FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 16 août 1889
Réponse à la lettre de Gaston Ganault en date du 15 août 1889. Remerciements adressés à Gaston Ganault, à sa femme et à ses filles pour leur hospitalité dans leur appartement parisien. Marie Moret évoque les prochaines élections législatives.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 17 août 1889
Accuse réception de la lettre de Gaston Ganault en date du 17 août 1889 contenant le bail conclu avec M. Duvoir pour une location d'écurie (voir lettre de Marie Moret à monsieur Chaumont, 26 août 1889).

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 30 août 1889
Marie Moret rend compte à Gaston Ganault de leur installation dans son appartement, lui adresse la liste du linge de maison qui s'y trouve (liste jointe à la lettre). Elle évoque les prochaines élections législatives dans l'Aisne.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 23 septembre 1889
Sur le résultat des élections législatives dans l'Aisne, défavorables à Gaston Ganault, et sur le départ de la famille Moret-Dallet de l'appartement de Ganault.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 25 septembre 1889
Marie retourne à Ganault la clef de son appartement parisien.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au Grand Hôtel à Bruxelles, 1er mai 1892
Accuse réception de la lettre du Grand Hôtel de Bruxelles et informe qu'elle se rendra à l'hôtel avec quatre personnes dans 3 ou 4 jours, aux dates qu'elle communiquera par télégramme. Précise vouloir séjourner dans les chambres donnant sur la rue Grétry, plus tranquilles, et fait part de ses conditions. Détaille le menu qu'elle souhaite avoir en arrivant, servi en chambre.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 19 mai 1892
Informe que Paulhan n'est pas venu au Familistère de Guise. Au sujet de son voyage au Familistère de Laeken avec Pascaly et de son prochain emménagement à Lesquielles-Saint-Germain. Invite Fabre à l'y rejoindre bien que les distractions y soient peu nombreuses.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Aupin et fils, 1er novembre 1892
Lettre écrite lors du voyage de Marie Moret, Marie-Jeanne et Émilie Dallet sur la côte Atlantique, du 30 octobre au 5 novembre 1892. Sur recommandations de M. Bareau, demande deux chambres à coucher pour la nuit du lendemain, 2 novembre.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Howland, 30 janvier 1895
Répond aux cinq questions posées par la lettre de Marie Howland sur le Familistère (dont elle n'est pas la gérante), le journal Le Devoir (qui lui appartient en propre et a peu de lecteurs) et le roman La fille de son père (qui ne se vend pas). Sur la possible visite de Marie Howland au Familistère mais Marie Moret prévient que l'hospitalité n'y est plus la même depuis la visite de madame Bristol, amie d'Howland, pour des raisons matérielles : les visiteurs doivent aller à l'hôtel. Informe qu'elle prévient le bureau du Devoir au Familistère pour le changement d'adresse d'Howland.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 6 août 1887
Marie Moret accuse réception de la lettre de Neale du 4 août 1887. Elle lui explique qu'Ugo Rabbeno et de Boyve devraient visiter le Familistère au moment du congrès coopératif de Tours et qu'ils pourraient loger dans deux des trois chambres d'amis du couple Godin, que la troisième chambre lui serait réservée, mais que Holyoake et sa fille seraient alors obligés de loger dans un hôtel de Guise. Elle signale à Neale que le dimanche n'est pas un jour favorable pour la visite du Familistère et de l'usine et qu'en outre l'assemblée générale de la Société du Familistère aura lieu le 25 septembre 1887, jour de l'arrivée des Holyoake.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 19 septembre 1887
Sur la visite de Neale au Familistère. Marie Moret pense que Neale qui se trouve à Tours avec Rabbeno saura avant elle le jour de la venue de ce dernier. Elle informe Neale que de Boyve a écrit qu'il retournera auprès de sa femme malade et n'accompagnera pas Rabbeno au Familistère. Elle suppose que, le congrès de Tours s'achevant le lendemain mardi, Rabbeno viendra au Familistère avant lui et qu'ainsi les chambres d'amis seront libres pour lui et la famille Holyoake. Elle demande à Neale de s'entendre avec Rabbeno sur cette question. Elle propose à Neale, s'il arrive le samedi 24 septembre avec les Holyoake, d'assister le dimanche à l'assemblée générale des associés de l'Association du Familistère et de montrer le lundi aux Holyoake tout ce qui constitue l'Association.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Anseele, 16 février 1888
Marie Moret accuse réception de la brochure de la traduction en flamand des Pionniers de Rochdale, qui a été reçue le matin suivant la mort de Godin. Elle évoque la rencontre de Godin et d'Anseele. Sur un projet de visite du Familistère par Anseele pendant les deux jours de Pâques : à la différence du Vooruit, qu'il est préférable de visiter le dimanche et les jours fériés, il vaut mieux visiter le Familistère en pleine activité un jour de la semaine. Elle propose à Anseele de lui offrir l'hospitalité au Familistère. Elle remercie le Vooruit d'avoir inscrit le nom de Godin sur un des cartels de sa grande salle « parmi ceux des grands hommes que le peuple vénère ». Elle attire l'attention d'Anseele sur Auguste Fabre, inspirateur du mouvement coopératif de Nîmes qui a pour organe le journal L'Émancipation rédigé par de Boyve.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 6 août 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin annonce à Oudin-Leclère qu'il a appris par Borgnon qu'il ne viendrait à Guise que sur son invitation. Godin encourage Oudin-Leclère à prendre des initiatives pour défendre ses intérêts et l'invite à participer à la réunion des notaires qui aura lieu le mercredi si cela lui paraît utile. Il offre de l'héberger s'il arrive la veille.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène Blanquinque, 8 juin 1866
Sur l'affaire Jacquet. Blanquinque a réalisé des expériences sur les émaux de Godin sans pouvoir se former complètement un jugement. Godin observe qu'il ne peut satisfaire la question soulevée par le tribunal de commerce de Vervins car il ne dispose pas de gaz dans sa ville. Godin l'invite à venir examiner la question à Guise et de prendre à cette occasion le risque de s'empoisonner un peu avec de la cuisine faite au gaz en acceptant de partager sa table. Godin précise qu'il entend rémunérer les études faites par Blanquinque.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gilbert Stenger, 26 août 1866
Godin invite Gilbert Stenger, auteur d'un article sympathique au Familistère, à assister à la fête de l'Enfance du Familistère le 2 septembre suivant. Il met une chambre à sa disposition. Il précise que la fête commencera vers deux heures et finira au milieu de la nuit.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie-Louise Gagneur, 26 mai 1867
Godin répond à la demande de Marie-Louise Gagneur de visiter en famille le Familistère. Il l'informe que la première fête du Travail du Familistère aura lieu le dimanche 2 juin et que c'est une bonne occasion pour s'y rendre « et je serais pour ma part on ne peut plus heureux d'avoir au milieu de nous l'apôtre le plus dévoué à l'inauguration de la justice envers les faibles ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Potvin, 19 décembre 1872
Godin a appris par son ami Demeur que Charles Potvin désirait visiter le Familistère. Godin informe Potvin que l'Assemblée nationale entre en vacances, qu'il va se trouver à Guise pendant 10 jours et il lui propose de venir durant cette période et de séjourner au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 29 avril 1896
Accuse réception des divers documents envoyés par Buridant. Demande l'envoi de la liste détaillée des récompenses exceptionnelles distribuées à la fête du Travail et recommande à Buridant de voir le numéro de juin 1895 du Devoir pour savoir comment le journal traite habituellement l'événement. Souhaite recevoir le Mouvement des assurances et l'État civil tôt en mai, avant son retour au Familistère. Lettre d'Émilie Dallet ayant trait au cabinet de la cuisine [de son appartement]. Réparation de la sonnerie électrique [de l'appartement de Marie Moret] par monsieur Gilbert. Sur le crédit de Marie Moret aux magasins du Familistère et ses comptes avec Buridant. Sur le retour prochain de Marie Moret à Guise et la nécessité de prévenir Élise Pré pour la préparation de l'appartement. Buridant et sa femme peuvent y rester dormir jusqu'à son retour.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 8 mai 1896
Marie Moret propose de nouveau à Élise Pré de la réoccuper s'il n'y a pas de place disponible à l'usine ou dans les services du Familistère, en venant travailler chez elle à partir du 11 mai 1896 de 8 h à 19 h. Buridant et sa femme continuant de dormir chez Marie Moret dans la chambre où coucheront Émilie et Marie-Jeanne Dallet, Élise ne pourra préparer celle-ci que le matin de leur arrivée. Demande à Élise de faire le nettoyage général de ses appartements sans décrocher les tableaux. Buridant pourra aussi lire cette lettre. Fait le point sur le carnet des dépenses : la somme restante suffira jusqu'à leur retour, puis Marie Moret donnera 20 F à Élise Pré ; convient d'un salaire de 20 centimes de l'heure pour la journée de nettoyage. Dans la mesure où Élise Pré sera occupée à plein temps par Marie Moret, Émilie Dallet écrit à madame Louis pour l'entretien de son appartement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 1er juillet 1873
À l'occasion de la révision du canton de Guise, Godin invite le préfet et tous les membres du conseil de révision à dîner chez lui. Il précise qu'un appartement sera mis à sa disposition et trois chambres pour le sous-préfet de Vervins et les autres membres du conseil qu'il voudrait auprès de lui. Il ajoute qu'il serait heureux de se rendre à Guise pour l'accueillir le 11 juillet 1873, jour des opérations de révision dans le canton de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de son « cher co-religionnaire » du 1er août 1876 et d'un numéro de la revue [La Religion laïque]. Il rappelle à Fauvety qu'il avait demandé un deuxième abonnement au nom de Marie Moret au n° 27 au Familistère. Il demande à Fauvety un troisième abonnement au nom de madame Dallet au numéro 28 du Familistère. Fauvety sollicite une rencontre avec Godin au sujet du spiritisme : Godin mentionne plusieurs auteurs ou ouvrages traitant de la question et signale qu'il ne peut rien leur ajouter ; il indique que ses expériences personnelles sont proches de celles d'Allan Kardec ; il propose à Fauvety une rencontre au Familistère de Guise, dont il pourrait tirer des enseignements d'économie sociale utiles à sa revue, plutôt qu'à Paris. Godin indique à Fauvety que les températures excessives vont cesser, qu'il part quelques jours pour la session du conseil général de l'Aisne, que la fête de l'Enfance aura lieu le 3 septembre, qu'il se rendra ensuite dans la Nièvre et que la visite de Fauvety pourrait avoir lieu avant ou après ce voyage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Delpech que des chambres seront prêtes pour lui [et Goblet] à leur arrivée. Sur la répartition de la valeur des biens de la communauté entre Godin et sa femme Esther Lemaire : Godin souligne le risque d'être ruiné dans le cas d'une licitation dans les conditions de répartition proposées par les experts, et la possibilité qu'Esther Lemaire, peut-être associée à certains industriels, fasse monter le prix de vente. Godin explique que le moyen d'échapper à la ruine est de faire valoir son droit de propriété sur ce qu'il a fait depuis 1863, sauf les dépenses dans les constructions : modèles, outils, brevets, marchandises, matières premières. Il explique également qu'il n'a pas attaqué l'expertise pour ne pas ralentir le règlement de l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Leymarie de lui procurer le livre de William Crookes, Phénomènes spirites. Il informe Leymarie qu'il a reçu une lettre de Georgina Weldon, qui a exprimé le désir de visiter le Familistère avec trois personnes après une conversation avec lui : il lui a indiqué qu'elle devrait se loger dans un hôtel de la ville ; il n'a plus entendu parler d'elle. Il prie Leymarie d'indiquer aux personnes désireuses de visiter le Familistère qu'il existe des hôtels en ville car il ne peut les recevoir toutes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Levasseur qu'il doit venir à Guise pour voir s'il ne peut embaucher Migrenne. Godin pourrait l'occuper mais à 100 F par mois seulement : il demande si Levasseur peut lui offrir davantage. Il lui indique que le temps est beau, favorable pour qu'il vienne le voir, et précise qu''une chambre sera à sa disposition chez lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Pouillet que le litige avec Cresson est résolu. Godin exprime sa satisfaction que Pouillet puisse se charger de ses intérêts et le prie de donner suite au projet, arrêté avec Tisserant, de venir à Guise pour constater les procédés de fabrication soumis aux experts. Il invite Pouillet à venir chez lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur des expériences à accomplir dans l'usine du Familistère de Guise : Pouillet avait envisagé de venir la semaine précédente, mais c'était la fête du pays et il n'était pas certain que les ouvriers nécessaires étaient disponibles ; Godin propose à Pouillet de venir un jour de la semaine à venir ; il lui communique les horaires de chemins de fer et les informations pratiques de son séjour.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin exprime sa satisfaction de savoir que Vavasseur va venir au Familistère pour étudier avec lui les statuts de l'association du Familistère. Il l'informe qu'Alexandre Tisserant lui apportera la présente lettre et lui fournira des renseignements sur son itinéraire jusque Guise. Dans le post-scriptum, il l'avertit que, finalement, il lui envoie la présente lettre par la poste.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Neale de l'avant-veille. Il l'informe qu'il a répondu à Londres à sa lettre du 19 août. Il lui confirme que la fête de l'Enfance aura lieu le 7 septembre et qu'il sera heureux de sa visite et de celle de ses amis. Il lui confirme aussi qu'il y a des hôtels à Guise. Il lui indique qu'il aurait été heureux de lui offrir des chambres au Familistère mais que cela est difficile au moment des fêtes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin offre à Turquet l'hospitalité au Familistère à l'occasion de son court séjour à Guise pour recueillir auprès des maires du canton des renseignements sur une question non précisée [le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Eugène Nus qu'à l'occasion de leur entrevue récente, il lui a laissé espérer qu'il prendrait une part dans la rédaction du journal Le Devoir. Il lui fait part de la proposition de Fauvety d'attacher au journal des collaborateurs rémunérés uniquement par le partage des bénéfices éventuels, mais lui confie que ce mode d'organisation ne lui semble pas offrir toutes garanties possibles pour s'attacher des collaborateurs assidus. Il lui annonce qu'il est prêt, malgré les frais qu'il doit supporter pour la publication du journal, à lui offrir une rémunération pour ses articles. Il assure Nus qu'il n'a jamais été autant en communion d'idées avec quelqu'un. Il lui demande quand il viendra étudier le Familistère sur place et lui offre l'hospitalité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Augusta Cooper-Bristol qu'il mettra un appartement à sa disposition au Familistère et l'invitera à sa table. Il l'informe qu'il sera absent une dizaine de jours au mois d'août. Il lui envoie une lettre et une carte postale arrivées qui lui étaient adressées au Familistère, ainsi que son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Flamand du 26 septembre 1880 l'invitant à se rendre à Aisonville en sa compagnie le 29 septembre 1880. Godin lui propose l'hospitalité au Familistère la veille de ce déplacement.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Tisserant pour sa lettre du 18 février 1881 et se réjouit de l'accueillir au Familistère. Il se dit accablé par les occupations. Il lui donne des nouvelles de l'Association du Familistère : elle fonctionne mais Godin se plaint du manque d'hommes ayant les aptitudes nécessaires à son fonctionnement ; il regrette l'indifférence générale à l'égard du Familistère et de l'Association et que Tisserant n'ait pas pu devenir un collaborateur de l'Association. Il lui annonce qu'il profitera de sa visite pour parler de son testament. Il lui demande, à l'occasion de son passage à Paris, d'aller voir Moret, son avocat à la Cour de cassation dans l'affaire Boucher et Cie, au 13 rue de Tournon. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Viganò a annoncé dans sa lettre du 21 mars 1881 qu'il prévoyait de visiter le Familistère. Godin s'en réjouit et l'informe qu'il mettra un appartement à sa disposition au Familistère et qu'il lui communiquera les dates de la session d'avril du conseil général de l'Aisne, où il doit siéger, pour éviter que sa visite ait lieu en son absence. Il lui confirme que le journal Le Devoir lui sera régulièrement envoyé. Il lui indique qu'il a reçu l'invitation de Romussi au congrès de Milan.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Neale que l'hospitalité lui sera toujours offerte au Familistère. Il lui confirme que la fête du Travail du Familistère aura lieu le dimanche 1er mai et il précise qu'il sera disponible le vendredi et le samedi qui précédent, puisque les conseils et les comités de l'Association se chargent d'organiser la fête. Il lui signale que Franceso Viganò est actuellement au Familistère et qu'il repart le soir à Paris. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.
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