FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 17 mars 1888
Au sujet de la nécessité de réunir une assemblée générale de l'Association du Famillistère afin d'inscrire au règlement des modifications déjà mises en pratique, notamment en ce qui concerne les assurances mutuelles. Marie Godin insiste sur le fait qu'il ne s'agit pas de modifications concernant le conseil de gérance. Elle soumet le projet de modification à Tisserant.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 1er décembre 1892
Au sujet d'une modification à faire dans l'état des assurances mutuelles que Le Devoir publie chaque mois, avec l'accord des messieurs de la comptabilité : changer le terme « Recettes » pour mieux « faire ressortir les deux modes de ressources qui alimentent nos assurances » en introduisant deux colonnes « Cotisations des mutualistes » et « Subventions de la société ». À titre d'exemple, envoie la page 609 du Devoir d'octobre. Lui demande de lui renvoyer la page de l'état des assurances et l'état civil pour le prochain numéro, modifée selon l'ajout discuté.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 26 novembre 1896
Marie Moret corrige des informations au sujet des comités de délégués énoncées dans sa lettre précédente, écrite le même jour [26 novembre 1896]

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 26 novembre 1896
Sur les deux articles de mauvaise qualité parus dans L'Illustration au sujet du Familistère : permet de comprendre comment la classe dirigeante, à qui le journal est adressé, est informée de la question sociale. Remercie Piponnier pour les informations au sujet des cotisations des ouvriers au fonds de secours mutuels. Sur la création de la caisse de secours en 1852, alimentée jusqu'en 1860 par les amendes et présidée par un comité de 6 délégués (nombre augmentant jusqu'à 18 en 1880). En parallèle, un comité chargé des réclamations fondu avec le comité de la caisse mutuelle de l'usine en un comité unique de 20 membres. À propos du comité des surveillants du travail et de leur élection : ont-elles toujours eu lieu ? Marie Moret en possession des résultats d'élection de 1869 mais les surveillants ont été en fonction dès 1863. Sur les charges et responsabilités matérielles des surveillants du travail qui déterminent leur élection. Élection inscrite dans le pacte statutaire par Godin, qui l'a jugée « pratique et bonne ». Marie Moret désireuse de discuter avec Aimé Quent à Guise ; si Piponnier vient à discuter avec lui, Marie Moret transmet son meilleur souvenir et ses remerciements anticipés à Aimé Quent pour son témoignage sur les surveillants du travail. Elle rédige une série de questions sur l'élection et les responsabilités des surveillants d'atelier. Au sujet de la Sainte-Catherine à Guise : espère que la fête a été belle et demande quel rôle a joué Antonia. Demande des nouvelles de la famille de Piponnier et donne des nouvelles météorologiques à Paris et à Nîmes. Sur les dissentiments municipaux qui divisent la ville et font craindre pour les élections. nouvelles du Familistère : madame Garbe qui doit « cultiver maintenant la faculté de réfléchir avant de parler » et le cas de madame Génot, moins grave que celui de madame Gardet. S'excuse pour la longueur de la lettre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 16 novembre 1896
Sur la reprise des dissensions entre la ville et le Familistère que Marie Moret déplore « le triomphe des malentendus ». Questions sur la composition de la commission et les élections. À propos de la caisse de secours mutuels au Familistère : Marie Moret tient de Godin un exemplaire du règlement de l'usine de 1857, dont la rubrique « des secours » traite des avances faites aux ouvriers nécessiteux et d'une « caisse des amendes ». Ce document ne mentionne pas les cotisations des ouvriers mises en place dès 1865 au Familistère, avant la constitution des caisses de prévoyance en 1870. Pose plusieurs questions sur les cotisations des ouvriers : leur date d'introduction dans l'usine, leur taux, leur obligation. Demande si Piponnier pourrait se procurer le vieux règlement de l'usine ou de l'ancienne caisse de secours. Sur l'article consacré au Familistère dans le journal L'Illustration. En post-scriptum, informe de la bonne réception de l'objet envoyé par Piponnier et indique que la chaufferette réparée a fait l'admiration de Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Pierre-Étienne Carret s'il peut lui envoyer des documents imprimés sur l'association mutuelle à propos de laquelle il lui a écrit.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à l'invitation de la Commission extra-parlementaire des associations ouvrières. Il envoie à Barberet ses ouvrages Mutualité sociale et Mutualité nationale. Après un préambule consacré à la nécessité de garantir les classes laborieuses contre la misère avant d'instaurer la participation des travailleurs et travailleuses aux bénéfices, Godin communique ses réponses au questionnaire joint à l'invitation de la commission relatif à la participation aux bénéfices et les assurances mutuelles.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie son livre Le gouvernement... et sa brochure Mutualité nationale à Dethou, qui a promis de les lire. Il remercie Dethou de lui avoir communiqué la liste des membres de la commission sur la réforme de l'assiette de l'impôt, dont Ballue, Boysset, Bisseuil et Bischoffsheim.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Boysset, en sa qualité de membre de la commission sur la réforme de l'assiette de l'impôt, sa brochure Mutualité nationale, qui comprend une proposition sur la suppression de l'impôt par le moyen de l'hérédité de l'État sur les successions en ligne collatérale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin observe que la proposition de Ballue sur la réforme de l'assiette de l'impôt concorde avec la proposition qu'il fait dans la section « suppression de l'impôt » de sa brochure Mutualité nationale. Il suggère à Ballue d'aborder la question de la mutualité nationale contre la misère après celle de la réforme de l'impôt.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin rappelle à son correspondant que des organes de presse ont exprimé l'opinion que les chambres des députés et des sénateurs devaient quitter la politique stérile et examiner les questions qui intéressent les classes ouvrières, et au premier chef la question de l'extinction du paupérisme. Il explique que les projets de loi alors soumis aux chambres sont insuffisants. Il faut, pense Godin, s'intéresser aux travailleurs dépourvus de moyens d'existence, et il prétend que la proposition contenue dans la brochure Mutualité nationale, inspirée par 20 ans d'expérience, peut mettre fin à la misère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin soumet au président de la Chambre la proposition de loi contenue dans la brochure Mutualité nationale qui élargit la question de l'amélioration du sort des classes laborieuses dont traitent déjà des projets de lois. Il lui explique que sa proposition vise à effacer la plaie sociale de la misère et qu'elle est le résultat de 30 années d'expérience dans l'organisation des assurances mutuelles. Il le prévient que l'application de son projet, qu'on peut juger trop absolu ou trop radical, peut se réduire aux proportions que l'on voudra.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin adresse au ministre la brochure qu'il veut soumettre à la Chambre des députés. Il explique au ministre que sa proposition a pour objet l'extinction du paupérisme en étendant la protection nationale, dont il est question dans les projets de loi dont la Chambre est saisie, à ceux qui sont privés de ressources.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin envoie à Simonin la brochure Mutualité nationale qui contient une proposition de loi pour l'amélioration du sort des classes laborieuses d'une portée plus large que les propositions de loi sur les assurances mutuelles et les caisses de retraite pour la vieillesse, et dont les principes sont mis en œuvre au Familistère. Il souhaiterait que sa brochure soit livrée à la discussion pour servir de « contrepoids aux propositions anarchiques et révolutionnaires, en démontrant aux classes ouvrières qu'on s'occupe de leurs intérêts ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin adresse à Limousin la brochure Mutualité nationale qu'il compte distribuer à la Chambre des députés pour attirer l'attention publique sur la nécessité de concevoir un projet plus large que les propositions de loi sur les caisses de secours mutuels et de retraites pour la vieillesse qui lui paraissent dérisoires. Il lui annonce l'envoi de son volume Le gouvernement... dans lequel les questions sont étudiées du point de vue plus général des droits réels de l'être humain. Godin demande à Limousin de lui donner une liste d'adresses des publicistes à qui il pourrait envoyer Mutualité nationale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin explique à Escoffier qu'il a l'intention de soumettre à la Chambre des députés une proposition de loi sur la mutualité nationale qui vise l'extinction du paupérisme, présentée dans la brochure qu'il lui adresse avec son courrier. Il soumet son projet à son examen.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention de Martin Nadaud sur une proposition de loi sur la mutualité nationale qu'il compte soumettre à la Chambre des députés. Il expose à Nadaud que les projets actuels sur les caisses de retraite et de secours mutuels « laissent de côté, au point de vue de l'intérêt social, la partie la plus intéressante de la population, celle qui manque de toute ressource et ne peut faire d'économie », il lui envoie les épreuves de la brochure Mutualité nationale et lui demande son aide pour présenter sa proposition de loi à la Chambre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Barodet pour les renseignements qu'il lui a adressés le 24 février 1883 sur les hospices de Lyon. Il lui retourne la lettre de Boussin du 22 février 1883. Il lui annonce qu'il va publier un ouvrage intitulé Le gouvernement : ce qu'il a été, ce qu'il doit être et le vrai socialisme en action qui s'occupe d'économie sociale et dont il a extrait une brochure de 100 pages sur l'organisation nationale des assurances mutuelles, qui comprend une proposition de loi qu'il veut envoyer sous forme de pétition à la Chambre des députés. Il lui demande de lui adresser la liste imprimée des adresses des députés en marquant d'un signe ceux à qui il pourrait utilement envoyer la brochure.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Envoie les chiffres demandés par madame Destriché concernant l'assurance mutuelle contre la maladie de la Société du Familistère au cours des cinq dernières années. Indique l'ouvrage de Bernardot pour y trouver des renseignements complémentaires. Le folio 230v comprend un tableau de chiffres.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret exprime à Colin le plaisir qu'elle a eu d'apprendre la venue de 35 personnes du Familistère de Laeken au Familistère de Guise. Elle lui fait part de la demande de renseignements de madame Destriché sur les chiffres de l'assurance mutuelle contre la maladie de la Société du Familistère. Marie Moret ne retrouve pas les éléments dans les comptes rendus annuels : demande que le secrétaire des assurances de la Société lui établisse le nombre de mutualistes dans la section des hommes et celui de la section des femmes d'ici son retour la semaine suivante.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Réponse à la lettre de madame Destriché du 10 mai 1898 : sur les chiffres de l'assurance mutuelle contre la maladie de la Société du Familistère paraissant chaque année dans le numéro de novembre du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet de la feuille envoyée avec la lettre : volonté de mise en place d'un système d'assurances mutuelles pour le droit de vivre de tous les citoyens. Travail sur la publication du manuscrit de son mari. En l'absence de Pascaly, Le Devoir l'occupe bien plus. Pascaly viendra peut-être dimanche. Félicite Fabre pour son ouverture. Modification des statuts qui paraîtra dans Le Devoir. Remercie pour les informations données sur l'état des esprits du peuple à Nîmes. Redoute les problèmes sociaux pour l'année 1889 et envisage de s'installer à La Rochelle. Demande son avis à ce sujet.
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