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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guérin, 10 février 1858
Sur l'achat d'une prairie à Guise. Godin rappelle à Guérin qu'un intermédiaire était entré en contact avec lui à sa demande il y a deux ans pour l'achat de la prairie, mais qu'il n'avait pas donné suite à l'offre faite, d'un prix jugé excessif ; il lui explique qu'il a depuis acquis un terrain de 5 hectares sur lesquels il a édifié des constructions industrielles, et qu'il a eu la pensée d'entrer directement en relation avec lui pour examiner à nouveau l'affaire. Il souhaite acquérir la prairie à un prix raisonnable compte tenu des travaux de remblai à y faire d'un montant de 80 à 100 00 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guérin, 6 mars 1858
Sur l'achat d'une prairie à Guise. Godin répond à une lettre de Guérin du 28 février 1858 relative au prix de vente du terrain qu'il possède à Guise près de l'usine des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin rappelle à Guérin que dans les négociations antérieures, le terrain réputé contenir 5 hectares et demi avait été proposé à 42 000 F, soit 7 600 F l'hectare, un prix excessif. La superficie réelle du terrain étant de 4 hectares 98 ares, près d'un hectare ayant déjà été vendu, Godin propose une somme de 35 000 F, soit près de 10 000 F au-dessus de sa valeur vénale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guérin, 13 mars 1858
Sur l'achat d'une prairie à Guise. Godin répond à une lettre de Guérin du 10 mars 1858 qui semble évoquer des offres financières concurrentes à la sienne d'un montant supérieur. Godin ne souhaite pas renchérir sur l'offre qu'il a faite et met un terme aux négociations avec Guérin.
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