Godin répond à une lettre de Landré-Brissard du 10 juillet 1871 après avoir tardé à prendre des renseignements à cause du mauvais état de sa santé. Il lui explique qu'il est difficile d'intervenir en faveur des prisonniers en raison d'un défaut de juridiction. Il lui conseille toutefois de réunir les certificats et attestations concernant son parent, qu'il pourrait transmettre en qualité de député aux personnes chargées de l'instruction du jugement de ce dernier.