FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Émile Raspail, 20 octobre 1886
Demande le prix de bougies camphrées anti-hémorroïdales.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Vial, 6 octobre 1886
Marie Moret envoie le règlement pour une commande de sirop de Raiford iodé.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Grimault et Cie, 4 octobre 1886
Marie Moret demande le coût de l'envoi de bouteilles de sirop de Raiford iodé.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Émile Raspail, 26 août 1886
Envoie le règlement du solde de sa facture et demande le catalogue et les prix des marchandises vendues par Raspail.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Émile Raspail, 21 août 1886
Commande de divers produits et d'un Manuel annuaire de la santé pour un montant de 53,80 F.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adèle Brullé, 24 mai 1886
Marie Moret partage les inquiétudes de son amie sur la santé de M. Brullé et recommande à Mme Brullé de s'appuyer sur sa sœur, veuve, et son neveu ; demande de ses nouvelles.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 26 avril 1880
Marie Moret le remercie pour les vues de Nîmes. Pascaly lui adresse l'encrier demandé. Elle donne des nouvelles de sa nièce malade.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 14 mai 1864
Jean-Baptiste André Godin retourne à Cantagrel un acte sous-seing privé et annonce qu'il ne viendra à Paris que mercredi car il est un peu souffrant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 8 mai 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. À l'approche de l'audience du procès, Godin explique à Favre avoir reconstitué des faits supposés de violence de sa part envers sa femme grâce à la mémoire de son fils et celle de Marie Moret. Il commence par protester qu'il n'a jamais été brutal envers quiconque, que ce soit dans sa vie d'ouvrier ou dans celle de chef d'industrie depuis l'âge de 22 ans dans ses relations avec plus de 3 000 ouvriers. Le fait de décembre 1860 : Esther Lemaire aurait subi des violences après s'être introduite par le niveau supérieur dans l'appartement du Familistère dont elle avait la clé, où Godin passait la nuit de temps en temps, mais pourquoi à la suite de cela, se demande Godin, elle y aurait passé la nuit. La scène d'avril 1861, à l'occasion d'une visite de Marie Moret à Émile Godin, alitée depuis 8 jours : Esther Lemaire, en froid avec la famille Moret, apostropha Marie Moret en la traitant de grande aventurière et de coureuse d'aventures ; Godin dut s'interposer entre sa femme et Marie Moret. La scène de la lampe de juillet 1863, à l'occasion d'une visite de madame Telliez et de madame Lemaire, belle-sœur d'Esther : Émile empêche Esther Lemaire d'emporter une lampe hors de la salle à manger où il soupe et Godin prête main-forte à son fils ; Esther Lemaire se précipite sur Godin et crie en présence de madame Telliez et de sa belle-sœur. La scène du portrait d'août 1863, que Godin a déjà racontée : Esther Lemaire crie jusqu'à ce que Godin ouvre une porte pour que les domestiques l'entendent. Godin considère que dans ces occasions, c'est lui qui a été victime de violences de la part de sa femme. Godin communique à Favre le plan de l'appartement du Familistère dont il a depuis loué tout l'étage supérieur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bertrand, 23 avril 1864
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Jean-Baptiste André Godin adresse à Bertrand des brevets ainsi que deux certificats d'addition. Il évoque la santé de Dureteste, qui s'est améliorée. Godin explique à Bertrand que c'est parce que Corneau frères copiaient certains de ses modèles récents qu'il leur a demandé pourquoi ils se disaient brevetés pour les calorifères à foyer en forme de seau mobile. Il fait un historique détaillé de ses recherches sur le brevet de Corneau frères pour établir que les dispositions dont ils se prétendent les inventeurs ont été mises en œuvre depuis longtemps dans le Nord et en Belgique, et il analyse les brevets de Corneau frères au regard des lois sur les brevets.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 9 avril 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin propose à Favre de venir à l'audience du 15 avril 1864 du tribunal de Vervins en partant le 13 avril de Paris en soirée et en passant par Guise comme l'a suggéré Versigny, ou bien le 14 avril au matin. Il lui rappelle qu'Oudin-Leclère l'a invité à descendre chez lui. Il explique à Favre qu'il a cherché depuis sa dernière lettre des explications aux questions posées à Laeken aux anciens domestiques de la maison et qu'il a pensé qu'elles avaient pour objet de leur faire déclarer que Marie Moret avait été enceinte et avait avorté. Godin précise qu'Esther Lemaire était parfaitement au courant de la maladie contractée par Marie Moret à Laeken puisque Godin lui donnait des nouvelles de sa santé et que c'est elle qui tenait informée la famille Moret. Godin ajoute qu'il ne savait pas que le bruit courait à Guise que Marie Moret était enceinte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Bertrand, 5 avril 1864
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Godin communique à Bertrand des pièces relatives au procès. Sur la demande en nullité du brevet de Corneau frères. Godin indique à Bertrand qu'il ne peut se rendre à Charleville le 14 avril 1864. Sur la défense de Corneau frères et les brevets de Haunet, œuvre d'un charlatan.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 31 mars 1864
Godin met Favre au courant de la visite à Laeken d'un individu enquêtant sur ses relations avec Marie Moret au temps où elle s'y trouvait et interrogeant les personnes autrefois attachées à la maison Godin-Lemaire de Laeken ; l'individu viendrait de Guise et serait envoyé par Esther Lemaire. Il lui remet le rapport que lui a fait Vigerie sur cet individu. Godin commente quelques points du rapport. L'individu serait Joseph Godin, son cousin germain, un triste niais ; l'individu s'est intéressé à la fièvre typhoïde contractée par Marie Moret et aux soins que Godin lui a prodigués pendant 8 jours.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 10 mars 1864
Sur le tarif de la manufacture. Il est question de l'identification de l'individu suspect venu à Bruxelles enquêter sur la relation entre Marie Moret et Godin : Godin ne croit pas que la personne désignée à Vigerie soit la bonne personne. Godin a appris de Marie Moret que madame Vigerie s'ennuyait beaucoup de l'absence de son mari. Dans le post-scriptum, Godin donne un remède que monsieur André doit appliquer pour soulager ses yeux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bertrand, 9 mars 1864
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Godin informe Bertrand que Dureteste se fait remplacer pour raison de santé par Vesseron pour plaider dans le procès, même si Godin aurait préféré choisir à Sedan l'avocat Philippoteaux. Godin discute la procédure, fait valoir que le tribunal correctionnel ne peut pas décider d'une expertise du calorifère Haunet avant de se prononcer sur la nullité d'un certificat d'addition qui sert de base à l'accusation et il présente son argumentation en faveur de cette nullité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Dureteste, 8 mars 1864
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Jean-Baptiste André Godin souhaite un prompt rétablissement à Dureteste. Godin est contraint d'accepter l'offre de Dureteste de se faire remplacer dans l'affaire par Vesseron, avocat à Sedan, mais il signale qu'il aurait préféré confier l'affaire à Philippoteaux.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 25 décembre 1863
Émile Godin envoie à son père une lettre qui lui « prouvera que l'homme qui l'a écrite est un peu trop lourd ». Il lui donne des nouvelles de la santé de son grand-père.

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Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 25 décembre 1863
Émile Godin envoie à son père une lettre d'injures reçue par « son cousin Moret » et provenant de Paris. Il évoque la santé de son grand-père et transmet ses civilités au couple Cantagrel.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur de La Vigerie, 29 juillet 1862
Godin signale à de La Vigerie que sa santé ne lui a pas permis de lui écrire depuis son arrivée à Londres, et il l'informe que l'expédition d'appareils lui a été faite sans emballage spécial. Godin souhaite recevoir les dessins promis par de La Vigerie et il voudrait avoir des nouvelles de la possibilité d'obtenir un article d'un journal de Londres sur les produits de la maison Godin-Lemaire en fonte vitrifiée imitant le marbre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Besson, 25 juillet 1862
Godin informe Besson qu'il est souffrant et ne peut se rendre devant le juge de paix, formalité qu'il juge inutile car il entend verser à Besson les dommages et intérêts qui lui sont dus.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Désiré Besson, 11 juillet 1863
Godin expose au maire la situation de madame Bondeux dont le mari s'est vu refuser l'entrée à l'hospice et il lui demande d'intervenir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Véran Sabran, 3 juillet 1859
Godin a reçu à son retour de Bruxelles la lettre de Véran Sabran du 25 juin 1859, qui lui faisait part de la mort de son frère : « Mais nous pouvons croire que le défunt trouve moins que nous à s'en plaindre [de son décès] est un sentiment de consolation qui peut adoucir la tristesse de cette perte pour vous. » Godin invite Véran Sabran à Guise lorsqu'il se rendra à Origny. Il lui fait part du dérangement de sa santé. Il demande à Sabran d'informer Bourdon de porter à son compte de la rue de Beaune 50 F destinés à Julien Blanc et 25 F pour un autre ami nécessiteux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Diguit, 1er septembre 1856
Godin informe Diguit qu'à la suite de sa consultation avec madame Diguit le 16 août 1856, sa santé s'est améliorée, mais une glande est apparue sous l'aisselle gauche, douloureuse, qu'il ne parvient pas à dissiper par des cataplasmes. Il demande à Diguit si madame Diguit consentirait à correspondre avec lui en attendant la prochaine consultation à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au commandant de la Garde nationale à Guise, 10 août 1856
Godin informe le commandant de la Garde nationale de Guise qu'il s'est rendu le dimanche précédent à la première réunion de la Garde nationale malgré son mauvais état de santé pour montrer sa bonne volonté. Il demande à être dispensé du service motivé par son absence prochaine et par le mauvais état de sa santé.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Ferdinand Guillon et Allyre Bureau, 14 mai 1856
Godin renvoie à son correspondant des lettres de Victor Considerant et de Simonin des 29 et 30 mars 1856. Il donne des nouvelles de sa santé, toujours fragile.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur de Bonnard, 31 mars 1856
Godin informe Arthur de Bonnard sur l'évolution de son état de santé après avoir pris les médicaments envoyés par ce dernier : les douleurs nerveuses aux jambes et aux bras ont diminué, mais sont toujours présentes ; les hémorroïdes le font toujours souffrir ; sa poitrine est toujours irritée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 19 mars 1856
À propos d'une maison d'habitation à Guise pour Jacques-Nicolas Moret. Godin annonce à son cousin qu'il vient de visiter une maison convenable près de son établissement de Guise, dont le loyer est de 300 F, qui comprend 5 pièces habitables, un grenier, une cave, une pompe, un beau petit jardin donnant sur la rivière. Il lui demande de lui faire savoir quand sa liquidation se réalisera pour pouvoir réserver la maison si c'est encore possible. Il informe Jacques-Nicolas Moret qu'en raison de son mauvais état de santé, il n'a pas répondu à Jules et Charles qui lui demandaient un emploi, qu'il ne peut leur offrir, et il le prie de l'excuser auprès d'eux. Il ajoute qu'il est encore d'une santé fragile et attend le retour du printemps pour se rétablir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur de Bonnard, 19 mars 1856
Sur un traitement homéopathique administré à Godin par Arthur de Bonnard. Godin rend compte à Arthur Bonnard de l'évolution de son état de santé : il a ressenti des douleurs dans la poitrine qui étaient cause d'une toux ; les douleurs dans les jambes et dans la poitrine s'estompent, mais l'irritation se porte sur les bronches. Il demande à de Bonnard de le prévenir des effets des médicaments qu'il prescrit. Dans le post-scriptum, Godin confirme à de Bonnard que celui-ci lui a prescrit un régime alimentaire, mais il demande si l'homéopathie juge inutile de prendre d'autres précautions hygiéniques que celles concernant l'alimentation. Dans le texte copié sur le folio 8r, Godin explique que le travail de rédaction [du courrier] a la propriété d'exciter son affection de poitrine, mais n'en est pas la cause ; il ajoute que le brouillard semble le faire souffrir et qu'il est dans un état de plénitude après ses repas.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur de Bonnard, 10 mars 1856
Sur un traitement homéopathique administré à Godin par Arthur de Bonnard. Godin répond à Arthur de Bonnard, qui lui a adressé le 9 mars un nouveau médicament en remplacement du précédent, qu'il y a méprise, car il a déjà pris les 8 doses du premier médicament. Godin explique à de Bonnard qu'il souffre moins depuis le jour même et pense que ses douleurs proviennent d'une affection du système nerveux « qui me constitue presque tout le corps à l'état de crampe permanente ». Il demande à Bonnard de lui préciser la nature physique et chimique des remèdes homéopathiques dont les faibles doses ont produit de si grands effets ; et de lui faire part des effets qu'il attend du nouveau médicament. Godin ajoute que la santé de sa femme est bonne et demande enfin s'il n'y a pas d'inconvénient à suivre le traitement par correspondance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Arthur de Bonnard, 6 mars 1856
Sur un traitement homéopathique administré à Godin par Arthur de Bonnard. Godin décrit à Arthur de Bonnard les effets du médicament que celui-ci lui a envoyé et qu'il a ingéré le samedi 1er mars 1856 : depuis le 2 mars, Godin ressent de fortes douleurs dans les jambes puis à la tête, ainsi qu'au dos et aux reins. Il précise que dans la nuit du 4 mars, il n'a trouvé le sommeil que grâce au magnétisme exercé par sa femme sur lui.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 1er mai 1895
Informe Flore Moret qu'elles commenceront les préparatifs du retour à Guise après le 12 mai 1895. Sur l'état de santé d'Émilie et Jeanne Dallet et celle de Marie Moret, qui doit toujours se coucher aussitôt après le dîner et qui souffre de rhumatisme par temps humide. Sur l'article nécrologique de Pagliardini dans Le Devoir de mai. Sur la venue de Pascaly à Nîmes dimanche prochain. Amitiés à madame Roger et aux soeurs de Flore Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 2 mars 1895
Au sujet du travail de traduction que Marie Moret mène avec Auguste Fabre, les occupations de ses journées et sa crampe d'écrivain. Pense beaucoup à Juliette Cros qui habite dans un climat différent et demande des nouvelles de son mari et de leur garçon. Sur les rhumes attrapés par Auguste Fabre et madame Boudet mais qui ont été bien soignés. Fabre et la famille Ronzier-Joly partis à Uzès pour les funérailles de Marcel Boudet, parent de Juliette Cros.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 27 février 1895
Au sujet de la santé de Jules Pré et de la météorologie qui s'améliore à Nîmes. Envoie à Élise Pré un billet de 50 F et sa feuille de dépenses. Sur la lettre d'Élise reçue par Émilie Dallet, les paquets de journaux reçus de Doyen, le nouveau facteur, la disparition du thermomètre de l'appartement du Familistère à cause de la tempête et le décès de madame Poulet née Mortier, voisine de Marie Moret au rez-de-chaussée de l'aile droite du Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 26 janvier 1895
Sur l'amélioration de l'état de santé du mari d'Élise Pré dont toute la compagnie de Nîmes se réjouit. Marie Moret lui retourne plusieurs feuilles de compte et un mandat postal de 45 F pour les appointements de janvier dont elle demande un accusé de réception. Sur le mauvais temps à Guise. La remercie pour la bonne tenue de ses appartements au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 15 janvier 1895
Complimente l'écriture de Piponnier et s'excuse de la grossièreté de la sienne : « Moi j'ai tant écrit dans ma vie - surtout à la volée pour saisir les conférences - que ma main me refuse presque parfois le service. Alors je m'oblige à aller quand même et elle fait gros et heurté comme vous voyez ». Accuse réception de la lettre de Piponnier du 9 janvier 1895 et le remercie de l'envoi de son relevé de compte, des renseignements sur la marche des affaires et sur messieurs Lefèvre. Donne des informations sur la météorologie à Nîmes. Sur l'état de santé du père de Piponnier, qui rappelle à Marie Moret la perte de son frère à la même époque il y a quatre ans. Exprime l'intérêt avec lequel Émilie Dallet et elle ont lu les notes de Piponnier sur l'enseignement. Lui adresse avec cette lettre la brochure de Gide « Professions libérales et travail manuel » et indique l'avoir aussi envoyée à plusieurs personnes au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 11 janvier 1895
A pris note que Doyen a bien reçu les 11 F du réabonnement d'Albarracín au Devoir et qu'elle se trouve en possession des 13,50 F de Gaucher. Joint à sa lettre les 10 F du réabonnement de Sabaté au Devoir pour l'année 1895. Accuse réception des documents à insérer dans Le Devoir de janvier. Sur le changement d'adresse de la revue Le Spiritisme. Sur l'état de santé de Jules Pré et la prochaine lettre de Marie Moret à Élise Pré. Sur une lettre de la sœur de Doyen adressant ses vœux à la famille Moret-Dallet et ouverte par erreur à l'usine du Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 8 janvier 1895
Sur le réabonnement au journal Le Devoir de Léon Philippe pour lequel Marie Moret joint à sa lettre le mandat poste de 10 F. Rappelle à Doyen de régulariser les abonnements de Crétien, Gaucher et Albarracín. Sur l'envoi d'un projet de statuts de L'Union nationale par Vachon dont Marie Moret n'a rien à faire. Sur le froid et la neige à Nîmes mais la bonne santé de chacun.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 4 janvier 1895
Remercie Doyen pour ses vœux de bonheur pour la nouvelle année et lui souhaite la même chose. Sur le réabonnement au Devoir d'Albarracín. Sur la régularisation de l'abonnement de Gaucher. Remerciements pour tous les documents envoyés. Demande des nouvelles de l'état de santé du mari d'Élise Pré.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 26 décembre 1894
Sur les problèmes psychologiques et les méchancetés de Laporte qui lui apporteront du trouble une fois qu'il sera « dans le monde des esprits ». Sur l'aggravation de l'état de santé du mari d'Élise Pré, sa mise à la retraite et son incapacité à travailler selon le docteur Devillers. Émilie et Jeanne Dallet heureuses que Flore Moret ait apprécié leur envoi; progrès de Jeanne en peinture. Sur les douleurs d'estomac d'Émilie et la gentillesse de Sophie Quet. Transmet les hommages de Fabre, parti à la chasse. Sur l'état de santé du garçon de Pascaly.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 25 décembre 1894
Sur le chantage exercé par Laporte et son équilibre psychologique : « Quelle folie ! ». Sur l'arrivée dans la période des encombrements postaux et de ses désagréments. Sur le mauvais temps à Guise et à Paris et la santé de Pascaly et de son garçon, malade d'influenza.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 25 décembre 1894
Souhaite un prompt rétablissement à Jules Pré, malade. Adresse ses vœux de fin d'année, et ceux de la famille et des amis de Nîmes ; transmet les affectueux sentiments de Sophie Quet ; joint à sa lettre un billet de 100 F et la feuille de dépenses d'Élise ; remercie Élise pour les cartes remises à Flore Moret et les informations sur le marronnier de Lesquielles et la fenêtre du 3ème. En post-scriptum, demande à Élise de régler Hanquet et l'informe que Doyen se charge des étrennes du facteur.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 18 décembre1894
Accuse réception des deux cartes de Laporte et remercie Flore Moret. Pense qu'il en viendra encore d'autres. Demande à Flore de remercier Élise Pré de sa part. Sur le beau temps, la bonne santé mais son sommeil toujours difficile. Sur la gentillesse de Sophie Quet. Transmet la tendresse de la famille Dallet et les hommages de Fabre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Isanie Ducruet, 10 décembre 1894
S'excuse pour son retard dans sa correspondance. Sur sa « crampe d'écrivain » à la main droite qui la peine pour écrire. Remercie Isanie Ducruet de sa lettre du 20 octobre 1894 et l'informe que la famille Moret-Dallet et Fabre se portent bien. Sur le décès de Tisserant, « grand ami de M. Godin et du Familistère » et de madame Seret au Familistère.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 15 octobre 1894
Remercie Juliette Cros pour l'envoi des deux caisses de raisins. Sur le départ de Fabre pour Nîmes et le retard du départ de la famille Moret-Dallet à cause de l'indisposition d'Émilie Dallet. N'ayant eu aucune nouvelle de Mme Boudet ni de Juliette par Fabre, Marie Moret suppose que tout le monde va bien. Sur le ravissement des réflexions des enfants de Juliette. Sur l'envoi de la lettre à Saint-Girons en attendant le potentiel changement de poste de monsieur Cros.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 12 juin 1894
Remercie Antoniadès pour sa lettre du 6 juin 1894 et l'envoi du programme de l'Institut électrotechnique de Liège. Marie Moret a transmis à Jules Sekutowicz la partie qui le concernait. Émilie Dallet envoie à Antoniadès la composition de la poudre dentifrice qu'il souhaite. À propos des appréciations d'Antoniadès sur Le Devoir : Marie Moret lui envoie deux autres brochures de Gide et des numéros du Devoir. En attente de la visite de Fabre à Guise dont la santé recommande de s'éloigner du midi. Sur le temps qu'il fait à Liège.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Isanie Ducruet, 19 mai 1894
Réponse à une lettre d'Isanie Ducruet en date du 3 mai 1894. Sur l'Almanach de la coopération apprécié par Isanie Ducruet. La famille Moret-Dallet de retour au Familistère. Le mari d'Élise Pré en séjour pour des raisons de santé chez un paysan en lisière de la forêt du Nouvion-en-Thiérache. Élise Pré a reçu une lettre d'Isanie Ducruet. Elle et son mari ne pourront aller voir les Ducruet à la Saint-Médard. Sur la famille Lavabre ; Marie Moret a donné de l'ouvrage à madame Lavabre. Compliments d'Auguste Fabre.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 23 avril 1894
Réponse à la lettre d'Élise Pré en date du 21 avril 1894. Envoie la réponse d'Émilie Dallet sur des questions domestiques. Paiement par le truchement de Doyen de 25 F environ aux dames Gauchet [pour le blanchissage des rideaux]. Santé de Jules Pré et celle d'Auguste Fabre. Entretien de l'appartement de Marie Moret par Élise Pré. Compliments de Fabre, de Sophie Quet et de la famille Moret-Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 17 avril 1894
Flore Moret a informé Marie Moret que le mari d'Élise a eu une hémorragie. Retour de la famille Moret-Dallet au Familistère dans la première quinzaine de mai, après que le numéro de mai du Devoir soit achevé. Nettoyage général de l'appartement de Marie Moret au Familistère. Nouvelles des amies de Marie-Jeanne Dallet. Décès de M. Gabry. Compliments d'Auguste Fabre et de Sophie Quet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 16 avril 1894
Alexandre Tisserant a écrit à Marie Moret pour l'informer que son opération de la cataracte s'est bien passée. Remerciements pour la nouvelle et espère qu'il va se remettre complètement de l'opération comme ce fut le cas pour Hodgson Pratt.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 10 avril 1894
Réponse à la lettre de Juliette Cros en date du 7 avril 1894. Arrivée de Jules Pascaly le 11 avril pour un bref séjour. Évocation de la rencontre à Nîmes de Juliette Cros et son mari avec la famille Moret-Dallet. Santé de l'enfant des Cros. Récit du voyage de retour de Juliette Cros. Auguste Fabre et Marie Moret ont achevé la traduction des extraits d'un ouvrage de Holyoake et vont entreprendre le même travail sur un ouvrage de Noyes.
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