Godin répond avec retard à Verdier qu'aucun médecin étranger ne peut exercer en France sans une autorisation spéciale du ministre de l'Instruction publique, mais qu'il ne pense pas qu'il en aille de même pour les vétérinaires ; il lui indique qu'il faut s'adresser au ministre de l'Instruction publique pour suivre des cours de médecine ou de droit.