Godin explique à Ganault qu'il n'a pas souhaité se rendre à Saint-Quentin, « n'ayant pas le sentiment que ma présence y fut bonne à quelque chose en ce moment d'affaissement politique de la part de vos journaux et de ceux qui les dirigent. » Il lui annonce qu'il aura le plaisir de le voir à l'occasion de la session du conseil général convoqué le mercredi suivant sur la question des chemins de fer.