FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, 15 et 17 août 1891
Diverses nouvelles. Jules Pascaly prend du repos dans le midi « avec femme et enfant ». Révision des « pages Godin » non achevée. Visiteurs au Familistère. Envoi de livres à Gellereau. Substituer du sable fin au son du berceau du Familistère : impraticable à cause du poids et dangereux dans le cas où l'enfant se saisirait de sable. Sur les idées de Gaston Piou de Saint-Gilles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Sauvestre, 14 septembre 1867
Réponse à la demande de Sauvestre du 9 septembre 1867 demandant un compte rendu de la récente fête de l'Enfance : Godin ne peut le rédiger lui-même, mais il lui communique un compte rendu rédigé par les enfants des écoles du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, entre le 22 juin et le 22 octobre 1851
Godin informe Allyre Bureau qu'il se rendra à Paris dans quelques jours et qu'il prévoit d'y mener son fils pour le laisser dans le pensionnat dont Bureau lui avait parlé. Godin s'en remet à Bureau et ne crois pas utile de voir auparavant le pensionnat.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Régnier, 22 octobre 1851
Godin accuse réception de la note de Régnier relative aux objets achetés pour son fils. Il l'informe que dans quelques jours, il se rendra à Paris pour amener des effets à son fils et pour payer Régnier de la dépense qu'il a faite. Il lui demande de ne pas annoncer sa visite à son fils.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 22 décembre 1852
Godin envoie 99 F à Allyre Bureau, montant de cotisation à la rente de l'École sociétaire. Il lui indique qu'il pensait recevoir une lettre de lui au sujet de l'affaire de Condé[sur-Vesgre] dont ils ont parlé. À propos d'Émile Godin : Godin n'a pas à se plaindre de la maison de monsieur Reynier [Régnier], mais l'enseignement qui y est dispensé ne répond pas à ses attentes ; Godin voudrait que son fils apprenne l'anglais et même l'allemand, et les sciences exactes appliquées aux arts chimiques et mécaniques ; Godin demande à Bureau s'il se trouve parmi les écoles et collèges de Paris un établissement où l'on puisse soustraire un enfant aux conditions du programme des études ; il remercie madame Bureau des soins prodigués à son fils.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henry Bellaire, 30 août 1874
Envoi d'un exemplaire de La richesse au service du peuple de Godin en indiquant des passages qui pourraient l'intéresser particulièrement. Marie Moret indique être abonnée au Journal des jeunes mères, dont Bellaire est directeur, lecture très utile à la nourricerie du Familistère.

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Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 17 décembre 1851
Godin informe Émile qu'il enverra prochainement les modèles d'écriture faits par Bouleau, qu'il transmettra ses compliments à toute la famille à Esquéhéries et ses remerciements à la grand-mère Lemaire. Il lui fait part des compliments de son oncle Lefèvre, venu à Guise en l'absence de Godin alors en déplacement à Paris, et de sa tante Pommerose. Il lui donne des nouvelles du chien et des chats de la maison, et lui exprime sa satisfaction de le voir faire des progrès.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 3 novembre 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin suppose que l'appel interjeté par sa femme du jugement du tribunal de Vervins ordonnant l'enquête, et même de l'ordonnance du président du tribunal qui défend la visite domiciliaire de l'appartement de Marie Moret permet à Esther Lemaire de prolonger le procès. Il pense qu'elle a jugé que les témoins qu'elle pourrait produire n'auraient pas le même effet que ceux de Godin. Il demande à Jules Favre ses instructions pour la suite de la procédure. Il décrit les institutions de l'enfance au Familistère, surveillées par Marie Moret : 600 personnes sont venues pendant les vacances assister à la répétition générale des méthodes d'éducation et d'enseignement du Familistère ; la crèche est organisée sur des bases nouvelles ; 30 enfants sont à la crèche, 45 à l'asile et 45 à l'école. Godin ajoute qu'il ne rentre plus dans les appartements qui ont servi de prétexte au procès, mais qu'il continue à travailler avec elle qui le seconde dans ses études de philosophie sociale qu'il publiera un jour.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Emmanuel Duvergier de Hauranne, 21 novembre 1864
Jean-Baptiste André Godin répond à Duvergier de Hauranne en répondant au questionnaire sur les habitations ouvrières qui lui avait été soumis par Calixte Souplet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delbruck, 29 décembre 1864
Godin informe Delbruck que Cantagrel lui a écrit au sujet d'un pèlerinage au Familistère de quelques amis de Paris. Delbruck voudrait recevoir une invitation de la part de Godin. Godin lui explique qu'il ne refusait pas les visites mais exigeait de ses visiteurs le silence sur ce qu'ils avaient vu, et qu'il espère d'autant plus la visite de Delbruck qu'il va rouvrir la crèche du Familistère en janvier 1865. Godin expose à Delbruck la question d'un biberon à potage qu'il cherche à mettre au point.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Savardan, 11 octobre 1865
Godin invite Savardan à venir au Familistère. Il répond aux remarques faites par Savardan sur la dénomination des classes de l'éducation au Familistère. Sur le berceau de la nourricerie du Familistère et l'usage du son pour matelas. À propos d'Alphonse Latron : Godin n'est pas favorable à sa venue.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Savardan, 17 octobre 1865
Sur le berceau de la nourricerie du Familistère et l'usage du son pour matelas. Godin décrit l'expérience du berceau du Familistère. Il revient sur la dénomination des classes de l'enfance. Sur Alphonse Latron : Godin confirme à Savardan qu'il serait spécialement engagé à l'égard de Latron, qui, pour venir au Familistère, devrait faire un voyage onéreux et ne disposerait de ressources que celles qu'il pourrait lui offrir ; le Familistère n'est pas un lieu de refuge.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Raoux, 29 décembre 1865
Godin remercie Raoux pour sa lettre du 25 décembre et pour ses deux brochures, notamment celle sur la méthode Fröbel, qu'il va mettre à profit dans l'éducation de l'enfance au Familistère. Il assure Raoux que la brochure d'Oyon est fidèle à la réalité du Familistère. Il lui raconte comment Oyon en est venu à écrire sa brochure après s'être heurté au refus des journaux de publier ses articles. Il ajoute que, depuis, le Familistère a connu de nouveaux développements. Sur l'éducation de l'enfance au Familistère. Godin précise à Raoux qu'il n'a eu recours, pour l'édification du Familistère, à aucun moyen financier en dehors des ressources venues de son industrie et du concours des travailleurs. Il lui indique que les logements du Familistère sont tous occupés, que 39 familles sont sur une liste d'attente, que la plupart des ménages adaptent leur comportement au « ton général ». Sur les avantages de la concentration des familles : « Soyez certain, Monsieur, que c'est là où se trouve la solution véritable de toutes les difficultés sociales, c'est de suite le moyen de donner à l'ouvrier un palais pour maison et de lui faire goûter les équivalents de la richesse que rien ne pourra lui assurer dans son isolement. » Il concède toutefois que les débuts seront laborieux « tant que la phase de dégrossissement social ne sera pas passée ». Godin informe Raoux que l'Angleterre a donné récemment une publicité considérable au Familistère, par le journal The Builder en particulier qui a publié un plan et une vue du Familistère le 2 décembre 1865. Il propose de lui envoyer une photographie du Familistère entre deux planches par chemin de fer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie Damas Louis Toffin, 16 janvier 1873
Godin rappelle à Troffin qu'il a porté devant le conseil général de l'Aisne la question des enfants dits lanceurs dans le tissage des châles. Il lui demande de lui indiquer le nombre d'heures de travail de ces enfants, les moyens mis en œuvre pour obtenir leur assiduité au travail et à partir de quel âge ils sont employés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au sous-préfet de Vervins, 28 septembre 1874
Godin répond à une demande de renseignements sur le travail des enfants dans les manufactures. Il explique qu'il n'y a pas de nécessité d'employer des enfants avant l'âge de 12 ans dans les fonderies et qu'il a été le premier à demander l'amendement de la loi dans ce sens. Il ajoute qu'il pense qu'aucune industrie ne devrait employer des enfants avant l'âge fixé par la loi.
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