Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire. Godin envoie à Furcy deux croquis au crayon d'un porte-allumettes et d'une pelle à charbon [non copiés sur la lettre] qu'il lui demande de faire graver incessamment car il doit les inclure dans une planche de l'album. Dans le post-scriptum, Godin annonce à Furcy qu'il lui envoie 300 F sur le Comptoir d'escompte.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin remercie Furcy d'avoir réalisé rapidement la gravure sur bois de la cheminée qui lui faisait défaut. Il retourne à Furcy 8 épreuves de gravures, lui signale que son imprimeur a bientôt achevé d'imprimer les gravures et le presse de lui en envoyer de nouvelles.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin envoie une vue stéréoscopique d'une cheminée qu'il a omis de transmettre et dont la gravure lui fait défaut pour la composition des planches de l'album. La vue n'étant pas nette, il lui recommande de l'observer avec un stéréoscope.

Sur la réalisation de gravures sur bois d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire exécutées d'après photographies. Godin renvoie à Furcy des épreuves de gravure sur bois de cuisinières et de cheminées à propos desquelles il fait des observations. Il presse Furcy de lui envoyer les bois gravés corrigés pour poursuivre l'impression de l'album.

Sur le tracé du chemin de fer par Guise. Godin adresse à Wallerand 4 exemplaires d'une note imprimée au cours de la nuit, et l'informe que Boitelle et tous les conseillers d'État la recevront. Il signale qu'il a fait une modification à la carte.

Sur le tracé du chemin de fer par Guise. Godin adresse à Boittelle une note imprimée au cours de la nuit, et l'informe que tous les conseillers d'État la recevront en même temps.

Sur le tracé du chemin de fer par Guise. Godin écrit à nouveau à Wallerand pour l'informer qu'il a rédigé dans la journée un mémoire résumant la situation, que l'imprimeur imprime au fur et à mesure et qu'il livrera le lendemain. Il lui explique qu'il a été encouragé à rédiger ce mémoire pour balancer celui que la ville de Guise va envoyer à Paris et qui n'est pas favorable à l'affaire.

Godin rappelle à Trouillet qu'il lui a parlé de son besoin pressant de faire imprimer des numéros sur papier d'un format différent de celui accepté par ses numéroteurs, et il lui demande s'il peut les lui fournir. Il lui demande de lui envoyer un numéroteur à 5 chiffres de la plus petite dimension avec timbre humide, d'après le modèle joint à sa lettre [copié dans la marge], de forme ovale avec le texte « Manufacture Godin-Lemaire » sur le pourtour et 5 chiffres au centre. Il lui demande enfin s'il est possible de changer de timbre.

Godin demande à Beslay et Cie s'il peut composer deux planches en cuivre comprenant le recto et le verso de 25 à 50 coupons à imprimer sur carton avec des caractères mobiles permettant de changer la somme et la date de chaque coupon. Les croquis du recto et du verso d'un coupon modèle sont dessinés dans la marge avec le texte : « bon pour 1 franc entre les mains des personnes attachées à l'usine Godin-Lemaire » au recto, et « valable pour 1 franc en marchandises au familistère 16 mars 1861 » eu verso.

Godin demande à Derriey s'il peut composer deux planches en cuivre comprenant le recto et le verso de 25 à 50 coupons à imprimer sur carton avec des caractères mobiles permettant de changer la somme et la date de chaque coupon. Les croquis du recto et du verso d'un coupon modèle sont dessinés dans la marge avec le texte : « bon pour 1 franc entre les mains des personnes attachées à l'usine Godin-Lemaire » au recto, et « valable pour 1 franc en marchandises au familistère 16 mars 1861 » eu verso.

Godin demande à Lefevre et Cie s'il peut construire une presse à composter avec laquelle il pourrait imprimer des petits cartons. La lettre présente deux croquis du recto et du verso d'un modèle du carton avec le texte à imprimer : « bon pour 1 franc entre les mains des personnes attachées à l'usine Godin-Lemaire » au recto, et « valable pour 1 franc en marchandises au familistère 2 mars 1861 » au verso.

Souhaite recevoir la double épreuve du compte-rendu de l'assemblée générale de l'Association coopérative du Familistère avant son départ à Nîmes. Accuse réception des exemplaires du Devoir d'octobre mais se plaint de la qualité du papier d'emballage jugée « inacceptable ».

Envoi d'épreuves corrigées du numéro de février 1894 du journal Le Devoir ; modifications relatives à la mise en page du numéro.

Envoi d'articles pour le numéro de février 1894 du journal Le Devoir et recommandations au compositeur des textes.

Informations diverses relatives à l'usine de Laeken : opérations comptables et fabrication de marchandises pour l'usine de Laeken ; précisions pour l'édition du tarif belge et du tarif hollandais.

Informations diverses relatives à l'usine de Laeken : comptabilité de l'usine ; demande l'envoi des dessins et tarifs réclamés le 7 août 1863 ; demande de confirmer à Coquenet et Van Heusden [qu'un voyageur de commerce va visiter la Belgique] ; transmet une lettre à remettre à Van Laer ; demande d'imprimer immédiatement une circulaire selon un modèle joint [non copié] destinée aux clients belges en tenant compte de l'itinéraire de monsieur Ville annexé à la lettre pour que l'avis de passage de celui-ci ne précède pas de plus de 8 jours sa visite ; il précise que monsieur Ville partira le 17 août ; sur l'organisation du voyage de monsieur Ville ; il confirme à André que le voyageur ne montrera les produits de Guise que lorsqu'il aura échoué à placer ceux de Laeken ; il annonce l'expédition à venir de marchandises aux Pays-Bas et à Laeken. Dans le premier post-scriptum, Godin informe André que monsieur Ville ne visitera pas Bruxelles et il lui demande d'aller voir tous ses clients dans la ville, et il l'avertit également qu'il a dû supprimer une partie de l'itinéraire en raison des difficultés de communication (Brugelette, Hannut, Nederbrakel, Salm-Château, Vielsalm). Le deuxième post-scriptum est relatif à des renseignements insuffisants fournis par Delloye, Tiberghien et Cie sur deux marchands des Pays-Bas, Van der Sande et Cie à Amsterdam et Fellows et Heigermans [Heyermans] et Cie à Rotterdam, renseignements que Coquenet pourrait fournir. La copie de la lettre est suivie de l'itinéraire en Belgique du voyageur monsieur Ville, intitulé « Août 1863. Itinéraire du voyage de M. Rémi Ville en Belgique », qui comprend 143 étapes.

Dolot communique à Godin une note sur les retenues des quinzaines de Moerenhout et Vanhaesendonck, d'un montant total de 15 F, à payer à Laeken à leurs ayants droit. À propos des voyageurs Telliez et Poirier : Dolot ne veut pas les laisser partir sans les « dessins » des appareils ; les dessins des cuisinières sont prêts à imprimer ; Dolot demande à Godin ses intentions pour l'impression du tarif et s'il ne souhaite pas cette année l'imprimer au dos de lithographies.

Sur l'impression de tarifs des produits de la manufacture Godin-Lemaire et un dessin à exécuter par monsieur Geoffroi.

Sur l'impression d'un tarif de la manufacture Godin-Lemaire : Godin n'a pas reçu de réponse à ses lettres précédentes et s'informe de l'avancement de l'impression de prospectus et du tarif des produits de la manufacture ; il indique qu'il écrit le même jour à monsieur Moureau.

Sur l'impression d'un tarif de la manufacture Godin-Lemaire : Godin souhaiterait que 300 exemplaires seulement sur 1 000 soient tirés sur papier timbré pour ne pas retarder l'impression ; il demande s'il est possible de tirer une centaine d'exemplaires au verso de la feuille présentant les dessins d'appareils. Godin ajoute qu'il a promis à monsieur Moureau de lui confier l'impression de 1 000 factures et mandats dès qu'il sera en possession de 200 à 300 prospectus.

Sur l'impression du tarif de la manufacture Godin-Lemaire : Boucher a informé Godin qu'il ne peut imprimer son tarif sur du papier mort [non timbré] ; Godin fait valoir qu'il a vu à Paris à l'occasion de l'exposition de l'Académie de l'industrie que les fabricants distribuaient par milliers de tels documents sur papier mort ; Godin juge qu'il ne prend pas beaucoup de risques et demande l'impression de 500 exemplaires du tarif sur papier mort et mille à mile cinq cent sur papier timbré.

Godin commande l'impression de 1 500 prospectus sans tarif et sur papier non timbré destinés à l'Exposition des produits de l'industrie agricole et manufacturière de 1849. Godin met une condition à sa commande : que les prospectus soient livrés en totalité le 5 août 1849.

Irrité par le nouveau retard de livraison à Guise des prospectus, Godin annule sa commande de papier à lettres à en-tête. Dans le post-scriptum, Godin menace Hourdequin de lui demander des dommages et intérêts si des prospectus n'ont pas été envoyés à Paris comme prévu.

Godin entend dire que l'Exposition des produits de l'industrie agricole et manufacturière est déserte ; il indique qu'il n'a pas encore été à Paris. Il demande à Allez s'il faut croire à une prolongation de l'exposition : un accident est survenu dans l'impression de ses prospectus et il n'en disposera qu'au début de juillet, ce qui serait inutile si l'exposition n'était pas prolongée. Dans le post-scriptum, Godin s'étonne de ne pas recevoir des indications sur les cuisinières qu'il lui reste à fournir à Allez suivant leur marché de septembre 1848.

Godin reproche à Hourdequin la lenteur d'exécution des dessins destinés aux prospectus et lui demande quand il pourra se rendre à Saint-Quentin pour les voir sur pierre. Il précise que les ouvertures du dessus de la cuisinière carrée doivent être représentées ouvertes et que les cercles et tampons doivent être dessinés au bas de la cuisinière à la place des marmites. Godin ajoute que si les prospectus n'étaient pas imprimés le 25 juin suivant, il devra reprendre ses modèles pour les faire dessiner à Paris.

Godin avertit Allez que ses prospectus ne lui parviendront qu'avec retard ; il lui adresse une notice pour qu'il la fasse imprimer. Godin juge que la marge de 20 % que prend Allez sur ses ventes est très élevée et considère qu'il ne faudrait pas alors faire figurer les prix sur la documentation ; il fait valoir qu'il fera des propositions « très larges » à Allez cette année et qu'il serait bon qu'il modère son taux de marge pour pouvoir afficher les prix de la marchandise.

Godin demande à Moureau d'imprimer une circulaire à 500 exemplaires qu'il désire recevoir dans la semaine par la petite voiture de Louis. Il lui demande s'il peut imprimer des prospectus avec dessins.

Godin demande à Moureau d'imprimer ou lithographier à 150 exemplaires une circulaire sur papier timbré.

Godin demande à Léon Magnier de faire imprimer ou lithographier 300 exemplaires de la copie retouchée d'un chant qu'il lui avait déjà adressé, et lui demande de lui faire part de ses remarques sur le chant lui-même.