FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Louise Heutte, 5 avril 1888
Au sujet d'une personne recommandée par Louise Heutte pour un emploi au Familistère. Réponse négative de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Barthélemy Godin, 18 janvier 1865
Jean-Baptiste André Godin répond à une lettre recommandée de son frère lui reprochant que ses ouvriers partent travailler à Guise. Godin lui fait observer que depuis longtemps des ouvriers de Guise sont partis chez lui à Étreux, mais que des salaires plus élevés à Guise les attirent et que la solution est d'élever les salaires à Étreux. Il lui signale qu'une difficulté plus grande va surgir, c'est la baisse des prix des marchandises en raison de la concurrence. « Le passé rend l'avenir difficile » : Godin lui rappelle qu'il a cherché à l'associer à son entreprise mais que son frère a « préféré l'indépendance d'une triste concurrence ». Il ajoute que la menace d'une liquidation de sa fonderie par son frère ne le regarde pas. « Je ne professe le dédain pour personne, mais j'ai un certain mépris pour certains actes qui sans doute ont toujours été parfaitement justes à tes yeux. » Godin se refuse à lui donner des conseils ou à lui faire des propositions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Emmanuel Duvergier de Hauranne, 21 novembre 1864
Jean-Baptiste André Godin répond à Duvergier de Hauranne en répondant au questionnaire sur les habitations ouvrières qui lui avait été soumis par Calixte Souplet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, novembre 1861
Godin répond à une candidature à l'emploi de cuisinier dont l'annonce a été faite. Il précise ce qu'il attend de la cuisine qui ne doit pas valoir pour la délicatesse des mets, mais par le talent de préparer à peu de frais une nourriture saine et variée pour l'ouvrier. Celui-ci vit avec 1,25 F par jour et prend 3 repas : de 9 à 10 heures le matin, de 2 à 3 heures, et de 7 à 8 heures. Godin indique que le cuisinier doit se préoccuper de ses approvisionnements, qu'il doit être d'un caractère facile. Il demande au candidat de lui communiquer des renseignements sur son expérience professionnelle, sur son âge et sa situation familiale, sur les appointements auxquels il prétend, une chambre garnie, sa nourriture et le blanchissage du linge de cuisine étant à la charge de l'établissement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Vannaisse, 29 octobre 1861
Godin annonce à Vannaisse qu'il répond tardivement à sa lettre du 27 septembre 1861, car son offre s'écartait des besoins spéciaux de son annonce, mais que son entretien avec Cantagrel lui a confirmé qu'il devait prêter de l'attention à sa proposition. Il lui explique qu'à côté de son établissement industriel, il a entrepris de réaliser les moyens pratiques d'amélioration de la condition ouvrière, qu'il a élevé un édifice considérable où vivent 500 personnes et qu'un économe a en charge sa gestion sous le contrôle de l'administrateur comptable de son établissement. Il indique que l'économe actuel de la cité baptisée Familistère n'est pas à la hauteur de sa tâche : « il ne suffit pas en effet de savoir intervenir utilement dans les approvisionnements des caves, du magasin d'épicerie, du magasin d'étoffes, des combustibles, des comestibles, il faut encore maintenir ou mettre en bonne voie les services de ces magasins, d'un restaurant pour plus de cent personnes, d'un estaminet, d'un casino ou cercle des employés de l'usine, les services de propreté générale de toutes ces choses d'un usage commun, des chambres garnies et des dortoirs à l'usage des ouvriers, ce qui comporte encore la lingerie et la buanderie. Enfin avec des notions générales sur toutes choses, il faut une nature sympathique et dévouée, incapable de se rebuter devant l'ignorance et la méchanceté même des hommes. » Godin demande à Vannaisse s'il se juge capable de remplir ces fonctions. Dans le post-scriptum, Godin précise que sa lettre est confidentielle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Mercier, 2 octobre 1861
Godin informe A. Mercier que l'emploi bientôt vacant dans la direction du travail des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, aux appointements de 200 F, comprend la direction de la fusion et du mélange des fontes et le soin de la bonne exécution de toutes les pièces, ainsi que la distribution du travail pour mettre en rapport la fabrication avec le mouvement de la vente selon les indications des bureaux et du magasin, et enfin la direction du personnel de la fonderie. Il précise que la fonction requiert une présence à l'atelier en même temps que les ouvriers et les contremaîtres. Godin demande à Mercier ses références.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur E. G Gavet, 28 mai 1861
Godin annonce à Gavet qu'il accepte sans discuter les prétentions de ce dernier à 2 400 F d'émoluments pour entrer dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, et qu'il attend son arrivée. Godin lui propose de venir passer quelques jours à Guise avant son installation avec sa famille pour confirmer leur entente. Il demande à Gavet s'il y a en Champagne des ouvriers mouleurs qui seraient prêts à venir à Guise ; il lui indique qu'il a besoin de 100 nouveaux mouleurs dans ses ateliers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au procureur impérial près du tribunal de Vervins, 11 janvier 1861
Sur la mort d'un ouvrier. Godin écrit au procureur après que le commissaire de police de Guise lui a donné communication d'une lettre qu'il lui a écrite, relative à des révélations de délits qu'il commettrait. Godin proteste que son passé témoigne de son attachement au respect des lois. Il explique que son établissement emploie actuellement 600 ouvriers et qu'aucune mort accidentelle n'a été à déplorer depuis 20 ans. De même, poursuit-il, il a employé plus de 500 ouvriers manœuvres, maçons et charpentiers à des constructions importantes sans que personne ne soit sérieusement blessé. « Cela n'établit-il pas d'une manière évidente les soins qui sont pris chez moi dans l'intérêt de la conservation des personnes ? ». Godin relate qu'un maçon était en train de construire un fourneau en briques dans une cuisine quand deux manœuvres le virent s'effondrer et constatèrent qu'il était mort, et qu'un médecin conclua à une mort par attaque d'apoplexie foudroyante ; comme ni lui-même ni le médecin ni les personnes présentes pensèrent à une mort accidentelle, le corps fut remis à la famille du défunt sans intervention de la police. Godin admet avoir ignoré devoir faire une déclaration immédiate des faits, mais il affirme ne pas avoir eu l'intention de soustraire à la loi. Selon Godin la révélation faite au procureur a pour origine un sentiment de mesquine rivalité.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 15 septembre 1863
Informations diverses relatives à l'usine de Laeken : erreur de facturation ; recommande d'acheter un pèse-lettre pour éviter les défauts d'affranchissement récurrents ; envoi de lithographies ; demande l'envoi d'un livret des chemins de fer belges avec l'indication des distances entre Bruxelles et les différentes localités ; sur la technique de bronzage des objets et son coût ; préparation d'un envoi pour exposer à Laeken tous les modèles marbrés ; recommande de ne pas augmenter les heures de travail des ouvriers pour éviter d'éclairer les ateliers, et d'attendre octobre pour envisager de le faire.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 11 août 1863
Godin presse l'usine de Laeken de lui adresser les documents et deux petits albums utiles au voyageur de commerce qui s'apprête à partir pour Laeken. Godin précise que le voyageur ne montrera que les dessins des produits fabriqués par les ouvriers de Laeken pour leur venir en aide.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 9 juin 1863
Godin crédite le compte de l'usine de Laeken de la somme de 212,40 F à verser aux femmes de maçons belges [travaillant à Guise] : Marie-Françoise Moulard-Bodainghem à Céroux-Mousty et Marie-Thérèse Frappez-Lechien à Gosselies. Le post-scriptum porte sur des déclarations en douane.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 11 septembre 1861
Godin demande à Alexandre Brullé de verser 100 F à la famille du maçon Jean-Baptiste Strens, à Céroux-Mousty.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 13 août 1861
Godin demande à Alexandre Brullé de verser 50 F à la femme du maçon Jean-Baptiste Strens, à Céroux-Mousty.

Auteur : Blanchard, O.
Monsieur O. Blanchard à Alexandre Brullé, 7 juillet 1861
O. Blanchard demande à Alexandre Brullé de verser 100 F à la famille du maçon Jean-Baptiste Strens, à Céroux-Mousty.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 26 juin 1861
Godin demande à Alexandre Brullé de verser 100 F à Marie-Françoise Moulard-Bodainghem, épouse du maçon Moulard, à Céroux-Mousty.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 6 mai 1861
Godin demande à Alexandre Brullé de verser 100 F à Marie-Françoise Moulard-Bodainghem, épouse du maçon Moulard, à Céroux-Mousty.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 4 juin 1860
Godin répond à une lettre de Brullé du 31 mai 1860. Il lui indique qu'il a reçu 20 F de Vanhaesendonck et en crédite l'usine de Belgique pour verser la somme à ses ayants droit. Il lui annonce qu'il va lui envoyer différents modèles : cheminée n° 20, cuisinière n° 42 (réduction du n° 38), grils à côtelettes, pelle. Godin reproche à Brullé de ne pas l'avoir averti plus tôt de son besoin en fonte : il l'incite à aller chez Duloi à Charleroi, qui possédait un important stock de fonte, mais, se rendant compte qu'il reste encore 15 000 kg de fonte à Laeken, lui indique qu'il s'y rendra lui-même en allant à Laeken. Godin juge que la fonte de de Dordolot frères n'est pas de bonne qualité. Il demande à Brullé de veiller à faire des économies sur les frais généraux de l'usine.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 4 mai 1860
Dolot communique à Godin une lettre de Trystram et Crujeot qui fait une offre de vente de fonte. Dolot signale à Godin que Bolkow et Vaughan de Middlesbrough ont fait une offre de 535 shillings la tonne de fonte Cleveland n° 1. Il avertit Godin que l'usine de Guise manquera de produits cette année si les commandes continuent à affluer et si le nombre d'ouvriers n'augmente pas. Il indique enfin qu'il n'a pas de nouvelles des lithographies.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 30 avril 1860
Dolot annonce à Godin qu'il a crédité de 322,60 F le compte de l'usine de Belgique, somme à verser aux ayants droit des ouvriers belges Jean-Joseph Moulard (à sa femme à Céroux), Jean-Joseph Villain (à sa femme, rue Vigneron à Ransart), Édouard Frapez (à remettre à Louis Piette).

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 1er avril 1860
Godin avertit Brullé qu'il crédite le compte de l'usine de Belgique de 105,80 F, somme à verser aux ayants droit de l'ouvrier Vanhaesendonck et à la femme de l'ouvrier Moulard. Le post-scriptum est relatif à l'expédition de meules de 2 mètres de diamètre à l'usine de Laeken.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 20 février 1860
Sur les comptes de l'usine de Laeken. Dolot informe Godin que monsieur Poirier partira de Paris le lendemain et que ce dernier envoie une commission pour 134 cuisinières placées auprès de monsieur Séguin. Dolot donne copie des renseignements communiqués par Poirier sur un monsieur Jacob, homme d'affaires, résidant au 47, rue de Paris à Belleville, dont la réputation semble bonne.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à Laeken, vers le 17 mars 1860
Note intitulée « Quinzaine du 17 mars 1860 », indiquant que la somme de 50,50 F est à payer sur le compte de Moulard et Strens à madame Moulard par un mandat postal.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 22 janvier 1860
Dolot demande à Godin de bien vouloir faire passer 60 F par bon postal à la femme de l'ouvrier maçon belge Moulard, madame Marie-Françoise Bodainghem épouse Moulard à Céroux.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 21 janvier 1860
Dolot communique à Godin une note sur les retenues des quinzaines de Moerenhout et Vanhaesendonck, d'un montant total de 15 F, à payer à Laeken à leurs ayants droit. À propos des voyageurs Telliez et Poirier : Dolot ne veut pas les laisser partir sans les « dessins » des appareils ; les dessins des cuisinières sont prêts à imprimer ; Dolot demande à Godin ses intentions pour l'impression du tarif et s'il ne souhaite pas cette année l'imprimer au dos de lithographies.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 11 février 1860
Note d'un paiement à effectuer par l'usine de Belgique aux ayants droit de l'ouvrier Vanhaesendonck, retenue sur sa quinzaine du 4 février 1860.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 14 décembre 1859
Dolot informe Godin que l'ouvrier Pierre Renard a laissé en compte 10,11 F, à payer à Laeken à ses ayants droit. Il lui annonce qu'il est en train d'établir le compte de monsieur Georges.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 30 novembre 1859
Dolot informe Godin qu'il a oublié de signalé dans sa lettre du 27 novembre 1859 que des retenues d'un montant total de 28 F sur la quinzaine des ouvriers belges Pierre Renard et Vanhaesendonck sont à payer à leurs ayants droit à Laeken.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 14 octobre 1859
Godin avertit Brullé qu'une somme de 20 F n'a pas été réclamée à Laeken au nom de Debroux-Lambert ; il lui demande de joindre cette somme aux 55 F qu'il va recevoir et envoyer le tout par un mandat sur la poste à madame Moulard à Céroux, où habite également madame Debroux. Il lui demande également de payer 12 F au nom de Jean-Baptiste Machiels ; il crédite de 67 F l'usine de Laeken.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 30 septembre 1859
Godin transmet à Brullé un tableau présentant des coûts de revient de fabrication. Il lui communique le détail des sommes à payer à Laeken pour le compte des ouvriers belges employés aux constructions à Guise, d'un montant total de 146 F dont l'usine de Laeken est créditée : Moulard, Debroux-Lambert, Moerenhout. Godin précise qu'il faut envoyer un bon sur la poste pour envoyer les 120 F de Moulard à Marie-Françoise Bodainghem épouse Moulard, ménagère à Céroux.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 27 septembre 1859
Godin transmet à Brullé le compte de l'ouvrier Van den Eyde qui n'avait pas averti Midaets [Medaets] de sa volonté de se faire payer en Belgique la somme de 12 F.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 27 septembre 1859
Godin adresse à Brullé une note sur l'argent de la quinzaine des ouvriers belges dont Verbeken, Vancauwembergen et Vanderveld, d'un montant total de 109,70 F à payer par l'usine de Laeken.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 7 septembre 1859
Godin accuse réception des albums et des renseignements envoyés par Brullé, qu'il confiera à Telliez dès son arrivée à Guise pour qu'il entreprenne son voyage. Godin indique à Brullé que monsieur Georges ne se trouve pas encore à Valenciennes et qu'ainsi il pourra recevoir les instructions de Brullé pour son voyage en Belgique. Il adresse à Brullé une note sur l'argent de la quinzaine des ouvriers Appelmans et Vanhaesendonck, d'un montant total de 32,35 F qu'ils pourront percevoir à Laeken. Godin rassure Brullé sur l'état de santé de Marie Moret.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 2 septembre 1859
Godin communique à Brullé la liste des ouvriers belges désirant faire remettre de l'argent de leur quinzaine à leur famille, pour un montant total de 52 F, dont il crédite l'usine de Laeken : Pierre Renard, Vanmalderen, Moerenhout, Vanmalder. Il indique à Brullé qu'il a demandé à monsieur Georges d'interrompre à Valenciennes sa tournée et de se diriger vers Bruxelles.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 19 août 1859
Godin communique à Brullé la liste des ouvriers belges désirant faire remettre de l'argent de leur quinzaine à leur famille, pour un montant total de 75 F, dont il crédite l'usine de Laeken : Vanmalderen, Carcan, Hawelaerts, Pierre Renard.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 6 août 1859
Godin communique à Alexandre Brullé la liste des retenues sur la quinzaine des ouvriers belges « de mes constructions », d'un montant total de 86 F, à payer par l'usine de Laeken : Pierre Renard, Joseph Hawelaerts, Jean-Baptiste Vanmalderen, Pierre Dewes et Jean-Baptiste Dewes.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Alexandre Brullé, 22 juillet 1859
Dolot communique à Brullé une note indiquant les retenues sur la quinzaine de plusieurs ouvriers de l'usine de Laeken à la date du 23 juillet 1859, d'un montant total de 84 F à payer par l'usine de Laeken à leurs ayants droit : Demesmaeker, Pierre Renard, Pierre Dewes, Vanmalderen et Moerenhout

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 14 juillet 1859
Sur la rémunération de l'ouvrier Hennequin. Godin informe Brullé que Hennequin était payé 35 centimes l'heure à Guise mais qu'il mérite d'être payé 37 centimes l'heure. Il ajoute que 35 F ont été avancés à Hennequin, qui lui seront retenus sur sa paye, mais que le coût de son voyage jusque Bruxelles en voiture et en chemin de fer et de deux journées de travail pour l'aller et le retour lui est dû. Godin demande à Brullé si l'épidémie prend un caractère inquiétant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 2 juillet 1859
Godin informe Brullé qu'il a substitué le bois d'orme au bois de chêne pour la confection des châssis de moulage de l'usine de Guise, car il est plus économique et fait un meilleur usage. Il demande à Brullé de se renseigner si on abat des ormes dans la région de Bruxelles pour réaliser les châssis de l'usine de Laeken. Il demande à Brullé de remettre 60 F au père de Medaets à la demande du fils de ce dernier. Dans le post-scriptum, Godin avertit Brullé qu'Hennequin a accepté d'aller à Laeken pour mouler les modèles.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 27 mai 1858
Godin remet à Brullé une note présentant les sommes à payer aux femmes des ouvriers qui y sont mentionnés, d'un montant total de 89 F. Il informe Brullé que son fils Émile est en bonne santé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 12 mars 1859
Godin répond à Brullé qui lui demande si, Gordien étant revenu à Guise, il peut lui envoyer un autre ouvrier pour le remplacer. Godin propose à Brullé de détacher à l'usine de Laeken un des deux surveillants de la fonderie de Guise, nommé Blondel.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 11 mars 1859
Godin annonce à Brullé qu'il compte utiliser les services de François Georges pour une tournée dans le Nord. Il prie Brullé de demander à Georges de venir à Guise dans la huitaine, pour qu'il lui donne les instructions nécessaires et son itinéraire. Godin signale à Brullé que Gordien est arrivé à Guise et qu'il travaille à l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 6 mai 1857
Godin précise à Brullé que Lefèvre lui a demandé comme une faveur d'aller à Forest, qu'en conséquence il n'a pas à tenir compte de ce qu'il gagnait à Guise (49 centimes de l'heure), et qu'il travaillera aux conditions faites aux autres ouvriers. Godin ne veut pas que les ouvriers français jouissent sans nécessité de privilèges qui les feraient jalouser par les ouvriers belges. Godin souhaite disposer d'un tableau des prix payés aux ouvriers de Forest. Sur la fondation d'un nouvel établissement à Bruxelles : Godin juge que le terrain d'Allard est le plus intéressant et il voudrait s'assurer la possibilité de l'acquérir ; il demande à Brullé de lui dire ce qu'il espère du prince Latour et Taxis ; il explique à Brullé qu'il faut renoncer aux terrains de monsieur Bourguignon et des Anglais, et que les recherches de terrain faites par Cantagrel au cadastre donneront peut-être des résultats. Godin confirme à Brullé que Bocquet est parti en voyage, qu'il rentrera dans 8 jours et ne pourra être à Bruxelles que dans 15 jours. Sur l'utilité des voyages en Belgique au printemps : Tellier l'assure que davantage d'affaires seraient faites à l'occasion d'un voyage plus tardif. Il lui annonce qu'il lui envoie une cuisinière n° 20. Dans le post-scriptum, il signale à Brullé que Leborne de Charleroi a accusé réception de sa cuisinière et demande qu'on y change un robinet, et il lui conseille de profiter du beau temps pour faire sécher le sable de fonderie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 5 mars 1856
Godin envoie à Alexandre Brullé des dessins [lithographies] de cheminées et promet de lui expédier prochainement les modèles de fonderie correspondants. Godin explique à Brullé qu'il est toujours souffrant et demande à Brullé de renvoyer à Guise les ouvriers Margry et de Gordien, dont il a besoin pour fabriquer les 12 000 appareils qu'il faut faire avant l'hiver prochain. Il souhaite que Brullé organise la production à Forest pour faire les plus fortes fusions possible avec le personnel qu'il lui reste, par souci d'économie. Il lui demande enfin d'établir l'inventaire de l'usine de Forest au cours du mois de mars.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 6 septembre 1855
Godin annonce que Gordien, mouleur à l'usine de Guise, partira le dimanche suivant pour Forest. Il lui demande de lui confier la réalisation l'un des deux modèles [de calorifères] et les châssis d'une cheminée. Il précise que Gordien sera payé au prix de Guise et qu'il voyage à ses frais. Il prévient que si même Margry ne réussit pas parfaitement le moulage, il faudra confier les deux modèles à Gordien. Godin prévoit d'envoyer d'autres mouleurs pour mouler tous les jours pour doubler la production. Il remet à Brullé les extraits de lettres évoquées dans un mémoire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 4 septembre 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin communique à Brullé un modèle d'écritures comptables. Il lui annonce qu'il a réussi à persuader des ouvriers de ses ateliers Guise à aller travailler à Forest en voyageant à leurs frais, ce que l'arrivée du chemin de fer à Guise facilitera, en espérant qu'ainsi Brullé devra engager moins d'apprentis de Bruxelles à des conditions onéreuses. Sur les intérêts dus par Cador pour une somme de 4 000 F qu'il a empruntée. Godin signale à Brullé qu'il quitte Guise pendant quelques jours, transmet ses civilités à madame Brullé et demande l'état des cuisinières et cheminées qui se trouvent en magasin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le préfet de l'Aisne, 22 août 1846
Sur l'alignement des constructions de la nouvelle fonderie Godin-Lemaire édifiée à Guise : Godin explique qu'il a présenté un état de concession des terrains à acquérir pour alignement à l'ingénieur de Saint-Quentin qu'il a vu à plusieurs reprises, que celui-ci promettait à la fin de juillet que l'arrêté d'autorisation n'en tarderait pas et qu'il s'étonne des difficultés que lui a causé monsieur Lecerf conducteur des ponts et chaussées ; il demande au préfet les motifs qui retardent l'autorisation et empêchent la reprise des constructions ; il explique qu'il a été menacé d'un procès s'il faisait construire à moins de deux mètres de la route , qu'il a en conséquence suspendu les travaux, mais que le préjudice qu'il subit est considérable ; il signale que 40 ouvriers devaient être employés aux constructions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Briard, 2 août 1846
À propos de poutres employées dans une construction : Godin demande une réduction du prix de certaines poutres qui sont différentes de celles qu'il pensait employer. Godin ajoute qu'il a envoyé par mégarde un ouvrier auprès de Briard et lui demande de le renvoyer s'il n'a pas de travail pour lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur l'ingénieur des ponts et chaussées, 2 août [1846]
Sur l'alignement des constructions de la nouvelle fonderie de Guise sur la route royale de Landrecies à Guise : Godin informe l'ingénieur des ponts et chaussée qu'il a remis à monsieur Lecerf les états de la concession qui lui est faite pour réaliser l'alignement des constructions ; Godin exprime sa satisfaction de constater qu'il n'aura pas à mettre à nouveau au chômage les ouvriers employés aux constructions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 2 juin [1846]
Rappelle la demande d'autorisation d'installation d'une fonderie à Guise (Aisne) en date du 16 mai 1846 et sollicite que soit défini l'alignement des nouvelles constructions à édifier le long de la route du faubourg de Landrecies. Godin souligne l'urgence de sa demande pour éviter de mettre des ouvriers au chômage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 21 [février 1846]
Godin confie à Lhermitte, qui se rend à Paris, sa lettre et ses notes sur les conditions d'existence des ouvriers de la région, comme demandé dans la « Petite correspondance » de La Démocratie pacifique. Il envoie 33 F pour le renouvellement de son abonnement à La Démocratie pacifique et de La Phalange.
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