Godin accuse réception en bon état des raisins envoyés par Lourmet, qui proposait dans sa lettre du 3 juillet 1867 de lui vendre du vin. Godin lui explique qu'il doit procurer à bon marché du vin à la population du Familistère et qu'il doit acheter du vin vieux pour sa propre consommation. Il lui demande son tarif.