Godin soumet au sous-préfet de Vervins une demande d'admission à l'Exposition universelle de Londres de 1862. Il explique qu'il prévoit d'exposer des cheminées et calorifères entièrement nouveaux sous le rapport de la fabrication comme sous celui de la forme artistique, en fonte de fer émaillée à l'imitation du marbre. Il indique qu'il aurait besoin d'un emplacement de 9 m de long sur 0,80 m de profondeur, et qu'il faudrait un emplacement semblable pour d'autres produits « qui tiennent en France déjà le premier rang dans l'industrie des appareils de chauffage ».