Godin adresse à Gauchet une pétition à la Chambre belge. Il lui rappelle qu'il avait refusé qu'une partie de la propriété de Laeken soit vendue à la Société de fabrication de produits chimiques et il lui explique qu'il consentirait aujourd'hui à échanger des terrains avec cette société si elle se portait acquéreuse de terrains qui l'intéressent aux abords de l'usine de Laeken et si elle renonçait à construire une fabrique de produits chimiques sur les terrains qu'il lui céderait.