Marie Moret répond à la lettre d'Eugène Verrier du 23 juin 1901, à laquelle elle ne peut donner une suite favorable. Elle lui explique qu'elle n'est pas à la tête du Familistère, dont la raison sociale est aujourd'hui Colin et Cie, et qu'elle se consacre à son travail qu'elle ne veut, à l'âge de 60 ans, laisser inachevé. Dans le post-scriptum, elle indique qu'elle ne connaît personne parmi les associés du Familistère à qui faire part utilement de ses propositions.