Sur la mutualité nationale. Lorsque Godin a vu Pierre Legrand à Saint-Quentin, il lui avait promis de lui envoyer son dernier livre. Il lui explique qu'il a tiré de ce livre une brochure, qu'il lui envoie avec le livre, qui propose une solution pour équilibrer les ressources budgétaires de l'État, plus efficace que la conversion du 5 % : « Au lieu de porter atteinte aux intérêts des vivants, elle ne demande qu'à la fortune des morts. » Il souhaite que la Chambre des députés s'intéresse à la question de l'hérédité de l'État.