Godin rappelle à Durenne que Poirier, son représentant à Paris, lui a demandé s'il pouvait obtenir des fontes d'ornement qu'il revêtirait d'émaux pour leur présentation à l'Exposition universelle de Londres, et qu'il avait accueilli favorablement cette demande. Sans nouvelles de Durenne, Godin exprime sa crainte de subir un nouvel échec après celui de Barbezat et Cie, mais il l'informe qu'il vient de recevoir de Poirier un avis d'expédition de rosaces. Godin informe Durenne qu'il n'a plus le temps d'émailler des grandes pièces et il lui demande de lui communiquer le poids et les dimensions des pièces d'un candélabre, de vases et de coupes qu'il souhaite lui envoyer. Il précise que les modèles seront exposés sous le nom de Durenne et qu'il aurait plaisir à entrer en relations d'affaires avec lui.