FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Howland, 30 janvier 1895
Répond aux cinq questions posées par la lettre de Marie Howland sur le Familistère (dont elle n'est pas la gérante), le journal Le Devoir (qui lui appartient en propre et a peu de lecteurs) et le roman La fille de son père (qui ne se vend pas). Sur la possible visite de Marie Howland au Familistère mais Marie Moret prévient que l'hospitalité n'y est plus la même depuis la visite de madame Bristol, amie d'Howland, pour des raisons matérielles : les visiteurs doivent aller à l'hôtel. Informe qu'elle prévient le bureau du Devoir au Familistère pour le changement d'adresse d'Howland.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Aupin et fils, 1er novembre 1892
Lettre écrite lors du voyage de Marie Moret, Marie-Jeanne et Émilie Dallet sur la côte Atlantique, du 30 octobre au 5 novembre 1892. Sur recommandations de M. Bareau, demande deux chambres à coucher pour la nuit du lendemain, 2 novembre.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au Grand Hôtel à Bruxelles, 1er mai 1892
Accuse réception de la lettre du Grand Hôtel de Bruxelles et informe qu'elle se rendra à l'hôtel avec quatre personnes dans 3 ou 4 jours, aux dates qu'elle communiquera par télégramme. Précise vouloir séjourner dans les chambres donnant sur la rue Grétry, plus tranquilles, et fait part de ses conditions. Détaille le menu qu'elle souhaite avoir en arrivant, servi en chambre.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 25 septembre 1889
Marie retourne à Ganault la clef de son appartement parisien.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 17 août 1889
Accuse réception de la lettre de Gaston Ganault en date du 17 août 1889 contenant le bail conclu avec M. Duvoir pour une location d'écurie (voir lettre de Marie Moret à monsieur Chaumont, 26 août 1889).

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 16 août 1889
Réponse à la lettre de Gaston Ganault en date du 15 août 1889. Remerciements adressés à Gaston Ganault, à sa femme et à ses filles pour leur hospitalité dans leur appartement parisien. Marie Moret évoque les prochaines élections législatives.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie-Louise Gagneur, 26 mai 1867
Godin répond à la demande de Marie-Louise Gagneur de visiter en famille le Familistère. Il l'informe que la première fête du Travail du Familistère aura lieu le dimanche 2 juin et que c'est une bonne occasion pour s'y rendre « et je serais pour ma part on ne peut plus heureux d'avoir au milieu de nous l'apôtre le plus dévoué à l'inauguration de la justice envers les faibles ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Potvin, 19 décembre 1872
Godin a appris par son ami Demeur que Charles Potvin désirait visiter le Familistère. Godin informe Potvin que l'Assemblée nationale entre en vacances, qu'il va se trouver à Guise pendant 10 jours et il lui propose de venir durant cette période et de séjourner au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène Blanquinque, 8 juin 1866
Sur l'affaire Jacquet. Blanquinque a réalisé des expériences sur les émaux de Godin sans pouvoir se former complètement un jugement. Godin observe qu'il ne peut satisfaire la question soulevée par le tribunal de commerce de Vervins car il ne dispose pas de gaz dans sa ville. Godin l'invite à venir examiner la question à Guise et de prendre à cette occasion le risque de s'empoisonner un peu avec de la cuisine faite au gaz en acceptant de partager sa table. Godin précise qu'il entend rémunérer les études faites par Blanquinque.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 1er juillet 1873
À l'occasion de la révision du canton de Guise, Godin invite le préfet et tous les membres du conseil de révision à dîner chez lui. Il précise qu'un appartement sera mis à sa disposition et trois chambres pour le sous-préfet de Vervins et les autres membres du conseil qu'il voudrait auprès de lui. Il ajoute qu'il serait heureux de se rendre à Guise pour l'accueillir le 11 juillet 1873, jour des opérations de révision dans le canton de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 6 août 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin annonce à Oudin-Leclère qu'il a appris par Borgnon qu'il ne viendrait à Guise que sur son invitation. Godin encourage Oudin-Leclère à prendre des initiatives pour défendre ses intérêts et l'invite à participer à la réunion des notaires qui aura lieu le mercredi si cela lui paraît utile. Il offre de l'héberger s'il arrive la veille.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 8 mai 1896
Marie Moret propose de nouveau à Élise Pré de la réoccuper s'il n'y a pas de place disponible à l'usine ou dans les services du Familistère, en venant travailler chez elle à partir du 11 mai 1896 de 8 h à 19 h. Buridant et sa femme continuant de dormir chez Marie Moret dans la chambre où coucheront Émilie et Marie-Jeanne Dallet, Élise ne pourra préparer celle-ci que le matin de leur arrivée. Demande à Élise de faire le nettoyage général de ses appartements sans décrocher les tableaux. Buridant pourra aussi lire cette lettre. Fait le point sur le carnet des dépenses : la somme restante suffira jusqu'à leur retour, puis Marie Moret donnera 20 F à Élise Pré ; convient d'un salaire de 20 centimes de l'heure pour la journée de nettoyage. Dans la mesure où Élise Pré sera occupée à plein temps par Marie Moret, Émilie Dallet écrit à madame Louis pour l'entretien de son appartement.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 29 avril 1896
Accuse réception des divers documents envoyés par Buridant. Demande l'envoi de la liste détaillée des récompenses exceptionnelles distribuées à la fête du Travail et recommande à Buridant de voir le numéro de juin 1895 du Devoir pour savoir comment le journal traite habituellement l'événement. Souhaite recevoir le Mouvement des assurances et l'État civil tôt en mai, avant son retour au Familistère. Lettre d'Émilie Dallet ayant trait au cabinet de la cuisine [de son appartement]. Réparation de la sonnerie électrique [de l'appartement de Marie Moret] par monsieur Gilbert. Sur le crédit de Marie Moret aux magasins du Familistère et ses comptes avec Buridant. Sur le retour prochain de Marie Moret à Guise et la nécessité de prévenir Élise Pré pour la préparation de l'appartement. Buridant et sa femme peuvent y rester dormir jusqu'à son retour.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 19 mai 1892
Informe que Paulhan n'est pas venu au Familistère de Guise. Au sujet de son voyage au Familistère de Laeken avec Pascaly et de son prochain emménagement à Lesquielles-Saint-Germain. Invite Fabre à l'y rejoindre bien que les distractions y soient peu nombreuses.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Leymarie de lui procurer le livre de William Crookes, Phénomènes spirites. Il informe Leymarie qu'il a reçu une lettre de Georgina Weldon, qui a exprimé le désir de visiter le Familistère avec trois personnes après une conversation avec lui : il lui a indiqué qu'elle devrait se loger dans un hôtel de la ville ; il n'a plus entendu parler d'elle. Il prie Leymarie d'indiquer aux personnes désireuses de visiter le Familistère qu'il existe des hôtels en ville car il ne peut les recevoir toutes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Delpech que des chambres seront prêtes pour lui [et Goblet] à leur arrivée. Sur la répartition de la valeur des biens de la communauté entre Godin et sa femme Esther Lemaire : Godin souligne le risque d'être ruiné dans le cas d'une licitation dans les conditions de répartition proposées par les experts, et la possibilité qu'Esther Lemaire, peut-être associée à certains industriels, fasse monter le prix de vente. Godin explique que le moyen d'échapper à la ruine est de faire valoir son droit de propriété sur ce qu'il a fait depuis 1863, sauf les dépenses dans les constructions : modèles, outils, brevets, marchandises, matières premières. Il explique également qu'il n'a pas attaqué l'expertise pour ne pas ralentir le règlement de l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Eugène Nus qu'à l'occasion de leur entrevue récente, il lui a laissé espérer qu'il prendrait une part dans la rédaction du journal Le Devoir. Il lui fait part de la proposition de Fauvety d'attacher au journal des collaborateurs rémunérés uniquement par le partage des bénéfices éventuels, mais lui confie que ce mode d'organisation ne lui semble pas offrir toutes garanties possibles pour s'attacher des collaborateurs assidus. Il lui annonce qu'il est prêt, malgré les frais qu'il doit supporter pour la publication du journal, à lui offrir une rémunération pour ses articles. Il assure Nus qu'il n'a jamais été autant en communion d'idées avec quelqu'un. Il lui demande quand il viendra étudier le Familistère sur place et lui offre l'hospitalité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin offre à Turquet l'hospitalité au Familistère à l'occasion de son court séjour à Guise pour recueillir auprès des maires du canton des renseignements sur une question non précisée [le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Neale de l'avant-veille. Il l'informe qu'il a répondu à Londres à sa lettre du 19 août. Il lui confirme que la fête de l'Enfance aura lieu le 7 septembre et qu'il sera heureux de sa visite et de celle de ses amis. Il lui confirme aussi qu'il y a des hôtels à Guise. Il lui indique qu'il aurait été heureux de lui offrir des chambres au Familistère mais que cela est difficile au moment des fêtes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin exprime sa satisfaction de savoir que Vavasseur va venir au Familistère pour étudier avec lui les statuts de l'association du Familistère. Il l'informe qu'Alexandre Tisserant lui apportera la présente lettre et lui fournira des renseignements sur son itinéraire jusque Guise. Dans le post-scriptum, il l'avertit que, finalement, il lui envoie la présente lettre par la poste.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur des expériences à accomplir dans l'usine du Familistère de Guise : Pouillet avait envisagé de venir la semaine précédente, mais c'était la fête du pays et il n'était pas certain que les ouvriers nécessaires étaient disponibles ; Godin propose à Pouillet de venir un jour de la semaine à venir ; il lui communique les horaires de chemins de fer et les informations pratiques de son séjour.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Pouillet que le litige avec Cresson est résolu. Godin exprime sa satisfaction que Pouillet puisse se charger de ses intérêts et le prie de donner suite au projet, arrêté avec Tisserant, de venir à Guise pour constater les procédés de fabrication soumis aux experts. Il invite Pouillet à venir chez lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Levasseur qu'il doit venir à Guise pour voir s'il ne peut embaucher Migrenne. Godin pourrait l'occuper mais à 100 F par mois seulement : il demande si Levasseur peut lui offrir davantage. Il lui indique que le temps est beau, favorable pour qu'il vienne le voir, et précise qu''une chambre sera à sa disposition chez lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Neale que l'hospitalité lui sera toujours offerte au Familistère. Il lui confirme que la fête du Travail du Familistère aura lieu le dimanche 1er mai et il précise qu'il sera disponible le vendredi et le samedi qui précédent, puisque les conseils et les comités de l'Association se chargent d'organiser la fête. Il lui signale que Franceso Viganò est actuellement au Familistère et qu'il repart le soir à Paris. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Viganò a annoncé dans sa lettre du 21 mars 1881 qu'il prévoyait de visiter le Familistère. Godin s'en réjouit et l'informe qu'il mettra un appartement à sa disposition au Familistère et qu'il lui communiquera les dates de la session d'avril du conseil général de l'Aisne, où il doit siéger, pour éviter que sa visite ait lieu en son absence. Il lui confirme que le journal Le Devoir lui sera régulièrement envoyé. Il lui indique qu'il a reçu l'invitation de Romussi au congrès de Milan.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Tisserant pour sa lettre du 18 février 1881 et se réjouit de l'accueillir au Familistère. Il se dit accablé par les occupations. Il lui donne des nouvelles de l'Association du Familistère : elle fonctionne mais Godin se plaint du manque d'hommes ayant les aptitudes nécessaires à son fonctionnement ; il regrette l'indifférence générale à l'égard du Familistère et de l'Association et que Tisserant n'ait pas pu devenir un collaborateur de l'Association. Il lui annonce qu'il profitera de sa visite pour parler de son testament. Il lui demande, à l'occasion de son passage à Paris, d'aller voir Moret, son avocat à la Cour de cassation dans l'affaire Boucher et Cie, au 13 rue de Tournon. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Flamand du 26 septembre 1880 l'invitant à se rendre à Aisonville en sa compagnie le 29 septembre 1880. Godin lui propose l'hospitalité au Familistère la veille de ce déplacement.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Augusta Cooper-Bristol qu'il mettra un appartement à sa disposition au Familistère et l'invitera à sa table. Il l'informe qu'il sera absent une dizaine de jours au mois d'août. Il lui envoie une lettre et une carte postale arrivées qui lui étaient adressées au Familistère, ainsi que son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gilbert Stenger, 26 août 1866
Godin invite Gilbert Stenger, auteur d'un article sympathique au Familistère, à assister à la fête de l'Enfance du Familistère le 2 septembre suivant. Il met une chambre à sa disposition. Il précise que la fête commencera vers deux heures et finira au milieu de la nuit.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 23 septembre 1889
Sur le résultat des élections législatives dans l'Aisne, défavorables à Gaston Ganault, et sur le départ de la famille Moret-Dallet de l'appartement de Ganault.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 30 août 1889
Marie Moret rend compte à Gaston Ganault de leur installation dans son appartement, lui adresse la liste du linge de maison qui s'y trouve (liste jointe à la lettre). Elle évoque les prochaines élections législatives dans l'Aisne.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 6 août 1887
Marie Moret accuse réception de la lettre de Neale du 4 août 1887. Elle lui explique qu'Ugo Rabbeno et de Boyve devraient visiter le Familistère au moment du congrès coopératif de Tours et qu'ils pourraient loger dans deux des trois chambres d'amis du couple Godin, que la troisième chambre lui serait réservée, mais que Holyoake et sa fille seraient alors obligés de loger dans un hôtel de Guise. Elle signale à Neale que le dimanche n'est pas un jour favorable pour la visite du Familistère et de l'usine et qu'en outre l'assemblée générale de la Société du Familistère aura lieu le 25 septembre 1887, jour de l'arrivée des Holyoake.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 19 septembre 1887
Sur la visite de Neale au Familistère. Marie Moret pense que Neale qui se trouve à Tours avec Rabbeno saura avant elle le jour de la venue de ce dernier. Elle informe Neale que de Boyve a écrit qu'il retournera auprès de sa femme malade et n'accompagnera pas Rabbeno au Familistère. Elle suppose que, le congrès de Tours s'achevant le lendemain mardi, Rabbeno viendra au Familistère avant lui et qu'ainsi les chambres d'amis seront libres pour lui et la famille Holyoake. Elle demande à Neale de s'entendre avec Rabbeno sur cette question. Elle propose à Neale, s'il arrive le samedi 24 septembre avec les Holyoake, d'assister le dimanche à l'assemblée générale des associés de l'Association du Familistère et de montrer le lundi aux Holyoake tout ce qui constitue l'Association.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de son « cher co-religionnaire » du 1er août 1876 et d'un numéro de la revue [La Religion laïque]. Il rappelle à Fauvety qu'il avait demandé un deuxième abonnement au nom de Marie Moret au n° 27 au Familistère. Il demande à Fauvety un troisième abonnement au nom de madame Dallet au numéro 28 du Familistère. Fauvety sollicite une rencontre avec Godin au sujet du spiritisme : Godin mentionne plusieurs auteurs ou ouvrages traitant de la question et signale qu'il ne peut rien leur ajouter ; il indique que ses expériences personnelles sont proches de celles d'Allan Kardec ; il propose à Fauvety une rencontre au Familistère de Guise, dont il pourrait tirer des enseignements d'économie sociale utiles à sa revue, plutôt qu'à Paris. Godin indique à Fauvety que les températures excessives vont cesser, qu'il part quelques jours pour la session du conseil général de l'Aisne, que la fête de l'Enfance aura lieu le 3 septembre, qu'il se rendra ensuite dans la Nièvre et que la visite de Fauvety pourrait avoir lieu avant ou après ce voyage.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Anseele, 16 février 1888
Marie Moret accuse réception de la brochure de la traduction en flamand des Pionniers de Rochdale, qui a été reçue le matin suivant la mort de Godin. Elle évoque la rencontre de Godin et d'Anseele. Sur un projet de visite du Familistère par Anseele pendant les deux jours de Pâques : à la différence du Vooruit, qu'il est préférable de visiter le dimanche et les jours fériés, il vaut mieux visiter le Familistère en pleine activité un jour de la semaine. Elle propose à Anseele de lui offrir l'hospitalité au Familistère. Elle remercie le Vooruit d'avoir inscrit le nom de Godin sur un des cartels de sa grande salle « parmi ceux des grands hommes que le peuple vénère ». Elle attire l'attention d'Anseele sur Auguste Fabre, inspirateur du mouvement coopératif de Nîmes qui a pour organe le journal L'Émancipation rédigé par de Boyve.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Hergot que c'est à Guise qu'il conviendrait qu'ils aient un entretien au sujet de l'emploi à pourvoir. Il ajoute qu'il peut mettre une chambre à sa disposition et qu'il participera à ses frais de voyage à hauteur de 30 F.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la carte postale de Van Duyl et se félicite de l'amélioration de sa santé. Il lui préconise de changer de lieu de séjour et l'invite à venir au Familistère avec son épouse. Il répond aux questions posées par Van Duyl dans sa lettre du 26 septembre 1885 sur la participation aux bénéfices et sur le collectivisme, et il caractérise son socialisme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Robÿns qu'il le fera prendre à la gare de Guise le mercredi soir et qu'il lui offre le logement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Neale que lui et Marie Moret sont heureux de lui offrir l'hospitalité et de l'offrir à ses amis Holyoake et Johnston. Il lui suggère d'arriver le 23 juillet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Delattre qu'il l'accueillera au Familistère dans la première quinzaine d'octobre. Il lui indique qu'il lui offrira l'hospitalité au Familistère et qu'il lui remettra de nouveaux documents sur l'hérédité de l'État et la réforme des impôts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bribosia du 19 septembre 1884. Il l'informe qu'il préviendra les médecins Devillers et Dollet et que la salle de consultation du Familistère sera ouverte à toute personne qu'il voudra recevoir. Il lui offre l'hospitalité au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Greening du 27 mars 1885. Godin explique à Greening que « ses gens » ont voulu refaire la photographie du Familistère vu des jardins prise il y a 20 ans, qu'il désirait, mais que les arbres masquent les édifices, aussi ont-ils entrepris pour la « refaire en peinture » en y ajoutant le troisième pavillon d'habitation à partir de laquelle sera faite une nouvelle photographie. Il le félicite du discours qu'il a prononcé à Oldham sur l'avenir des classes ouvrières. Il l'informe que Le Devoir va publier un article sur le congrès d'Oldham les 28 juin, 12 et 19 juillet, dont la traduction est due à Marie Moret. Il le remercie pour l'envoi des journaux The agricultural economist et The Store. Il l'assure qu'il aura plaisir à accueillir d'autres coopérateurs (« Le Familistère est fait pour être vu et étudié ») mais avertit qu'il faut distinguer les personnalités studieuses des simples curieux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prévient Desmasures qu'il ne peut lui donner des conseils pour les élections futures mais lui indique qu'il aura plaisir à le voir à Guise et il l'invite à déjeuner.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Greening du 31 octobre 1886. Il attend la visite de Greening et de sa femme dans une quinzaine de jours. Lui et Marie Moret leur offrent l'hospitalité au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Bouvelle l'envoi d'un permis de visite des jardins du Familistère demandé le 1er mai 1885. Godin lui demande de lui faire l'honneur de venir chez lui à cette occasion.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin offre à Maze l'hospitalité pour voir le Familistère et lui recommande de venir un jour de la semaine. Il accuse réception des rapports envoyés par Maze, dont il est question dans les numéros du journal Le Devoir des 14 et 21 janvier 1883. Il suggère à ce propos à Maze de faire une conférence au théâtre du Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Prévient que l'imprimerie Chastanier devrait bientôt envoyer à Albert de Rochas d'Aiglun une épreuve de la brochure Les Frontières de la physique et de sa couverture. Marie Moret invite de Rochas d'Aiglun à visiter le Familistère prochainement pour en comprendre le fonctionnement. Se propose de le loger chez elle au lieu de loger à l'hôtel. Sur la vie de la famille Moret-Dallet au Familistère : « Madame Veuve Dallet et sa fille sont mes camarades de table. » Présente Émilie, qui s'occupe des services de l'Enfance et Marie-Jeanne qui la seconde dans cette tâche ; Marie-Jeanne est l'autrice des clichés photographiques envoyés à Albert de Rochas d'Aiglun. « Notre vie est très occupée et des plus simples. On se couche de bonne heure. Il n'y a rien à voir dans le pays en dehors du Familistère. C'est, vous le voyez, Monsieur, une station de plein repos que nous vous offrons et en plein milieu ouvrier. » Exprime une réserve sur l'entretien des espaces communs du Familistère qui n'est pas dans l'état dans lequel « le fondateur eût voulu les voir toujours ». Un idéal social encore insuffisant est la cause de cette négligence. Sur l'importance des travaux de son correspondant qui « élèveront l'homme au dessus de la simple recherche des satisfactions matérielles individuelles » et les résistances que ses idées doivent rencontrer. Fait un parallèle avec les difficultés de compréhension de l'œuvre de Godin, dans laquelle bien peu voient « autre chose qu'un caprice d'un chef d'industrie ». En post-scriptum, demande l'adresse d'expédition des 150 exemplaires de la brochure, à l'Agnelas ou à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de la lettre de Marie-Jeanne Dallet datée du 29 mai 1900 adressée à sa mère, et confirme la lettre envoyée par Émilie Dallet du même jour. Le temps est gris et froid à Guise mais Émilie Dallet et elle se projettent dans la description des promenades de Marie-Jeanne Dallet et lui souhaite de continuer de s'amuser « à plein cœur. » Marie Moret revient sur sa lettre du 28 mai dans laquelle transparaissait sa vive émotion [de n'avoir pu rassurer Marie-Jeanne Dallet de leur bonne arrivée à Guise] mais qu'elle souhaite désormais oublier pour que sa correspondante passe de bonnes vacances. Sur le séjour de Marie-Jeanne Dallet à Corbeil : Adèle Herbron, cousine de Marie Moret, s'occupe bien d'elle ; visite « aux Beaux-Arts ». Marie Moret donne ensuite des nouvelles du Familistère : réception d'une lettre de Jules Pascaly, sa femme est toujours souffrante ; rencontre avec Héloïse qui transmet ses affectueuses pensées à Marie-Jeanne Dallet et discussion autour de « Matière, mode de mouvement » ; lecture des numéros de la Revue générale des sciences pures et appliquées parus depuis janvier 1899.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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La lettre de Marie-Jeanne Dallet du 26 mai 1900 est bien parvenue à Émilie Dallet, Marie et Flore Moret qui l'ont lue avec excitation. Marie Moret donne des nouvelles d'Émilie Dallet qui lui a écrit pour la première fois la veille, 27 mai : son sommeil est bon, « son estomac est d'une gouverne facile ». Sur le séjour de Marie-Jeanne Dallet à Corbeil : Marie Moret imagine qu'elle se sent comme chez elle chez « cousine Adèle » ; elle se voit à Paris faire les courses aux Grands magasins du Louvre, tout en gérant ses papiers et gérer les urgences au Familistère. Elle demande à sa correspondante l'heure d'arrivée à Corbeil du télégramme envoyé par Flore Moret samedi 26 mai, parti du bureau du Familistère à 5 h. Elle l'informe avoir écrit à Jules Pascaly et au « Principal » pour les prévenir de l'arrivée des membres de la famille Moret-Dallet au Familistère ou à Corbeil. Marie Moret écrit qu'elle doit retourner à ses papiers et souhaite à Marie-Jeanne Dallet de s'amuser à l'Exposition. Avant de terminer cette lettre, Marie Moret relit la lettre de sa correspondante, lui souhaite également « bon tout » et lui fait remarquer la bienveillance d'Émilie Dallet qui n'a pas fait déclouer les caisses de Marie-Jeanne Dallet pour ne pas être tentée de les ranger en son absence. Dans le post-scriptum, elle signale l'arrivée de la deuxième lettre de Marie-Jeanne Dallet et l'informe qu'Émilie Dallet a vu Héloïse et lui a transmis son amitié. La deuxième partie de la lettre fait suite à la lecture de la deuxième lettre de Marie-Jeanne Dallet : Marie Moret et Émilie Dallet s'étonnent vivement que leur télégramme du samedi 26 mai, informant Marie-Jeanne de leur bonne arrivée à Guise, ne lui soit pas parvenu. Elles se désolent de l'inquiétude que cela a pu lui causer et Marie Moret lui annonce envoyer au plus vite un télégramme (pour lequel elle va demander un accusé de délivrance) confirmant leur arrivée et l'envoi prochain de cette lettre. Dans le post-scriptum de cette deuxième partie de la lettre, elle accuse réception du télégramme de Marie-Jeanne Dallet daté du 28 mai leur demandant des nouvelles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prévient Flore Moret de son retour et celui d'Émilie Dallet au Familistère samedi 26 mai 1900, par le train de 4 h 15 de l'après-midi. Une personne attendra Marie-Jeanne Dallet pour la conduire à Corbeil chez des parents où elle prévoit de rester quelques jours pour visiter l'Exposition universelle et faire des promenades. Émilie Dallet l'y rejoindra plus tard, une fois réglées ses affaires au Familistère. Marie Moret, quant à elle, préfère rester « tout à son travail ». Elles ne seront donc que deux à arriver à Guise et Marie Moret prie Flore Moret de se joindre à elles pour le dîner. Elle l'informe qu'elle prévient Eugénie Louis et transmet les salutations d'Auguste Fabre, d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.
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