Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson que Tisserant est revenu de Paris où il est allé consulter l'avocat Pouillet pour plaider dans l'affaire Boucher et Cie, mais que ce dernier refuse de se charger de l'affaire dans la mesure où Cresson aurait affirmé qu'il était son débiteur. Godin rappelle à Cresson comment son compte a été soldé définitivement. Godin avertit Cresson que dans le cas où il maintiendrait son dire, il se verrait obligé de reprendre son dossier auprès de Pouillet, mais qu'il saisirait immédiatement le conseil de l'ordre.