FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 12 janvier 1844
A propos de l'abonnement à La Démocratie pacifique. Sur les conditions d'existence des tisserands et des ouvriers du bois de la région du Nouvion-en-Thiérache (Aisne).

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à La Démocratie pacifique, 26 janvier 1844
À la suite de la publication dans La Démocratie pacifique du 12 janvier 1844 d'un article reprenant, mais de manière incomplète, les informations communiquées par Godin sur les conditions d'existence des ouvriers tisserands, celui-ci complète sa description pour donner la matière d'un nouvel article dans le journal et ainsi donner aux lecteurs une idée plus exacte de la réalité. Le post-scriptum de la lettre est relatif à l'adresse d'expédition de La Démocratie pacifique à Godin et au réabonnement au journal de Lhermitte à Esquéhéries.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Considerant, 16 août 1843
Sur l'abonnement à La Démocratie pacifique de monsieur Michaud de Prisches. Récit de l'abandon d'un nouveau-né à Bergues, manifestation de la misère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs les gérants de La Démocratie pacifique, [12 janvier 1844]
À propos de l'abonnement à La Démocratie pacifique de Godin et de monsieur Lhermitte. Sur les conditions d'existence des tisserands et des ouvriers du bois de la région du Nouvion-en-Thiérache (Aisne).

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Delbruck, 25 novembre 1862
Godin répond à une lettre de Delbruck du 15 novembre 1862, qui lui propose de s'associer à un projet. Godin explique qu'il n'a pas suffisamment d'éléments pour pouvoir l'apprécier et juge : « Pionniers d'une même idée, il nous appartient à tous dans notre sphère d'en attaquer les difficultés : vous les abordez par le côté de la richesse, et moi par celui de la misère et de la pauvreté ; il y a là une distance trop grande pour que nous fassions cause commune tout d'abord. » Il indique qu'il réclame le silence sur ce qu'il entreprend à Guise, aussi ne veut-il pas livrer son nom à la publicité. Il annonce qu'il prépare un livre qui fera connaître ses travaux, « mais à tort ou à raison, je désire bien vivement que jusque-là les journalistes ne s'occupent pas de moi ». Il lui indique enfin qu'il est tellement occupé qu'il ne se rend plus à Paris. Dans le post-scriptum, il ajoute qu'il aurait plaisir à le voir à Guise à la condition de respecter le silence sur ce qu'il y fait.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au président du bureau de bienfaisance, 14 mai 1874
Godin informe le président du bureau de bienfaisance qu'il verse à la caisse du bureau de bienfaisance une somme de 420 F pour règlement de taxes sur les recettes du Familistère et une somme de 171,54 F qui est le produit de la cavalcade organisée par les habitants le 15 mars 1873. Godin constate que le ralentissement du travail crée des difficultés dans un certain nombre de familles. Il propose de dresser une liste de familles pauvres auxquelles il serait fait chaque mercredi une distribution de pain en son nom et pour son compte pendant la durée de la crise industrielle. Il espère avoir des imitateurs pour éradiquer la misère à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Joseph Bigorry, 7 décembre 1874
Sur le malthusianisme. Godin se souvient d'une brochure anglaise dans laquelle l'idée de Malthus était perfectionnée par la théorie d'une éponge recommandée contre la propagation de l'espèce et comme moyen d'éteindre la misère : « Le mépris et la violation des lois qui président à la vie humaine ne pourront jamais être un moyen d'augmenter les salaires, ni de faire naître la justice dans les rapports sociaux. ». Godin ne croit pas que le remède à la misère tienne à un petit morceau d'éponge mais à une juste répartition du travail et de ses fruits. Il considère que les idées de Malthus sont une révolte contre les lois de la nature et que leur succès en Angleterre causerait la ruine de celle-ci : « Le jour où l'Angleterre se dépeuplerait, sa puissance industrielle disparaîtrait et sa richesse s'anéantirait. ». Il adresse à Bigorry un petit livre qu'il vient de publier. Il indique qu'il connaissait les appréciations de Rosebery [Archibald Primrose, comte de Rosebery] sur le Familistère, mais qu'il ignorait l'association de la Grange en Amérique, qui ne lui semble pas faite pour les prolétaires. Il lui communique son adresse à Versailles au 28, rue des Réservoirs.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 22 juillet 1875
Godin indique à son fils Émile qu'il n'y a rien à payer à la municipalité de Guise tant que Maillet sera maire ; il lui demande de rendre le reçu à Noiret en lui disant qu'il distribue lui-même ce qu'il a à donner aux pauvres. Sur un monsieur Rousselle. Il demande à Émile de remettre à André la lettre jointe.
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