FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 25 résultats dans 19393 notices du site.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au Journal de l'Aisne, 22 mars 1870
À propos de l'octroi de la ville de Guise : Godin demande au Journal de l'Aisne un droit de réponse à un article qui rend compte d'une décision de la municipalité de Guise. Godin précise que la commission municipale chargée de la question du maintien ou de la suppression de l'octroi s'est prononcée en faveur du maintien par trois voix contre deux, que la commission n'a pas intégré à son rapport les arguments des partisans de la suppression, que le conseil municipal n'a pas fait état de l'opposition aux conclusions du rapport et qu'il a reporté sa décision.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur J.-V. Fauré, 9 mars 1892
Envoi de plusieurs brochures et d'un numéro du Devoir. Regrette de ne pas pouvoir répondre à la question de M. Fauré au sujet d' « aisances de Lorraine » et de contacts dans le Pas-de-Calais. Post-scriptum au sujet d'un opuscule de Louis Varlez pouvant intéresser M. Fauré.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 6 octobre 1869
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'arrêt de la cour d'Amiens du 10 juin 1868 ordonnant que soit versée à Esther Lemaire la somme de 762 475,53 F, et sur une mise en demeure d'Esther Lemaire à son encontre. Godin demande à Larue de veiller à ce que sa correspondance avec lui ne soit pas portée à la connaissance d'Esther Lemaire par le truchement du fils Baligant qui travaille dans son étude.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Georges Coulon, 24 février 1888
Marie Moret demande à Coulon s'il lui est possible d'examiner les statuts de la Société du Familistère et le testament de Godin pour savoir si l'on peut introduire des modifications dans les statuts, devenues nécessaires. Elle lui communique l'adresse de monsieur Barberon, avoué chargé de ses intérêts dans une affaire dont il a été question entre eux. Elle le remercie pour sa lettre et lui indique qu'elle avait lu dans Le Temps comment il était intervenu à la Chambre sur la question du budget des Postes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Rémy Paradis, 21 avril 1874
Sur le tracé du chemin d'intérêt communal n° 40 par la commune de Lavaqueresse : Godin informe Paradis que le préfet veut que la commune de Lavaqueresse doit voter un crédit de 3 540 F, et que la commission des chemins vicinaux de l'Aisne a repoussé sa décision à la session du mois d'août.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Pétilleau, 28 mai 1872
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Sur les frais de procès à payer par Godin. Godin s'étonne de l'état des frais présenté par Pétilleau dans la mesure où Corneau a perdu son procès et qu'il a déjà payé en appel 2 000 F et les frais du procès. À propos de brevets d'invention. Sur le rachat des canaux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Pétilleau, 25 mai 1872
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Pétilleau de lui donner des nouvelles du travail préparatoire à l'expertise. Sur les difficultés causées par Esther Lemaire à l'expertise. Godin informe Pétilleau que Georges Coulon ne s'occupe plus de l'affaire et qu'il doit s'adresser dans les cas pressants à Cresson au 41, rue du Sentier [à Paris]. Sur les canaux. Godin veut obtenir l'état de la situation financière du canal de la Sambre à l'Oise en plus de celui de la Sambre canalisée pour connaître le montant des bénéfices réalisés par chaque compagnie au cours des sept dernières années. Sur l'énormité du montant du rachat des canaux. Godin joint à sa lettre un état des bénéfices nets des compagnies du canal de la Sambre à l'Oise et de la Sambre française canalisée de 1861 à 1871 et il estime à 64 354 000 F le montant du rachat des voies d'eau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Les chemins de fer départementaux et les grandes compagnies
« Les chemins de fer départementaux et les grandes compagnies (voir L'Opinion nationale des 17 et 21 mars) » : l'article dénonce l'opposition des grandes compagnies de chemins de fer et du gouvernement au développement des lignes de chemins de fer concédées par les conseils généraux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux conseillers généraux de l'Aisne, 8 mai 1872
Godin adresse un nouvel exemplaire du questionnaire de la commission d'enquête sur le régime des transports. Il leur rappelle qu'ils l'ont prié au cours de la dernière session de les convoquer à Paris ou à Versailles au sujet de cette enquête, mais les invite néanmoins à remplir le questionnaire et à le lui renvoyer pour servir de base à la discussion. Godin évoque les annuités à payer pour la Sambre canalisée et le canal de jonction de la Sambre à l'Oise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques Philippe Delorme, 28 janvier 1874
Godin communique à Delorme une lettre d'un ministre relative à une affaire de rigole annonçant une indemnité de 1 750 F. Il demande à Delorme de réunir le conseil municipal pour délibérer sur l'encaissement de la somme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 10 juillet 1874
Godin communique à Levasseur un article sur les institutions du Familistère rédigé par un de ses employés [Alphonse Grebel] pour combattre la calomnie à l'égard du Familistère ; il précise qu'il avait retenu la publication de l'article mais qu'il ne s'y oppose plus. Sur les écoles du Familistère : il lui transmet la note communiquée au ministre de l'Instruction publique ; l'administration avait jusqu'ici procédé par intimidation, sous le ministère Batbie, l'inspecteur général Eugène Rendu avait fait deux visites inquisitoriales concluant que le curé devait pouvoir entrer dans les écoles, ce qu'il a refusé tout en demandant aux maîtres d'enseigner davantage le catéchisme, et que les sexes devaient être séparés, ce qu'il a accepté. Godin envoie à Levasseur une correspondance relative à l'administration municipale et la gestion du bureau de bienfaisance de Guise : depuis 1870, la classe riche de Guise ne verse plus sa cotisation au bureau, d'où une réduction de 4 000 F de ses dépenses ; Godin a proposé une distribution de pain aux familles nécessiteuses mais le maire s'y est opposé avec violence ; Godin a donné ordre à ses employés d'organiser une distribution dans son établissement deux fois par semaine en plus des sommes versées au bureau de bienfaisance provenant des taxes levées sur les représentations théâtrales.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Chatelais, 4 juin 1875
Godin aimerait avoir une liste des adresses des conseillers municipaux républicains dans le département destiné à élire les sénateurs. Il désire également disposer des lois et décrets promulgués à la fin de l'Empire contre l'usurpation des titres de noblesse. Il signale que monsieur de Tailhand avait fait paraître à son arrivée au ministère de la Justice une circulaire à ce sujet qui n'a pas été appliquée. Il rappelle à Chatelais que celui-ci avait déjà établi le montant des dépenses de la guerre sous l'Empire : il voudrait connaître les dépenses de l'Empire de 1869 à 1870.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au président du bureau de bienfaisance, 14 mai 1874
Godin informe le président du bureau de bienfaisance qu'il verse à la caisse du bureau de bienfaisance une somme de 420 F pour règlement de taxes sur les recettes du Familistère et une somme de 171,54 F qui est le produit de la cavalcade organisée par les habitants le 15 mars 1873. Godin constate que le ralentissement du travail crée des difficultés dans un certain nombre de familles. Il propose de dresser une liste de familles pauvres auxquelles il serait fait chaque mercredi une distribution de pain en son nom et pour son compte pendant la durée de la crise industrielle. Il espère avoir des imitateurs pour éradiquer la misère à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 janvier 1875
Sur l'octroi : Godin estime qu'il ne devrait pas avoir à s'occuper de ces bagatelles. Sur une carte géographique. Sur un appareil à air chaud. Godin demande à son fils de communiquer à Chatelais une liste d'adresses.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Vinchon, 30 novembre 1860
Godin rappelle à Vinchon qu'ils ont adressé en mars 1860 au ministre de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics une pétition demandant que le tracé de la ligne de chemin de fer de Somain à Busigny passe par Guise et la vallée de l'Oise. Il l'informe qu'un tracé concurrent est aussi à l'étude et qu'il s'agit de faire savoir que le tracé par Guise sert mieux les intérêts du pays. Godin mentionne la meunerie parmi les industries pouvant tirer bénéfice de ce tracé. Il espère que les meuniers pourront envoyer une nouvelle pétition au ministère, et que les autres industries feront de même. Godin demande à Vinchon de venir le voir à Guise pour discuter de cette question avec Pruvost de Longchamps, Flament de Noyales, Beaufrère de Macquigny et Parant de Wiège.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Les chemins de fer départementaux et les grandes compagnies
« Les chemins de fer départementaux et les grandes compagnies » : l'article dénonce l'opposition des grandes compagnies de chemins de fer et du gouvernement au développement des lignes de chemins de fer concédées par les conseils généraux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques Philippe Delorme, 11 février 1874
Sur la révocation de Godin maire de Guise. Godin informe Delorme que le gouvernement n'a pas laissé hier la possibilité de poser à la tribune de l'Assemblée nationale la question concernant les maires dont la situation est irrégulière, et qu'il a écrit au préfet de l'Aisne que les instructions de monsieur le sous-préfet étaient contraires à la loi, et qu'il resterait maire de Guise jusqu'à ce que le gouvernement ait procédé à son remplacement. Il demande à Delorme de veiller à l'apurement des comptes de leur gestion et de mandater tout ce qu'il sera possible pour éviter aux personnes ayant travaillé pour eux des démêlés avec la nouvelle administration. Il lui demande également de prendre avec lui une copie des budgets et autres documents financiers de la ville, si besoin avec l'aide d'Alfred Denisart.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Léger Vauthier, vers le 2 septembre 1868
Godin informe Vauthier que le montant de la subvention pour la construction du chemin de fer est toujours de 50 000 F par kilomètre. Il lui explique que le conseil général de l'Aisne a donné sa préférence au tracé de Guise à Saint-Quentin par Ribemont sur le tracé de Guise à Bohain et que cela est contraire à l'intérêt public car le raccordement de Guise à la voie de la Compagnie du chemin de fer du Nord à Bohain sera de 64 km au lieu de 21 km. Il ajoute que le préfet avait envoyé le dossier de l'affaire à la Compagnie du chemin de fer du Nord et que celle-ci était favorable au tracé de Guise à Bohain.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0213.T.209r.jpg
Godin confirme à Delattre qu'il l'accueillera au Familistère dans la première quinzaine d'octobre. Il lui indique qu'il lui offrira l'hospitalité au Familistère et qu'il lui remettra de nouveaux documents sur l'hérédité de l'État et la réforme des impôts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0132.T.128r.jpg
Delorme a chargé Denisart de rappeler à Godin la question des cachets métalliques en remplacement de ceux en carton pour la distribution des secours aux femmes des militaires. Godin demande à Delorme de faire prendre à ce sujet une délibération par le conseil municipal. Sur le paiement des réquisitions faites par les Prussiens à la municipalité de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0170.T.166r.jpg
Godin répond à la lettre de Giard de la veille. Il le remercie pour sa proposition de loi sur l'hérédité de l'État qu'il a reçue alors qu'il s'était absenté 15 jours. Godin rédige un plaidoyer en faveur de l'hérédité de l'État. Il compare la loi sur l'hérédité de l'État à la loi sur le divorce que Naquet a fait triompher.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0127.T.123r.jpg
Godin explique à Denisart que le mauvais état de sa santé l'a empêché de s'occuper des bons de pain nécessaires à la ville ; il lui demande la liste des maisons de Paris ou de Bruxelles avec lesquelles ils ont été en relation lorsque fut faite la monnaie du Familistère. Il le prie de dire à Delorme que le conseil municipal devrait voter un crédit pour généraliser ce moyen dans la distribution des secours de la ville de Guise. Il le remercie pour l'envoi du Progrès du Nord.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0178.T.174r.jpg
Sur la mutualité nationale. Lorsque Godin a vu Pierre Legrand à Saint-Quentin, il lui avait promis de lui envoyer son dernier livre. Il lui explique qu'il a tiré de ce livre une brochure, qu'il lui envoie avec le livre, qui propose une solution pour équilibrer les ressources budgétaires de l'État, plus efficace que la conversion du 5 % : « Au lieu de porter atteinte aux intérêts des vivants, elle ne demande qu'à la fortune des morts. » Il souhaite que la Chambre des députés s'intéresse à la question de l'hérédité de l'État.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0158.T.154r.jpg
Sur la mutualité nationale. Godin explique au ministre que le moment est venu de saisir le gouvernement d'un projet de loi visant à garantir les classes ouvrières contre la misère sans grever le budget de l'État de charges nouvelles, ce que permettrait une réforme du droit des successions collatérales « qui consiste à ne rien demander aux vivants, mais à prélever sur les biens délaissés à la mort ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0019.T.15r.jpg
Godin remercie Destrem pour sa lettre du 10 février 1884 et lui promet de lui rendre visite à Paris. Il lui demande comment il pourrait se procurer un document sur les produits d'enregistrement de toutes les mutations de propriété à Paris et en France.

Mots-clés :

Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2