 ou 175 tonneaux de fonte. Il remercie Bailey Brothers pour les renseignements sur la fonte Lornn, leur rappelle qu'il en attend sur la fonte Cox, et leur demande s'ils peuvent lui fournir quelques tonneaux de fonte malléable.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et Cie, 25 janvier 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Cambier et Cie que le moyen le plus économique de transport de la fonte est le transport fluvial par la Sambre et le canal de la Sambre à l'Oise jusqu'à l'écluse n° 19 à Vadencourt ; il indique qu'il paie ordinairement 6 F la tonne de Charleroi et que le prix serait moindre si les bateaux étaient chargés à Thuin. Godin précise que le transport par le canal de Mons à Valenciennes, par l'Escaut, par le canal de Saint-Quentin et La Fère, par l'Oise puis par le canal de la Sambre à l'Oise est plus long mais que les frais de navigation sont beaucoup moins élevés. Godin ajoute que le transport par chemin de fer jusqu'à Erquelinnes et de là par bateau à 3 ou 4 F la tonne jusqu'à Vadencourt serait le plus rapide et le plus économique. Il demande à Cambier et Cie de préciser quelle quantité de fonte ils pourraient lui fournir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow, Vaughan et Cie, 15 janvier 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin confirme à Bolckow et Vaughan qu'il veut cesser d'utiliser leur fonte dont la qualité ne le satisfait pas. Il leur demande de prendre acte de la résiliation de leur marché et établit le solde de son compte à 2 175,12 livres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Ch. Poirier, janvier 1862
Godin explique à Poirier que le ciseleur qu'il avait envoyé est parti et qu'il a menacé d'intenter un procès à Poirier parce qu'il ne lui a pas compté ses frais de voyage. Godin remet à Poirier la somme due pour les heures de travail du ciseleur, et il lui demande de recruter deux ciseleurs, sans leur promettre le paradis. Dans le post-scriptum, Godin précise que le ciseleur n'avait pas présenté son livret d'ouvrier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Bailey Brothers et Cie, 6 janvier 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande à Bailey Brothers d'expédier un bateau de fonte à Calais et d'en faire l'assurance. Dans le post-scriptum Godin demande à Bailey Brothers de lui communiquer des renseignements sur les lieux d'approvisionnement en fonte en Angleterre pour fabriquer de la fonte malléable, et il mentionne les marques Lornn et Cox.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow, Vaughan et Cie, 4 janvier 1862
Godin se plaint de la qualité médiocre de la fonte qu'il vient de recevoir. Il demande à Bolckow et Vaughan d'interrompre leurs expéditions et sollicite une réduction sur le prix de la fonte qui n'est pas de qualité supérieure mais s'apparente à une fonte ordinaire n° 1

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Deschamps-Pelcot, 26 décembre 1861
Godin demande à Deschamps-Pelcot le prix et la qualité de la fonte et du minerai qu'il peut lui fournir pour fabriquer de la fonte malléable, ainsi que le coût de leur transport jusqu'à la gare de Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Pinart et Cie, 19 décembre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur le litige commercial opposant Godin à Pinart et Cie. Godin explique à Pinart et Cie qu'au moment où la fonte que celui-ci doit reprendre va être chargée, il a examiné la fonte déchargée du bateau Union des deux frères, qui s'est avérée à nouveau de qualités diverses, et va être l'objet d'un nouveau litige entre eux. Godin confirme à Pinart et Cie que la mauvaise fonte aurait dû être triée avant son chargement et lui demande de la reprendre ou de lui proposer un prix conforme à sa qualité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henri Dupont, 10 décembre 1861
Godin passe commande de plusieurs centaines de poutrelles en bois de sections et de longueurs diverses à livrer par bateau, ainsi que des madriers, dont il veut qu'une partie lui soit livrée par chemin de fer en gare de Bohain-en-Vermandois. Il annonce à Dupont qu'il lui demandera prochainement d'autres pièces de bois à placer sur deux bateaux chargés de fonte par monsieur Vendroux, et il lui demande s'il accepte que son fils Émile ou l'un de ses agents se rende à Calais pour s'assurer de la qualité du bois avant son chargement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bailey Brothers, 7 décembre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin accuse réception de l'échantillon de fonte de Bailey Brothers et Cie, dont il a été satisfait, et accepte la livraison de 500 tonnes de cette fonte n° 1 très résistante et douce à la lime au prix de 4 livres la tonne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jean, 6 décembre 1861
Sur l'éclairage au gaz de l'usine Godin-Lemaire de Guise. Godin demande à monsieur Jean de lui adresser des échantillons de bec de gaz pour l'éclairage d'ouvriers ajusteurs et fondeurs.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Daire, Gournay et Cie, 6 décembre 1861
Sur le litige commercial opposant Godin à Pinart et Cie. Godin informe Daire, Gournay et Cie que Pinart et Cie viennent de l'autoriser à voiturer à Vadencourt la fonte qui encombre l'usine de Guise, et qu'ainsi il n'y a plus lieu d'en envisager le rachat auprès de lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gilbert, 6 décembre 1861
Sur l'éclairage au gaz de l'usine Godin-Lemaire de Guise. Godin demande des échantillons de becs de gaz pour servir à l'éclairage d'ouvriers ajusteurs et mouleurs.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Pinart et Cie, 2 décembre 1861
Sur le litige commercial opposant Godin à Pinart et Cie. Godin informe Pinart et Cie que le bateau le Train du plaisir est reparti avant l'arrivée de sa lettre du 25 novembre et qu'il n'a pu charger leur fonte. Godin demande à Pinart et Cie s'ils enverront quelqu'un pour charger la fonte et s'ils s'occuperont de son voiturage de Guise à Vadencourt ou bien s'il doit s'en charger lui-même. Godin lui fait observer qu'il lui fait cette proposition bien que le jugement du tribunal lui donne raison.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Royaux et Beghin, 30 novembre 1861
Godin informe Royaux et Beghin que les dernières pannes [tuiles] qu'ils lui ont fournies ont permis de réaliser une couverture sans défaut et il leur demande de lui réserver 80 000 pannes de même qualité. Il les autorise à lui livrer 10 000 pannes de second choix qu'ils auraient éventuellement réservées pour lui. Il confirme qu'il s'agit de charger un bateau de 80 000 pannes, mais leur demande en outre d'expédier par chemin de fer en gare de Bohain deux wagons de pannes de premier choix, soit environ 7 000 pannes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow et Vaughan, novembre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies Godin-Lemaire. Godin confirme à Bolckow et Vaughan qu'il a fait un essai de la fonte qu'il a fait transporter de Calais par chemin de fer et que les résultats montrent qu'elle est de qualité inférieure à la fonte livrée par les premiers bateaux. Après que Bolckow et Vaughan lui ont assuré que les essais qu'il leur a recommandé de faire ont été concluants, il a songé à faire venir un nouvel échantillon de fonte, mais le chargement a été expédié par les canaux et il est obligé d'en attendre la livraison pour réformer son jugement s'il y a lieu. Godin leur fait part de son inquiétude et leur annonce qu'il ne veut plus recevoir de fonte tant que sa qualité n'a pas été vérifiée. La fin de la lettre porte sur le paiement de traites de Bolckow, Vaughan et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow, Vaughan, 15 novembre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies Godin-Lemaire. Godin informe Bolckow et Vaughan qu'il a fait l'essai de la fonte qu'il a fait transporter par chemin de fer et que les résultats ne sont pas satisfaisants. Godin ne comprend pas pourquoi il paye plus cher cette fonte de moindre qualité que celle expédiée précédemment. Il leur annonce qu'il va faire transporter de la fonte de Calais pour leur donner son appréciation définitive.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Henri Dupont, 9 novembre 1861
Godin demande à Dupont dans quel délai et à quel prix il pourrait lui livrer des pièces de bois dont il dresse la liste. Godin pense que l'importance de la commande permettrait de charger le bois dans un port de la Baltique et le décharger à Calais directement sur un bateau pour Guise sans passer par ses ateliers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au ministre de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux Publics, vers 1861
Godin attire l'attention du ministre sur le grave préjudice que cause à son industrie l'exigence de l'administration des douanes de faire obligation aux bateaux chargés de coke et de houille venant de Belgique de décharger à leur arrivée en France. Godin explique que le déchargement à Maubeuge coûte 400 F sans compter la détérioration de la marchandise et il ajoute que cela s'ajoute au coût prohibitif du transport sur le canal de jonction de la Sambre à l'Oise, qui contraint à utiliser les chemins de fer pour des transports importants. Il demande au ministre s'il n'est pas possible, pour éviter les fraudes, de plomber les bateaux avec des cordes et de charger un agent des douanes de la vérification au moment du débarquement. Godin indique au ministre que la situation actuelle menace de mettre au chômage les 800 à 1 000 ouvriers de son usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bolckow, Vaughan et Cie, 23 octobre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin réitère les observations faites dans sa lettre du 15 octobre sur les livraisons excessives de fonte de la part de Bolckow et Vaughan, qui ont pensé devoir livrer 200 tonnes par semaine et non 200 tonnes par mois comme il le souhaitait. Il indique qu'en raison du manque de bateliers à Calais, 300 tonnes s'y trouvent qu'il ne peut faire transporter à Guise. Il demande à Bolckow et Vaughan de suspendre leurs expéditions. Il leur rappelle que leurs dernières expéditions doivent être faites de lingots plus petits et qu'il en fera venir à Guise par chemin de fer pour juger de la qualité de la fonte.
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