Godin annonce à Hauet qu'il est prêt à se concerter avec lui pour adoucir la situation des époux Lefèvre.

Godin soumet à Hauet un arrangement possible de la situation financière de son beau-frère et de sa sœur.

Godin répond à la lettre de Hauet du 20 février 1885 : il ne peut accepter les conditions des créanciers de Lefèvre.

Sur l'amélioration de la voirie d'Esquéhéries et une emprise sur des terrains appartenant à Godin.

Godin demande à Hauet de lui faire connaître la situation de sa sœur et de son beau-frère à la suite de la vente des immeubles, des étoffes du magasin et du mobilier. Il lui demande d'aider Maty à obtenir une note affirmative de ses achats de mobilier à l'inventaire de son beau-frère. Il pense qu'une entente est possible avec les créanciers chirographaires de son beau-frère.

Godin informe Hauet qu'il a reçu une lettre de l'agent voyer du Nouvion-en-Thiérache du 27 février 1887, relative à la cession d'une parcelle de terrain. Godin propose à Hauet de lui vendre la parcelle à son prix d'achat, à la condition que la commune d'Esquéhéries lui cède une partie de chemin abandonnée.

Sur la cession de terrains dans la proximité de la propriété de Godin à Esquéhéries.

Godin a été averti par Matty, fermier à La Planchette, que le tracé de la parcelle que lui a cédée la commune n'est pas en ligne droite avec les haies de sa propriété. Il demande au maire d'intervenir auprès de l'agent voyer.